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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Englouti en un rien de temps ! Addictif, le Drizzt !

Je l'ai cependant trouvé un poil (pas grand chose, hein) moins bien que le 1, car Drizzt y est moins "fin", si j'ose dire, et j'ai davantage senti le "jdr" derrière le livre, avec de l'action pour l'action sans trop de raisons derrière. Bon après les monstres et les ennemis sont nombreux dans l'Outreterre, donc c'est aussi la normalité dans un monde aussi dangereux.
D'autant que Drizzt doit y survivre seul, après son exil volontaire. Seul ? Non. Sa panthère de compagnie l'aide à survivre. Mais la solitude, le second compagnon d'exil de Drizzt, et finalement le personnage le plus important pendant un moment au début du livre, pèse lourd dans la balance de la vie, et, très logiquement, Drizzt finit par ne plus la supporter et rechercher des compagnons, n'importe lesquels.

Il finira par en trouver, chez le peuple des gnomes qui a lui aussi des cités en Outreterre. Les personnages sont toujours aussi bons, surtout Caqueteur et Belwar. Leur psychologie n'est pas si superficielle et leurs actes parlent pour eux. Il sont vraiment bien dépeints, très attachants.

Côté "affreux", la famille Do'Urden fait toujours dans le lourd, surtout Malice, avec la complicité de Lolth, sa "reine araignée" qui est vraiment une saleté ! Et la compagnie de mercenaires dont je peine à me rappeler le nom (son chef, notamment) est formidable dans la duplicité au pays des traîtres professionnels !

La fin est excellente, j'ai vraiment adoré, malgré la tristesse qu'on peut ressentir.

Bref, tome 3, me voilààààààààààààà ! :D

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Voila 10 ans que Drizzt a fui Menzoberranzan et renié la Reine Araignée. Il a trouvé refuge en Ombre-Terre mais la solitude le ronge ; ses rares contacts avec Guenwhyvar, son amie d'un autre plan, ne suffisent plus, il est en train de devenir un monstre sans coeur, un chasseur impitoyable.
Mais lorsque l'elfe noir surprendra une expédition svirfnebeline et la traquera jusqu'à la cité de Blingdenpierre, l'heure du choix aura sonné.
Ce que Drizzt ignore, c'est que la Maison Do'Urden va faire appel au plus grand don de Lolth afin d'envoyer Zaknafein, son défunt père devenu un zombie sans pitié par le biais du Zin-Carla, traquer le renégat qu'il est devenu en éliminant tout sur son passage.

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Quel tome bien rempli ! Là encore, impossible d'arrêter ma lecture, de décrocher de cet univers et des aventures de Drizzt, de ses compagnons ou des drows maléfiques de Menzoberranzan.
Car la structure en parallèle proposée par R. A. Salvatore nous montre les deux tableaux séparés avec les liens qui les unissent. D'un côté, Drizzt va chercher et trouver des amis, de l'autre, Malice et son cadavre ambulant vont tout faire pour regagner les faveurs de Lolth.

On rencontrera, dans le désordre, un groupe de mercenaires drows prompt à changer de camp (même pendant la bataille), une cité gnomesque aux moeurs revigorantes, un rituel maléfique fort en surprises, des monstres divers et variés (dont les fameuses corbies kamikaze), des amis attachants et des ennemis détestables (saletés de poulpes mentalistes !), un zombie implacable aux soubresauts d'âme salvateurs jouant le rôle de nettoyeur (prenez-ça saletés tentaculaires !), et j'en passe.
Côté ambiance générale, c'est assez froid et fataliste quoi que réchauffé par de belles rencontres et de grandes surprises. L'amitié et la force de la fidélité façonnent Drizzt dans ce deuxième tome que je n'ai pas relu sans une certaine appréhension tant il m'avait attristé la première fois. Certains pleurent à la mort de Gavroche ou Valjean, moi je désespère du sort (c'est le cas de le dire) réservé au pauvre Caqueteur, pech transformé en porte-crocs ne pouvant être que le témoin impuissant de l'évolution de sa situation et de la perte de contrôle qu'elle engendre. Ça a un petit côté dégénérescence mentale inéluctable qui fait froid dans le dos. Bâtard de sorcier aux accents germaniques !

