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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Dimanche, 14h mon domicile……

Je m'installe confortablement sur mon canapé, oreillers et coussins me calent le dos. Un petit Nespresso juste à ma droite, crayon de papier sur les genoux pour prise de notes en vue d'un avis pertinent à rédiger.

Dimanche, 14h 10

Les oiseaux sur le balcon réclament à manger. Il fait froid. La coupelle est vide… Je n'ai lu que quelques pages, mais je pose mon livre. Je me file chercher la réserve de graines pour nourrir merles et verdiers qui réclament….

Dimanche 14h15

Retour sur mon canapé ; revenons à nos moutons…..

Dimanche 14h20

Une idée me vient en tête ; un truc pour le boulot à ne pas oublier.

Dimanche 14h30

Changement de position sur le canapé ; je continue quelques pages. Ça va vite. Il faut dire que cela sonne un peu le creux. Coup d'oeil aux oiseaux, les tourterelles s'arrogent la part du lion, je préfère que les petits en profitent.
« Ah, au fait, je dois mettre en charge mon téléphone. »
…………..

Dimanche 16h20

Déjà l'heure de repartir travailler. J'ai lu 130 pages. J'ai les nerfs qui tricotent ; je ne me suis pas détendue, j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps. Je n'ai pas eu ma dose de lecture. Je repars frustrée.


Avis lapidaire à la hauteur de ma déception. Dimanche habituellement consacré à la lecture d'un polar gâché.
Le style de ce billet, inhabituel chez moi, reflète le style du livre : journalistique, télégraphique…Effet certainement voulu par l'auteur qui avait ses raisons….On aime, ou pas….
Rarement les premières pages d'un policier m'auront autant déplu…. le reste suivra. Trop de personnages, tout va trop vite, personnages antipathiques, la ville de New-York mal mise en valeur. Si vous ne la connaissez pas, ne lisez pas ce livre, il ne vous donnera pas envie d'y aller…dommage !!!

J'aurais aimé trouver un petit truc positif pour ne pas avoir l'air de passer pour la difficile de service…Mais, rien pour rattraper ce livre qui, vous vous en êtes douté, ne m'a pas plu du tout…du moins pour ce que j'en ai lu, car j'ai pris quelques libertés pour la suite.




Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Alors là, je sèche. J'avoue ne pas savoir quoi vous dire sur ce titre. Au départ, tout fait envie. La couverture, le sujet, la préface dithyrambique de François Forestier, les critiques élogieuses.

Je ne vois pas. Je ne comprends pas. Alors oui, c'est un hymne au journalisme, celui d'autrefois que l'on regrette déjà. Peut-être est-ce cela. Faut-il être journaliste ou tout simplement un homme pour apprécier ce roman dans son ensemble ? Si vous avez la chance de réunir les deux éléments, foncez !

Pete Hamill dénonce avec fureur l'ère de l'information clickable. On ressent son expérience et son analyse touche juste. Pourtant, je n'ai rien aimé dans ce roman. J'ai trouvé le style artificiel et bien trop télégraphique. J'aime les phrases courtes, vous l'aurez remarqué, mais définitivement pas sur un roman de 400 pages.

Les personnages ne m'ont aucunement intéressée, j'ai eu l'impression d'être dans une série télé où les hommes ont tous la voix exagérément rocailleuse. Pete Hamill n'a pas su, à mon sens, se débarrasser de son enveloppe de journaliste pour endosser celle de romancier. Des articles de fond sur le déclin de la presse ne manquent pas.

Étant donné qu'il s'agissait de ma dernière lecture pour le prix Elle, j'ai interrompu ma lecture pour tenter de mieux la reprendre après une pause bénéfique. Essayé pas pu. J'ai trouvé le temps long, pire, j'ai rarement eu, à ce point, aucun plaisir dans l'acte de lire.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
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Sam Briscoe est rédacteur en chef d'un grand quotidien à New-York. Ce journaliste septuagénaire de l'ancienne génération vit au rythme de l'adrénaline injectée par l'actualité. Etre le premier informé, titrer la une parfaite, courir après le temps. le journalisme est sa vie. En vingt quatre heures, les dés sont lancés sèchement. Un double meurtre vient d'être commis. Cynthia Harding a été sauvagement tuée à son domicile après une réception qu'elle donnait pour récolter des fonds. Pendant presque trente ans, elle et Sam ont été amant. Durant cette même nuit, Sam Brisco apprend que le journal version papier paraîtra le lendemain pour la dernière fois.

