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Harbinger tome 1 sur 6
EAN : 9782809433760
112 pages
Panini France (18/09/2013)
3.61/5   14 notes
Résumé :
Peter Stenchek est un jeune homme sans argent et sans travail. Ce qu'il a de plus que les autres ? (et qui ne le rend pas forcément fou de joie) : des pouvoirs psioniques incommensurables qui pourraient changer l'avenir de l'humanité. Il va rencontrer le puissant milliardaire Toyo Harada qui possède les mêmes pouvoirs et qui va le prendre sous son aile. Mais cherche-t-il à libérer sa puissance, à la contrôler ou à l'exploiter ?
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Après une première désillusion dans l'univers de Valiant Comics avec les très moyen Archer et Armstrong, je ne me décourage pas et me lance dans Harbringer.

Et c'est encore loupé ! Les dessins sont juste ignobles, les personnages ne ressemblant à rien. Si certains trouvent que je suis dur, allez donc au dernier chapitre et regarder la femme a fort corpulence qui est dessiné…c'est du grand n'importe quoi.

Mais s'il n'y avait que le dessin, à la limite j'aurais pu m'en contenter, mais l'intrigue c'est du copié-collé sur…X-men et Jean Grey. Et contrairement à du Kirkman et sa saga "Invincible" qui rend hommage aux super-héros existant, là on se rend bien compte que Valiant Comics veut surfer sur le succès des autres. Un minimum d'inventivité aurait été bienvenu.

Un petit mot au passage sur le personnage asiatique qui donne des noms asiatiques aux différents grades de l'école mais sans que jamais on nous explique ce que veulent dire ces grades. de même que les élèves doivent appeler leur professeur avec le terme "sensei" sans qu'une seule fois on nous explique pourquoi. Je n'ai pas eu de soucis puisque je lis des manga depuis toujours, mais une petite note en bas de pages pour les quelques termes japonisant aurait été appréciable pour les gens peu habitués à ces termes.

Deuxième lecture et deuxième déception. J'hésite à entamer une nouvelle série de chez Valiant Comics. J'avais prévu de lire X-O Manowar mais j'ai pour le coup quelques doutes…
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Harbinger est pour beaucoup de lecteurs ce que Valiant Comics peut nous proposer de mieux et ce que Panini Comics a le plus bien fait de publier en français. Je serai plus réservé, car la lecture de ce premier tome ne fut pas, pour moi, une épiphanie, une révélation fabuleuse.

La marque de fabrique des nouveaux titres Valiant Comics, notamment dans sa nouvelle version à partir de 2012, est un compromis entre la réécriture d'un concept éculé et la fraîcheur dans le rendu scénaristique. Il est clair qu'avec Harbinger, nous sommes tout à fait dans ce compromis efficace. Joshua Dysart nous livre un scénario attendu, mais raisonnable, qui rappelle clairement la saga X-Men chez Marvel Comics ; il s'en sépare pour le moment en travaillant l'aspect individuel de Peter Stanchek, auquel nous sommes censés nous identifier, et le côté bien plus sombre des desseins de Toyo Harada, que je préfère largement. de leurs côtés, Khari Evans (connu pour Carbon Grey) et Lewis LaRosa (un temps sur la série Punisher) officient de concert au dessin pour un rendu relativement agréable, rien d'extraordinaire non plus dans le monde des comics anglo-saxons.

Une bonne série en démarrage donc, en rodage même, qui mérite autant de mise en avant que n'importe quelle série de base chez Marvel ou DC Comics.

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Ce tome constitue le début d'une des séries qui ont servi à relancer l'univers Valiant partagé à partir de zéro. Il contient les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2012, écrits par Joshua Dysart, dessinés par Khari Evans, avec l'aide de Lewis Larosa pour les épisodes 2 & 3, et de Matthew Clark pour les épisodes 4 & 5. La mise en couleurs a été réalisée par Ian Hannin. Ce tome constitue une bonne porte d'entrée pour découvrir l'univers partagé Valiant.

En 1951, un jeune homme arrive dans une gorge encaissé du nord du Tibet. Il s'appelle Toyo Harada. Il pénètre dans un monastère où plusieurs dizaines de soldats le mettent en joue. Il finit par pouvoir accéder et parler à un vieux moine assis en position de lotus, semblant saigner en continu. de nos jours à Pittsburgh, Peter Stanchek (18 ans) pénètre dans une pharmacie et oblige le pharmacien à lui remettre des médicaments, en utilisant ses capacités télépathiques.

Toujours au temps présent, Toyo Harada est devenu le président d'une multinationale qui s'apprête à déployer des robots médicaux en Syrie. Il demande à ses équipes de localiser Peter Stanchek, parce le moine en sang l'a vu dans ses rêves. Stanchek a trouvé refuge dans un pavillon de banlieue dont les propriétaires sont en vacances, avec son pote Joe (Joseph Irons). Il se sert de ses pouvoirs pour se faire obéir de Kris Hathaway, une jeune femme qui fut son amie à l'école.

