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4,37

sur 5309 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai découvert cette série à l'aube des années 2000. J'étais très lassé du genre fantasy à l'époque qui ne cherchait qu'à valoriser des pré-adolescents, sur 15-20 tomes, "gentils" et survivant à des complots inimaginables. cela devenait mièvre et convenu. ce roman m'a scié dès le premier tome français. habituellement, lorsqu'un personnage était finement décrit, y compris psychologiquement, on savait qu'il ferait l'ensemble de la saga. Que nenni ici ! Même des personnages très fouillés peuvent mourir à tout instant s'ils commettent une erreur, dans cet univers impitoyable. cela avait relancé mon intérêt pour la fantasy. Rien que pour cela, cela en vaut la peine.
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Très bon ouvrage de fantasy, bien documenté quant aux conditions de vie médiévales et surtout composé par un grand nombre de personnages très différents, qui sont successivement les narrateurs. L'auteur n'a pas peur de faire mourir des personnages auxquels le lecteur est attaché. C'est plutôt bien écrit.
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Quel plaisir de redécouvrir l'univers de Game of Thrones à travers la lentille de l'écriture après avoir dévoré la série ! Ce premier tome pose les fondamentaux des trames à venir et on suit avec frisson chacun des développements tout en connaissant à peu près là vers où on va. Je déplore juste la traduction qui va chercher dans la complexité.
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Avant de faire la critique, j'aimerais parler du moment où j'ai connu ce livre : La première fois que j'ai entendu parler de Game of Throne (où le Trône de fer), c'était à l'âge de treize ans, dans un magazine pour adolescents que je lisais beaucoup alors, Science et Vie Junior sur une section spécial fantasy. Il faisait partie des série de fantasy à lire mais il était recommandé à lire à partir de quinze ans, pour sa violence et son réalisme cru. Evidemment, moi je lisais les romans adapté à mon âge sans y faire attention et oubliant même ce roman...
Entre-temps, au fil des années j'ai remarqué qu'une curieuse série émergeait, faisait de plus en plus parler d'elle, était abondamment commenté sur les réseaux sociaux comme dans la vraie vie... et cette série, c'est Game of Thrones. Et le premier tome que j'avais vu dans le magazine trust maintenant depuis plus de six ans les librairies, est présent partout dans les maisons. Et moi aussi j'ai succombé à la série, qui est vraiment époustouflant et qui est une référence absolue désormais dans la télévision. L'univers est très original avec un réalisme cru , l'histoire classique au départ casse ses propres codes et ne cesse de nous surprendre, ses personnages très humains ni blanc ni noir mais gris, et ses musiques mémorables... sans compter la fâcheuse tendance des personnages favoris et habituellement vus comme des héros invincibles où essentiels à l'histoire à mourir d'une mort cruelle... mais cet introduction de critique est un peu trop longue donc j'abrège. Après la série (j'ai vu les six saisons en entier) et en attendant la septième saison, j'ai décidé d'enfin découvrir la saga littéraire et de lire ce fameux tome aperçu dans le magazine. Autant dire qu'il est comme la série : magistral. Mais je vais essayer de ne pas trop faire de comparaison avec la série, car sinon j'y reviendrais souvent...
Donc le pitch : tout va bien dans le meilleur des mondes à Westeros (où les Sept Couronnes) depuis que Aerys le Roi Fou a été tué et détrôné par Robert Baratheon vingt ans plus tôt. Celui-ci rend visite à la famille Stark, dont le chef de famille, Eddard est son meilleur ami. Mais le lendemain des festivités, l'un des Stark, Bran, chute d'une tour et sombre dans l'inconscience. Malgré ce terrible drame, Eddard doit partir à Port-Réal, la capitale royale, pour devenir la Main du Roi. Entre-temps, son bâtard Jon Snow s'engage chez les Frères de la Nuit, un ordre de patrouilleurs veillant sur le Mur qui limite les confins du monde pour protéger Westeros de toute menace extérieu . En parallèle, en Essos, à l'est de Westeros, on découvre la fille du défunt roi, Daenerys qui se marie avec Khal Drogo, chef d'un clan Dothraki (des sortes de barbares en quelque sorte) et qui veut récupérer le trône... Donc trois intrigues qui se déroulent dans le même monde. Mais une sourde menace plane également, froide et glaciale...
Autant vous prévenir, le trône de fer comporte beaucoup, mais BEAUCOUP de personnages et de familles à retenir et son univers est vaste et riche à en perdre la tête.
En effet, le monde de G.R.R Martin est un monde médiéval avec ses rois, reines, princes et princesses ainsi que ses paysages divers et variés et merveilleux mais c'est un monde également cruel et violent. Meurtres, viols, inceste, infanticide et trahisons sont monnaie courante, les preux chevaliers et les nobles sont souvent abominables et n'ont pas un coeur pur, les batailles sont sanglantes avec son lot de viscère et de cadavre en putréfaction, les mariages sont souvent arrangés voire forcés... bref il faut avoir le coeur accroché pour y plonger, d'autant plus que les scènes brutales ne sont pas rares.
La particularité de la saga est que la narration change souvent de point de vue, ce qui est génial et inventif. Cela nous fait revisiter notre vision souvent manichéiste... on voit que les raisons des uns sont parfois équivalents aux raisons des autres. Ceux des "méchants" peuvent paraître plus honorable que ceux des "gentils" par exemple... ils sont variés et différent.
Personnellement, j'ai beaucoup aimé les narrations des deux Stark (et non, ce n'est pas parce que je suis une fille... ) : celle de Sansa est plus celle d'une princesse qui croit que la vie est comme dans les chansons courtois et qui va être confronté à la dure réalité (en plus d'être la plus sensible, d'ailleurs dans la série, c'est un des personnages favoris), Arya est un garçon manqué bien décidé à mener sa vie et plus réaliste que sa soeur. Les personnages sont parfois différents de la série, j'ai été surprise du design de Tyrion, bien qu'il est tout aussi remarquable...
L'écriture est juste magique. Contrairement à ce que j'ai entendu, elle n'est pas simpliste, elle est splendide avec des phrases à retenir, une utilisation de mots élégants, et une variation de ton, qu'il soit familier où soutenu... l'écriture nous transporte dans ce monde et on n' a plus envie d'y lâcher...
En revanche, il y a bien quelques longueurs compte tenu de l'épaisseur du bouquin, et certains moments prévisibles voire ridicules (tout comme la série). Non sérieusement
Autre chose aussi : bien que ce soit un roman de fantasy, les éléments magiques arrivent mais légèrement, tapies dans l'ombre où ne se dévoilant qu'au dernier instant. Pas d'elfe, pas de fée, pas de magicien (quoique...)... et pourtant, l'hiver arrive avec les Autres...
En bref, je ne regrette absolument pas d'avoir commencé la série littéraire, une perle fantastique. Il me tarde de lire les autre tomes. Mais n'oubliez pas : dans le jeu des trônes, on gagne où on meurt...
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Une collègue qui suit la série télévisée m'a redonnée le goût de me plonger dans cette épopée fantastique dont j'avais lu, adolescente, un bout. Je n'ai pas vu quant à moi l'adaptation télévisée mais si elle est seulement à moitié aussi bonne que les livres, je comprends qu'elle passionne autant. D'un autre côté, c'est du George R.R Martin quand même ! L'un des papes de la fantasy ni plus ni moins !

