Je l'ai dans ma pal depuis un petit moment mais sa grosseur m'a toujours fait peur pour le commencer. Je l'ai finalement trouvé en audio, cela me permet ainsi de découvrir ce classique d'Irving.
L'auteur a de l'humour, c'est indéniable. Par contre, ce qu'il raconte sur la mère de Garp est sacrément osé, voire trash ou inepte (suivant les circonstances et/ou les protagonistes). En fait, on alterne rapidement entre passé et présent ainsi qu'avec le vécu de Jennie et celui de son fils Garp. Les changements sont brusques et peu compréhensibles, d'autant plus quand on lit dans le résumé que Garp est écrivain, alors qu'on le rencontre avec un autre métier. Jennie, sa mère, n'aime pas les hommes mais veut un enfant. Elle travaille comme infirmière au Mercy Hospital, on l'a viré de la pouponnière car elle avait de curieuses manies. Concernant son fils, je n'ai pas tout compris. On le découvre bébé mais avec une anatomie d'adulte et un comportement entre-deux (téter le sein et érection). de quoi dérouter !! D'autant plus que la mère ne semble pas très saine d'esprit… du coup, j'ai fini par perdre le fil assez rapidement, ne comprenant pas très bien où voulait en venir l'auteur. Certains passages m'ont tellement dégoûté que j'ai préféré abandonner cette lecture au bout de 1h15.
Comme vous l'aurez compris, ce roman n'a pas été une réussite, je n'ai pas réussi à rentrer dans le délire de l'auteur. Il utilise des codes et des thèmes pour lesquels j'ai dû mal, même si j'aimais bien Jennie au début. C'est malheureusement vite parti en cacahuète… Étant mon 2nd test de cet auteur avec pourtant son livre le plus connu, je crois que son style et son imagination ne sont pas faits pour moi. Je ne pense pas tester une nouvelle lecture de cet auteur, même s'il m'en reste un dans ma pal. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis car ce roman a malgré tout forgé la renommée de cet auteur.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie         239
Il y a peu de temps, je vous parlais de ma lecture de « une prière pour Owen », lecture que j'ai aimée mais qui fut périlleuse. Un autre John Irving était prévu pour mon Challenge, je me suis donc inscris à une lecture commune pour le lire, mais deux Irving aussi rapprochés quand on a du mal avec l'auteur, cela fait trop.
Dès le premier chapitre, j'ai ressenti ce besoin de sauter des paragraphes qui me semble longs et inutiles. Je décidais donc de faire comme à chaque fois avec l'auteur, je pose le livre puis le reprends, mais quand la lecture devient une corvée, il convient d'être honnête, j'abandonne.
Depuis je suis sur le net, beaucoup m'ont conseillé ce livre, quand je révélais ma difficulté avec cette auteur, mais là aussi, c'est un échec ; pour ceux qui pensait que j'aimerais, j'en suis désolé, j'ai du mal avec cet auteur et après plusieurs tentatives ( la veuve de papier, la quatrième main, Je te retrouverais) , je peux affirmer : je n'arrive pas à lire tous ses livres, car il n'y a qu'une prière pour Owen que j'ai pu finir.
Commenter  J’apprécie         130
Avis très mitigé!
L'histoire à du mal à décoller, toute la première partie sur le parcours de la mère de Garp est long et sans grand intérêt. Vient ensuite la vie de Garp qui commence à son entrée à l'école, ou plutôt, lors de ses débuts en tant que lutteur. Son ascension vers l'âge adulte est beaucoup plus intéressant.
L'auteur parvient à nous faire voyager, au travers des émotions de ses personnages, auxquels on fini par s'attacher.
Commenter  J’apprécie         90
J'ai abandonné.J'ai lu environ 200 pages et j'ai du faire un effort! Si je n'ai pas de plaisir j'arrête, on m'avait dit que je devais lire ce livre....Je trouve qu'il y a trop de bavardage inutile.Bon,j'espère que je ne vais pas me faire massacrer!
Commenter  J’apprécie         88
La séduction n'a jamais opéré. Je ne goûte pas beaucoup ce genre littéraire qui nous vient des States, où l'on voit un héros lamentable reprendre du galon du seul fait qu'il gratifie le lecteur du récit accablant de sa vie et de ses bourdes. Ni chair ni poisson, ni drôle ni dramatique, à la fois salé (pour vendre) et sucré (pour faire passer le salé), il est aussi indigeste que la non cuisine fast food. Le pire , c'est que type d'écriture, qui flirte avec le bas de gamme(sans tout à fait l'atteindre, j'en conviens) a fait des émules par cheux nous. Le coupable porte un nom qui commence par D et qui finit par ubois.
Bon, c'est une critique d'humeur, la chaleur, sûrement.
Commenter  J’apprécie         62
Lu il y a très longtemps, j' en garde le souvenir d'un roman ennuyeux, décousu, que j' ai eu du mal à terminer (d'ailleurs, l'ai-je vraiment fini?)
Commenter  J’apprécie         50
QUEL ENNUI !!!
Arrivé à la page 360, je me suis dit que je ne trouvais aucun intérêt à ce roman que l'on m'avait vivement conseillé.
Il ne se passe rien.
Regarder une mauvaise série 40 minutes, c'est à peine supportable. Lire ce genre d'histoire pendant 600 pages, c'est au-dessus de mes moyens.
Adieu Irving
Commenter  J’apprécie         42