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Citations sur La vengeance des mères (189)

Le monde véritable se cache derrière le nôtre.
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Pour les lecteurs qui ne connaîtraient pas l'histoire, en 1875, May Dodd, âgée de vingt- trois ans, a été enlevée en pleine nuit dans sa maison de Chicago . séparée de force de ses deux jeunes enfants,elle a été internée par ses parents à l'asile de fous de Lake Forest ,pour le seul crime d'être tombée amoureuse d'un homme d'un rang inférieur au sien .
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Les Cheyennes croient que tout ce qui s'est passé quelque part continue d'exister dans la terre...depuis les premiers cris des bébés qui ont ouvert les yeux jusqu'aux derniers chants de mort des mourants...Toutes les joies et les peines de la vie et de la mort, tout le sang versé dans le sol pendant des générations, la terre est imprégnée de la longue histoire du Peuple.
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Avec Pretty Nose, elles nous montrent comment pousser des cris qui terrorisent nos ennemis, elles veulent qu'on sache comment nous habiller et nous couvrir de peintures de guerre pour que les petits soldats bleus fassent dans leur froc quand ils nous verront. Bien sûr, les femmes savent bien ce que c'est, les costumes de guerre, elles harnachent leurs bonhommes depuis toujours, et personne ne peut vous fiche la frousse autant qu'un guerrier cheyenne paré pour le combat, avec sa coiffe de plumes d'aigle qui descend jusqu'au sol.
Mais on s'amuse quand même de les voir hésiter à s'attifer comme ça... Elles pensent que ça fait pas bien élevé pour une femme, et elles ont jamais appris à pousser des cris de guerre. C'est tout l'inverse de ce qu'on leur a enseigné dans leur vie... Préparer les repas, coudre et broder, monter les tipis, équarrir les bêtes, tanner les peaux, faire sécher la viande, chercher de l'eau, des tubercules et ramasser du bois... Faire le ménage dans les tipis et élever les enfants, tout ce travail de chaque jour quand on vit dans la nature, un travail qu'elles font avec des vêtements simples et sobres, pas comme les gars qui paradent comme des paons avant d'aller à la bagarre.
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− Mes chères filles, nous a-t-elle reproché d'un air triste lors de nos premiers essais, ce n'est pas un cancan que vous dansez. Vous ressemblez à des petites vieilles en train de flâner au square arc-boutées sur leur canne. Pourriez lever la jambe un peu plus haut, avec un peu plus d'énergie ? Vous devez pointer les orteils vers le ciel. Ou, comme disait Finette, mon professeur, imaginer que vous donnez des coups de pied aux étoiles.
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J'ai jeté un coup d'oeilà l'Indienne sur son âne.Elle portait un manteau de bison sur une robe droite en daim,des jambières et des mocassins ,et elle avait la figure couverte d'une sorte de graisse rougeâtre ,certainement mélangée à cette argile qu'on trouve ici ,de la même couleur que les stries des falaises au-dessus de la rivière,Ses jouent etaient barrées de trois traits parallèles de peinture noire,qui lui donnaient une allure féroce et belliqueuse.Le regard fixe,les yeux rivés au- devant d'elle,elle semblait engourdie dans une sorte de torpeur.
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Sans aucun doute, vivre dans la nature s'accompagne de certaines libertés, impensables dans le prétendu monde civilisé.
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[...] c'est à cause de leurs couilles que les hommes sèment toutes les guerres, la mort et la ruine partout dans le monde. C'est à leurs couilles qu'il faut s'en prendre.
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Même Astrid, d’ordinaire si prudente et réservée, s’est prêtée au jeu et à interprété pour nous ces chants lancinants de la mer du Nord dans lesquels on entend le vent gémir, tandis que les vagues s’élèvent sur la proue des bateaux de pêche… on croit voir au lointain les côtes escarpées de son pays natal.
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Je me suis souvenue de l’unique conseil que m’avait donné ma propre maman, à propos de ma vie amoureuse, et que j’aurais dû suivre pour éviter une tragédie. « Épouse un homme qui aime sa mère », m’avait-elle dit.
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