Vous l'aurez compris, j'ai adoré cet univers tellement riche, ces personnages qui ne laissent pas indifférents, ces rebondissements incessants et les éléments fantastiques tels que les animaux mystiques (loups-garous, dragons etc...) qui pointent sans cesse le bout de leur nez et promettant une suite tout aussi épique.

Les débuts ont été un peu laborieux quand même, tellement il y a de détails, de noms et de relations différents à comprendre et à retenir. Chaque chapitre est en fait un point de vue individuel, comme si les personnages clés se relayaient pour raconter toute l'histoire. Cela surprend un peu si on ne fait pas attention mais finalement c'est assez pratique car cela permet au lecteur d'avoir une vue approfondie et quasi omnisciente de l'histoire et de son univers. Par ailleurs, l'on s'habitue assez vite à cette manière de faire qui ne gâche absolument pas le plaisir de la découverte et de la lecture.

A ce propos, si l'univers est assez sombre et parfois cruel, l'écriture de George R.R Martin est d'une fluidité extrême malgré un langage d'inspiration un peu médiévale et parfois assez ardu. Avec lui, rien n'est jamais tout blanc et tout noir. Même les méchants semblent justifiables ou du moins avoir un comportement qui s'explique.

En bref, je m'en vais quérir rapidement la suite et vous recommande fortement cette série !
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Tout d'abord, je connaissais la série de nom, tout comme pour son auteur. Je savais que les fans de fantasy bavaient dessus pour la plupart et que J'ai Lu ressortait des intégrales. Bon, ok. Puis est venue la série TV. Quand les trois quarts de mes contacts se sont mis à se déchaîner dessus j'ai regardé le début. Puis Néri m'a offert ce premier livre et m'a forcé à me bouger les fesses pour le lire (un an...je sais c'est mal). Beaucoup préfèrent lire le livre en VO, disant que la traduction est mauvaise, ça ne m'a pas tant dérangé que ça même si certaines tournures sont simplement atroce. Mais ça va, surtout si vous ne lisez pas l'anglais / avez la flemme, ça passe relativement bien en VF.