En résumé, une suite grandiose
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Salut les Babelionautes
Et Voila!! deuxième tome de la Saga de R. A. Salvatore dévorer, je suis devenus accroc, et comme ma Médiathèque les possèdent tous je vais m'empresser de les emprunter pour connaitre le destin de Drizzt Do'Urden.
Les Elfes comme les Humains ne peuvent pas vivres seul, au risque de sombrer dans la folie, c'est ce qui risque d'arriver a notre Héros après dix ans de solitude dans l'Ombre-Terre.
Heureusement il se fera des amis de créatures improbables, qui lui apporteront un équilibre qui l'aideront a lutter contre le chasseur impitoyable qu'il était.
Je l'ai lu dans sa version Milady traduite par Yann Chican donc je ne peux pas dire comme RosenDero laquelle des deux traductions est la meilleure mais je remercie quand même le traducteur sans qui je n'aurais pas pus découvrir cette Saga.
A la fin de ce livre il s'apprête a s'aventurer a la Surface!!!!!
Je vais de ce pas emprunter le reste ;)
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On retrouve Drizzt, qui a fuit sa famille, se libérant de l'emprise maléfique de celle ci. On apprécie d'ailleurs le déshonneur qu'il apporte à celle ci en sans cesse lui échappant, l'entrainant dans la disgrâce de Lolth. Mais sa mère, la maléfique Matrone Malice, ne l'entend pas de cette oreille et veut réparer cette erreur, de la plus cruelle des façons qu'il soit... Parallèlement, Drizzt apprend que la solitude provoque en lui un changement qu'il n'apprécie pas, qui le transforme en chasseur quasi animal, sur lequel il doit sans cesse prendre le dessus.
A nouveau, on est transporté dans l'univers de Drizzt, dans cette Outreterre désespérante et cruelle. Une magnifique suite.
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Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10
Développement des personnages : 10/10
Style de l'écriture : 10/10
Rendu de l'histoire : 8/10
Total 37/40 Babelio 5/5

Suite des aventures de Drizzt Do'Urden. Je me souviens qu'a l'époque où les livres sont sorti (donc pas la réédition de Bragelonne) , chaque sortie était attendue comme une sorte d'événements pour mon groupe de JRGN. On parlait pendants des mois de ce qui allait arriver dans le prochain tome voir le prochain cycle de l'elfe noir. A la base ces premiers volume s'appelaient la Trilogie de L'elfe noir et non pas la légende de Drizzt. L'elfe noir aux yeux lavandes est devenu en quelques temps plus célèbre et reconnu que Dark Vador parmi notre groupe de rôliste. La carte Magic de Drizzt était d'ailleurs vendu plus chère que celle du Jedi noir.

Ce second tome est la suite parfaite au premier, même si dix années se sont écoulées. Les temps forts de ce roman, toujours aussi intelligemment écrit, sont l'affrontement avec Dinin et Briza ainsi que le retour de Zanakein. Mais il y a aussi sa relation d'amitié avec Belwar le gnome. le roman n'est pas seulement une histoire de fantasy, il y a aussi beaucoup de réflexion sur notre société à travers Drizzt.

Le seul bémol dans cette version réédité, c'est le travail bâclé du traducteur. Déjà le mot Adamantine (l'acier des elfe noir) est remplacé par adamantium. Euh pardon mais l'adamantium c'est pas dans Wolverine ? Si, si mais de toute évidence le traducteur c'est fou comme l'an 40. Il va même jusqu'à remplacer Ombre-terre par Outreterre ce qu dénature complètement l'univers établi à l'origine. Car Outre voulant dire dans le sens (littéraire entendu) autre, on sort complètement du contexte de l'auteur, puisque ça n'est pas une autre terre mais bien un monde de ténèbres d'où la logique de Ombre-terre. Mais comme Bragelonne aime dénaturer tout ce qu'ils touchent allons-y ! Après tout qui a lu la première version? Autre faute remarqué dans leur traduction à deux balles Mithril devient Mitrhal, pourquoi pas mistral tant qu'on y est ! Il est clair que les traducteusr de chez Bragelonne sont loin très loin du niveau de Michèle Zachayus. On dirait plus qu'ils sont parti de la version française en changeant deux trois mots plutôt que de partir de la version anglaise (pourquoi se fatiguer après tout). J'en ai tellement eu mal aux yeux je je suis revenu à ma bonne vieille version papier de Fleuve noir plutôt que de poursuivre cette version numérique de piètre qualité. Mais comme le soucis vient du travail de fond de la maison d'édition et non de l'auteur je ne lui en tient pas rigueur dans ma note.

