C'est sans aucun doute, le tome transitionnel que j'aime le plus. On y retrouve le restaurant "Ma Famille" rencontré quelques albums plus tôt. À ce moment-là, il traversait une crise identitaire, que Shizuku et le département vin, leur avaient aidé à dépasser.
Dans ce nouvel opus, ils ont affaire, à un concurrent "Le Grand Cru", enfin, c'est surtout les dents qu'il a de longues, puisque comme le dévoile la fin du tome 34, pour s'imposer ce dernier absorbe la clientèle de ses concurrents, à grand coup de critiques négatives, sur les sites spécialisés du net.
C'est le tome qui m'a également fait le plus réfléchir, car vous vous doutez bien que ce qui est valable pour la restauration, l'est pour le reste, et les livres n'y font pas exception. "Il est facile de critiquer sous de fausses identités", voilà de mémoire la phrase qui m'a le plus marquée, depuis, ma bouille est apparue sur mon avatar, même si je reconnais qu'on ne la voit pas très bien. Puisque à la base la photo dont je me suis servie, est un selfie, avec mon mari, fait à partir de mon ordinateur.
J'ai adoré, suivre la confrontation, entre les deux restaurants, mais bon sang, pourquoi les mangakas, ont toujours besoin de faire rappliquer Issei, chaque fois que Shisuku s'investit dans ce genre d'entreprise ?
Un tome intermédiaire, qui pour une fois, s'annonce vraiment plaisant à suivre, non seulement pour le duel opposant les deux restaurants, mais également par la mise en place des futurs événements impliquant Christopher et Loulan.
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