Déjà, première constatation : la série est très fidèle à mon sens et surtout...regardez là avant de lire le livre ! Pour une raison toute bête, vu la multitude de personnage ça aide à ne pas se perdre. Car pour la série TV vous avez des visages, plus faciles à retenir que des noms qui finissent par tous se ressembler.
Car George R. R. Martin nous propulse directement dans son univers, sans préambule ou presque, ce qui permet une immersion réussit, mais du coup on risque d'être étourdit par la quantité de personnages, de lieux et d'histoires qui se poursuivent en parallèles.

L'univers est tellement dense, qu'à chaque chapitre ou presque on change de narrateur (indiqué en titre de chapitre pour aider le lecteur à ne pas décrocher) permettant ainsi de balayer l'intégralité de la carte (sur ce point d'ailleurs j'adore le générique de la série). Je dois avouer que c'est très impressionnant. L'auteur a su créer un monde très complet, dense et complexe, mais que le lecteur arrive très bien à se représenter et dans lequel il est relativement facile d'évoluer (toujours pour le lecteur parce que les personnages...).

Concernant l'intrigue, il faudrait déjà le mettre au pluriel, là encore l'auteur doit avoir un grain pour réussir à imaginer tout ça et réussir à ne pas s'emmêler les pinceaux. Si tout commence par une mort, très vite chaque pas en avant révèle de nouvelles questions, de nouvelles trahisons, des complots qui se forment et des vies qui basculent. A chaque page il y a une surprise et l'auteur ne ménance aucun personnage. Tous ont un rôle à jouer, chaque action a une réaction plus importante et on ne sait plus où donner de la tête.

Mais, au risque de me faire huer/lapider/ou autres joyeusetés, je n'ai pas tant aimé que ça. Oui l'auteur est assez "ouf" et je l'admire pour ce qu'il a réussi à créer. Mais j'ai beaucoup de mal avec une fresque qui plonge à chaque fois un peu plus dans la noirceur. Toujours un peu plus de complot, de trahison, de mort et de déchirements sans presque aucune lueur "positive", moi ça me déprime. Alors si je reconnais que ça peut être un monument de la littérature fantasy, ce ne sera pas forcément ce que je retiendrait de mieux. Peut être qu'un jour j'achèterai la suite, ou l'emprunterait, mais pas tout de suite.
Lien : http://nyx-shadow.blogspot.f..
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Premier intégrale du trône de fer terminer... ce qui ne fut somme toute pas une mince affaire vue la taille des caractères mais bon.
GRR Martin sais y faire en effet on se retrouve plonger dans cette histoire des le début passionnante, il mélange tous les styles que ce soit de la fantasy (ou on retrouve sans trop chercher du Tolkien, du Hobb etc...) que dans le classique et traditionnelle (Tolstoï n'est que le premier qui me viens...) et pourtant il se fait un style a lui, et rien qu'à lui qui rend le détachement très dur...
Les personnages sont tous travaillés que se soit le roi dont on parle une page sur deux ou de la pute qu'on verra deux pages et demi sur l'ensemble tout est foisonner de détailles, la série télévisé à côté en parait presque terne tellement les personnages sont claire dans l'esprit du lecteur, et plein de vie. Une merveille.
L'histoire quand à elle est très bien mener sans trop de longueur malgré quasi 800 pages qui nous amène à la fin d'une longue introduction à l'histoire qui commencera seulement dans le tome suivant a priori. En effet tout cela n'est qu'une présentation de l'histoire et de ses protagonistes dans le but de nous préparer à ... à on sais pas trop en faite, mais cela va être explosif et passionnant ça c'est sur.
A lire même si la forme peut en rebuter certain car difficile et parfois très cru, le fond mérite de s'y attarder en profondeur.

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Le deuxième tome composant cette intégrale, le Donjon Rouge, est beaucoup plus prenant et mouvementé que le premier. Il en découle un plus grand plaisir de lecture et l'impression d'enfin entrer réellement dans la saga.

Les personnages sont toujours les mêmes, mais ils semblent enfin occuper chacun la place qui lui est dévolue dès le début de la saga. Cette découverte de cette première intégrale permet donc de se rendre compte que le premier volume sert en fait à mettre en place l'intrigue qui sera (sans doute) développée au fil des tomes suivants: Martin nous présente ses personnages et met en place les contextes historiques, géographiques et politiques de son histoire. Il en ressort un certain manque d'action et un récit qui donne l'impression de traîner en longueur.

Le Donjon Rouge, par contre, est beaucoup plus animé: pas mal de morts, d'exécution et même une guerre ! le suspense est donc beaucoup plus présent et l'on s'inquiète bien souvent du destin de certains personnages, même si l'on espère assez voir certains d'entre eux bien punis.