La fin avec le maître de Drizzt est d'ailleurs un pure bijou de beauté. L'elfe noir reste pour moi un des personnages les plus humain et le plus complet de toute la littérature fantastique. Je conseil toutefois aux néophytes de lire plutôt la version de Fleuve noir qui reste pus fidèle à la vison de l'auteur.
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Drizzt erre en outreterre en compagnie de Gwen.
Il va devoir puiser en lui pour renforcer son désir d'indépendance face à son peuple.
On le sent encore tiraillé par son ancienne vie.
Il n'est as toujours si facile de tourner le dos à ce qu'on a connu, même si on le rejete. Une belle leçon de vie: ne jamais se complaire dans son malheur et aller de l'avant.
Pourra-t-il pour autant tourner la page et laisser derrière lui ceux qu'il aime pour découvrir de nouveaux amis?
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J'ai retrouvé Drizzt avec beaucoup de joie : on suit ses déambulations en Outreterre, sa rencontre avec les quelques peuples qui y habite, sa manière de survivre et surtout la vengeance ourdie par la Matrone Malice.

Le livre a un bon rythme : on suit Drizzt et en parallèle la vie à Menzoberranzan avec la maison Do'Urden qui est bien décidée à récupérer la faveur de leur déesse Araignée.

Au final, j'ai été pas mal surprise du déroulement du livre. On ne peut jamais réellement deviner ce qu'il va se passer. J'ai autant aimé ce livre que le premier tome, peut-être même plus ..
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On retrouve avec joie Drizzt, qui s'est enfin affranchi de l'influence de sa ville. Et qui n'avait pas vraiment réalisé le prix de cet éloignement.
On adore toujours la plume fluide de l'auteur, les description précises des dangers de l'outre-terre, et des joies parfois, les grandes qualités "humaines" de Drizzt et des ses amis.
On aime aussi les nouveaux méchants, ces mercenaires au leader charismatique. Toujours un peu offusqués par les manoeuvres de Malice.
Et la fin ne donne qu'envie de lire la suite!
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Dans la continuité du 1er. de l'action, de l'aventure et des rencontres ( gnome, créature...). La fin est épique et grandiose notamment le combat avec son ancien maître d'armes et les créatures qui se servent de la télépathie qui prennent une grande part dans le roman. Vous avez aimé le 1 lisez la trilogie entière ( voir plus ) vous ne serez pas déçu !
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Un excellent deuxième tome de la Trilogie de l'Elfe Noir où nous retrouvons Drizzt Do'Urden en exil dans l'Outreterre après sa fuite de la cité maudite de Menzoberranzan. Un monde sombre et inconnu qui a aiguisé encore plus ses sens et son aptitude au combat mais qui a aussi fait naître en lui une part sombre. Se voyant changer, Drizzt va alors prendre la décision de renouer contact avec une civilisation évoluée d'Outreterre afin de rompre l'extrême solitude à laquelle il fait face. Un acte non sans risque, considérant la réputation des drows...

Très agréable à suivre, captivante et pleine de rebondissements, l'histoire de ce "Terre d'exil" reprend ce qu'on a pu trouver d'épique dans le premier tome : des combats dantesques, des créatures effroyables, des actes de trahison... Drizzt, plus encore maintenant qu'auparavant, va devoir mettre sa vie en jeu s'il souhaite défendre ce en quoi il croit.

Plus qu'à découvrir maintenant le dernier tome de la trilogie !
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