Juste après 68, la révolution parut soudainement à portée de main. Sur la manière d'y parvenir, chacun avait sa théorie, mais, dans la pratique, tous voulaient vivre sans temps morts. Plus question de changer le monde sans se changer soi-même. Ni de croupir derrière la vitre en attendant les lendemains qui chantent. Dès lors que ça craquait partout, plus rien n'était impossible. C'est dans ce climat d'exaltation que Gérard Guégan, chômeur porté sur le romanesque, et...
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