Ce deuxième volume est également plus sombre encore que le premier. L'incertitude plâne en ce qui concerne plusieurs des personnages principaux, dont on se demandent s'ils vont survivre au troisième tome. Les différents clans des Sept couronnes s'opposent les uns aux autres et se déchirent de plus en plus, menant à des luttes sanglantes et sans pitié entre les grandes familles, celles qui sont susceptibles d'influencer l'avenir du Trône de Fer. Et, en plus de ces disputes, l'hiver arrive et avec lui tous les problèmes liés au Mur: les Autres semblent s'approcher de plus en plus et certains frères de la Garde de Nuit sont capturés par une force mystérieuse...

Les deux familles les plus importantes des Sept couronnes, les Stark et les Lannister vont donc plus que certainement être aux prises avec de nombreux ennemis dans les volumes suivants. Et ces nombreuses péripéties, loin d'être désagréables, m'ont plutôt réconciliée avec cette saga qui m'avait plutôt déçue lors de ma première lecture.
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Critique valable pour les "intégrales" 1 à 4 :
On ne peut que constater la performance lorsqu'on s'affronte à ces pavés : un monde d'une richesse infinie, des intrigues très bien pensées, des personnages suscitant tour-à-tour l'empathie (Tyrion, Ned Stark, Jon Snow...) et la révolte (Joffrey, Cersei, Littlefinger...), des destins inattendus et des fins tragiques devenus des scènes cultes (comme les noces pourpres), mais aussi - et même surtout, en ce qui me concerne - des dialogues dont certains sont vraiment des morceaux d'anthologie (celui qui me vient à l'esprit là, c'est la première rencontre avec le vieillard seigneur du pont, promis malgré son âge canonique à une grande carrière de salopard, et dont le nom de famille m'échappe).
Un petit mot aussi sur le procès en sorcellerie fait au traducteur, Jean Sola, qui pour moi a fait un excellent travail... dans un langage châtié, certes, et c'est peut-être ce que certains lui reprochent, mais en ce qui me concerne c'est un point fort de ces livres, d'autant que les spécialistes de la VO s'accordent à peu près tous à dire que Martin n'est pas réputé pour la beauté de son style. Le seul reproche que j'aurai à faire à M. Sola est l'erreur grossière du choix de "loup-garou", là où "loup géant" s'imposait, mais franchement, en-dehors de ça, rien d'autre ne m'a heurté, et je m'incline devant son travail de spartiate.
Il y a un "mais" à tout cela, vous le voyez venir.
Ce "mais", c'est que mon intérêt pour l'ensemble de l'oeuvre s'effiloche malheureusement au fil des tomes. Non pas que ce soit de moins en moins bon en valeur absolue, mais une bonne saga est une saga que l'auteur sait finir avant d'épuiser le client, et c'est un reproche que l'on peut reproduire à l'envi pour bon nombre de sagas romanesques, de BD et de séries télévisées. Trop, c'est trop.
L'autre chose qui émousse fortement mon intérêt, c'est la multiplication exponentielle des personnages secondaires, tertiaires, quaternaires (ça se dit ?) On voit venir, puis revenir untel deux cents pages plus loin, et on n'a plus la moindre idée de qui est ce type, pour qui il roule, et de ce qu'il fout là.
On sait que les personnages nombreux sont inévitables dans les sagas, mais là encore, il faudrait savoir raison garder, et se contenter des personnages secondaires qui ont une réelle utilité sur l'histoire. Lorsqu'on flirte (péniblement) avec le 5ème tome comme moi, on finit par se dire que l'arbre généalogique des personnages de Martin commence à ressembler fortement à celui des personnages nains et elfes de Tolkien... à l'exception près que Tolkien s'est contenté d'en faire des arbres généalogiques sans les faire intervenir en masse dans ses récits (sauf dans le très abscons Silmarillion).
Alors finalement, même si ça semblera peut-être une hérésie à certains, je préfère la série. Parce que les showrunners ont eu la bienséance de faire d'immenses coupes franches dans tous les persos inutiles... et combien on y voit plus clair !
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Depuis que la série TV a médiatisé cette saga, je ne suis pas très tentée d'en faire la critique. Mais en y repensant, j'avoue que j'ai découvert cette oeuvre il y a à peu près six ans, à l'époque l'édition italienne était constituée de 9 volumes, que j'ai dévoré assez rapidement, et je suis restée sur ma faim pendant pas mal d'années. Depuis j'ai repris la saga, et elle continue à me fasciner par ce qu'elle apporte de merveilleux au fur et à mesure.
En effet, si au début, on trouve les luttes de pouvoir, les différents territoires très intéressants dans le développement d'une intrigue ou se mêle la trahison, le sexe, la violence, peu à peu quelque chose d'indéfinissable s'approche, c'est la magie qui peu à peu s'introduit dans le récit, avec les dons, les mystérieux êtres venus du grand nord, le réveil des dragons...
Un jour ou l'autre je regarderai également la série mais en attendant la magie des livres semblent encore m'appeler....
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