Un monde sans fin

grande déception après le très beau livre ' Les piliers de la terre' ; la magie n'opére plus et c'est bien dommage.

La recette de Ken Follett est maintenant bien connue : Un quart de litre de très méchants en équilibrant avec un quart de litre de très gentils; ajoutez une histoire d'amour impossible et "sans fin", une bonne cuillère de curés corrompus, une tombée de monarques vindicatifs le tout dans un décor haut en couleur !
Bien que cela fonctionne, le genre de nous surprend plus.
Lien : http://les-mots-sillons.fr

Très bon. Trop mécanique.
L'auteur a un talent inouï pour créer l'intrigue. Cependant, ça en devient mécanique : 2 pages, un rebondissement; 2 pages, un rebondissement, etc. Jusqu'au bout.
Bien écrit, intriguant, bel univers, etc. tout ce qu'on veut. Mais se pose tout de même la question d'une recette trop répétée...

Quelques siècles plus tard…malheureusement le résumé d'Un monde sans fin aurait pu s'arrêter là.
(Beaucoup) trop de similitudes avec les Piliers de la Terre, Ken Follet n'a pas fait une suite ici mais un remake.
Le livre n'en est pas moins agréable à lire et prenant, comme le précédent, mais évitez de vous y plonger directement après avoir lu les Piliers de la terre où vous serez immanquablement déçu et voudrez finir trop vite ce livre à cause d'une impression répétitive de déjà-vu.

Bon roman de vacances, ça ne vole pas toujours très haut, mais on passe un bon moment...on tourne les pages sans même s'en rendre compte....

Moins intéressant que "Les pilliers de la terre", mais il reste quand même un livre que j'ai apprécié. Ce deuxième tome traite de la construction d'ouvrage d'art, et est tout aussi intéressant quant aux explications fournies.

[...]Ces quêtes personnelles vont souvent s'associer, ou se heurter. Au milieu de tout cela, l'intrigue de la lettre royale semble n'être qu'une balise, un détail : on s'en fiche un peu à vrai dire. N'allez pas y voir une enquête rigoureuse à la Iain Pears. Certes, ça ressemble à la Petite Maison dans la prairie au Moyen-âge, mais c'est bien dans cette saga familiale qu'on s'accroche. Un aussi gros pavé n'a d'intérêt que dans ses personnages. le fond historique est intéressant et la réalité politico-économique plutôt bien rendue : bien que la ville soit complètement inventée (de l'aveu même de l'auteur, il s'est inspiré de Salisbury - voir photo ci-dessus - pour la cathédrale). Ce qui aurait pu être indigeste s'avère assez agréable – quoique long, c'est vrai, et parfois même un peu répétitif.
Lien : http://journal-de-vance.over..

J'ai eu quelques appréhensions avant de commencer cette suite, car pour ma part, les piliers de la terre se suffisait a lui même. Un monde sans fin commence deux siècles après les évènements des piliers de la terre, ce qui fait, que les personnages principaux ont des liens avec les anciens protagonistes mais assez lointain. ont peux dire que cette suite peux être lu indépendamment des piliers de la terre car les références sont rare. Globalement j'ai apprécié cette suite mais elle est bien moins marquante que son prédécesseur. Je trouve les personnages plus caricaturaux et les enjeux moins importants que les piliers de la terre. Globalement, je trouve que l'histoire se suit bien mais je trouve qu'elle contient quelques longueurs et une fin précipité par rapport au rythme global du roman. Une bonne suite mais clairement moins bon que les piliers de la terre

Déçue. J'avais adoré Les piliers de la terre, ses personnages entiers et déterminés, son dynamisme, son âpreté parfois. Dans ce Monde sans fin, on se traine, les personnages sont agaçants, plus stéréotypés et inconsistants (les 2 principaux personnages féminins, notamment, une gourde qui trouve du plaisir à se faire violer, et une girouette qui veut tout et son contraire), les retournements de situation téléphonés. Et cette peste, dont je me suis demandée à plusieurs reprises si c 'était bien dans cet opus qu'elle décimait son monde, qui tarde à arriver... Et ce fumeux secret évoqué sur le 4 de couv., qui tel le monstre du Loch Ness, réapparait furtivement au milieu du livre, puis à quelques endroits, pour finalement faire pschitt à la fin puisque de toute façon, il ne nuira plus à personne au bout du compte, si tant est qu'il ait été nuisible à un quelconque endroit du récit. Pas totalement inintéressant, mais franchement, Ken Follett se serait abstenu de l'écrire, aucun lecteur n'y aurait vraiment perdu. Mieux vaut rester sur ce monument qu'est Les piliers de la terre.

J'avais adoré Les piliers de la Terre, mais ce roman m'a un peu laissée sur ma fin. Très lent et sans histoire prenante, nous suivons la vie de 4 personnes.