Je me suis torturée l'esprit pour savoir comment rédiger billet. J'ai hésité entre les premières phrases :
Minuit. Sam Briscoe, salle de rédaction du New York World, 100 West Street.
Lui, c'est Briscoe. Soixante et onze ans. Un mètre quatre-vingts, quatre-vingt-dix kilos. Ici, c'est la salle de rédaction du dernier quotidien du soir de New York. Il en est le rédacteur en chef. On l'aperçoit qui se faufile dans un coin. Il a un pardessus en travers de l'épaule gauche et tient sa veste par le col. Les manches de chemise sont retroussées deux fois au-dessus des coudes, soigneusement
et celle-ci (page 141) qui ravira sans aucun doute les amis de la poésie un type a balancé la sauce dans le vagin de sa mère et il s'est tiré.

Ce livre patchwork à l'écriture hybride entre le télégramme et la dépêche est censé mettre le lecteur dans le bain de l'action. le placer au centre névralgique du récit, que lui ou aussi sente la pression ou les émotions des personnages. J'imagine car j'ai soupiré d'ennui devant l'amoncellement des clichés et j'ai frôlé l'indigestion de cette écriture balancée comme des salves. Aussi, j'ai essayé de passer outre le style (en évitant au passage de me prendre une rafale de phrases) pour m'intéresser à la palanquée de personnages que l'on suit durant ces 24 heures. Sam Briscoe, Josh revenu d'Irak handicapé, Malik l'américain musulman djihadiste et dont le père est policier, la jeune journaliste qui ne trouve pas de boulot, la mère de famille d'origine mexicaine en situation irrégulière et bien d'autres... Tous s'agitent car New-York ne dort jamais. La solitude est une compagne, le travail du journaliste prime sur ses émotions. Sam Briscoe veut mener son enquête et trouver qui a tué Cynthia Harding, empêcher l'inéluctable pour le journal. Une brochette (fourre-tout) de personnages pour représenter New-York perpétuellement en constante mutation et l'ensemble est sombre, se laisse glisser dans une certaine fatalité limite déprimant.
Certains des personnages ne m'ont pas laissée indifférente. Pire, je les ai trouvés mauvais comme de pâles copies avec un goût de déjà vu, une écriture qui m'a agressée et je n'ai strictement rien aimé dans ce livre.

Que dire de plus? Rien sinon qu'à partir de la page 242, je l'ai lu en diagonale. Ah oui, si comme moi vous avez envie d'aller un jour à New-York, juste un petit conseil : évitez cette lecture...
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Je pense être une grande amatrice de romans policiers, mais là, je n'ai pas du tout adhéré à l'histoire ! C'est bien simple, je n'ai pas réussi à m'accrocher pour connaître son dénouement. Je ne suis à aucun moment entrée dans l'intrigue.

La galerie de personnages est trop grande, le lecteur s'y perd. Les chassés-croisés sont épuisants, et au bout de 150 pages, il ne s'est pas passé grand-chose…

Le découpage des séquences qui s'apparente à un film est lourd.

On revient en arrière pour comprendre que l'un est le mari de l'une et le père de l'autre, les personnages ne se croisant toujours pas au bout d'une centaine de pages !

Je ne doute pas des qualités journalistiques de l'auteur, mais j'ai eu l'impression qu'il a voulu condenser en un livre tous les maux des Etats-Unis du vingt-et-unième siècle ! le constat de la perte de vitesse de la presse écrite va de soi, celui de l'échec de la Guerre en Irak aussi. On y parle aussi du 11 septembre, des terroristes islamistes de l'Intérieur… Et on y rajoute un double homicide !

J'avoue avoir abandonné ma lecture (chose qui ne m'arrive que très rarement), car je m'ennuyais ferme et je ne voyais pas où l'auteur voulait aller.
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Polar construit par un journaliste américain selon les principes bien éprouvés de la série télé « 24 heures chrono » et du théâtre classique. Unité de temps : 24 heures ; unité de lieu : New-York ; unité d'action : tout un petit monde lié par un meurtre et, par conséquence, par une enquête avec en toile de fond le monde de la presse en pleine mutation technologie. Ah la guerre entre les anciens (le papier qui sent bon et l'encre qui tâche les doigts) et les modernes (maudits geeks qui ne connaissent rien à l'investigation) ! L'intérêt réside surtout dans le jeu du langage dont le registre s'adapte à chaque personnage et puis, dans une certaine mesure, dans la juxtaposition des différentes classes sociales de Manhattan.
En tant que lectrice française, j'hésite entre la sympathie et le ricanement face aux références appuyées aux maîtres de lettres françaises du XXè siècle. Camus et Sartre covedettes d'un polar US, c'est assez exotique. Céline, en figure du grand méchant sournois, passée la surprise du début, cela devient assez comique … je n'ai dit pas ridicule, notez-le !
Le véritable problème est à la fois le rythme trop plan-plan, le style hyper journalistique et la construction beaucoup trop mécanique pour déboucher sur un engrenage haletant. Bilan des courses, petit polar sans beaucoup de tension, quelques clins d'oeil amusant pour des Français et le regret que l'on ne donne pas à Big Apple un rôle plus important.
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08/20
On passe du coq à l'âne dans les personnages. Histoire peu intéressante.
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