En 1992, Valiant publiait son premier comics : Harbinger, écrit par Jim Shooter (ex éditeur en chef de Marvel) et dessiné par David Lapham. En 2012, Valiant recommence à publier des comics, après plusieurs années d'interruption. le premier titre sort en mai 2012 : X-O Manowar. En juin 2012, c'est au tour d'Harbinger. Vu de l'extérieur, le lecteur se dit qu'il va découvrir une variation pas forcément originale des X-Men, avec un jeune mutant (le terme utilisé dans la série est celui de psiot, parce que Marvel dispose d'un droit de préemption sur le terme Mutant) qui est recruté dans une école pour surdoués par un télépathe de grande ampleur.

Dans les faits, il découvre une introduction avec un moine tibétain en 1951. Puis il passe au temps présent, dans une ambiance réaliste, à suivre 2 jeunes fugueurs dont 1 avec des dons de télépathe qu'il ne contrôle pas. de son côté, Toyo Harada est le propriétaire d'un conglomérat prospère, un capitaliste, un homme d'affaires dont l'altruisme s'exprime par des produits (les robots médicaux) à visée humanitaire. Khari Andrews, Lewis Larosa et Matthew Clark font un effort manifeste pour rester dans un registre réaliste. Ils réalisent des dessins descriptifs.

Le lecteur n'éprouve pas vraiment l'impression d'être placé dans une position de touriste, pour visiter le centre-ville de Pittsburgh, ou sa banlieue pavillonnaire. Toutefois, il y a assez de détails pour que ces 2 lieux fassent authentiques. Les gratte-ciels de downtown rutilent, avec leurs bureaux éclairés 24 heures sur 24, la foule est vêtue de vêtements fonctionnels et diversifiés. L'échoppe du pharmacien est encaissée dans un milieu urbain dense. Les pelouses de la banlieue s'ornent de jeux pour enfants sur le devant, d'une petite clôture autour de la piscine derrière. Les couloirs et les pièces de la Fondation Harbinger sont plus fonctionnels. Les appartements privés d'Harada disposent d'une décoration et d'un ameublement luxueux. La chambre de Faith Herbert est décorée d'objets geek, à commencer par des maquettes de Star Wars.

Evans a conçu des apparences spécifiques pour chacun des personnages, permettant facilement de les identifier, sans que leur apparence ne soit exagérée. Au cours de la lecture, la présence de plusieurs d'entre eux ressort avec force. Il y a la gentille Ingrid Hillcraft dont le lecteur voit qu'il s'agit d'une dame d'une cinquantaine d'années, posée, délicate de constitution, sans aucune velléité de confrontation physique. Il y a Kris Hathaway dont la force de caractère et sa défiance se lisent sur son visage et dans ses postures. Il y a également l'inattendue Faith Herbert dont la morphologie défie tous les critères habituels des comics, pour une représentation très honnête de son obésité (avec le goitre).

Les expressions des visages sont variées, avec parfois un petit manque de nuance. Néanmoins, l'artiste a fait un effort réel pour concevoir des expressions qui reflètent le caractère de l'individu. Ainsi Peter Stanchek a un visage assez dur et fermé, alors qu'Ingrid Hillcraft a un visage souriant et empathique pour mieux mettre en confiance ses clients (elle est psychologue). Les expressions de Faith Herbert en disent des volumes sur sa personnalité et son état d'esprit (c'en est presqu'effrayant). Khari Evans évite de donner une apparence bon enfant à ses personnages, par les modalités de son encrage. Plutôt que d'utiliser un trait d'épaisseur variable avec des pleins et de déliés, il préfère repasser plusieurs fois au même endroit. le résultat n'est pas très agréable à l'oeil, comme si l'artiste avait eu besoin de s'y reprendre à plusieurs reprises jusqu'à réussir le contour qu'il souhaitait.

Pas facile pour un scénariste de donner envie de lire une histoire qui rappelle celle des X-Men, et qui en plus est une redite d'une version datant de 20 ans auparavant. Pourtant Joshua Dysart parvient en 5 épisodes à raconter une histoire qui justifie son existence par rapport aux 2 modèles cités. Pour commencer, il ne rentre pas dans le moule d'une histoire de superhéros traditionnels. Il n'y a pas à proprement parler de costume de superhéros, juste les uniformes de la Fondation Harbinger. Il n'y a pas de baston avec échange de horions, mais des affrontements avec télékinésie. Il n'y a pas non plus d'altruisme impossible ou de patrouille pour lutter contre le crime.

Joshua Dysart utilise une approche plus naturaliste, dans laquelle Peter Stanchek souffre de son don, incapable de se protéger des pensées des autres, si ce n'est en s'abrutissant avec des médicaments. Il ne met pas ses capacités au service de la communauté, mais il en profite, et même en abuse. En face Toyo Harada n'est pas un père de substitution prêt à accueillir les individus persécutés. Il choisit ceux qu'il accueille et il les fait former à la maîtrise de leur pouvoir au sein de sa fondation.

En seulement 5 épisodes, le scénariste réussit à introduire la majeure partie de ses personnages de manière naturelle. Il développe plus Peter Stanchek, Joseph Irons et Faith Herbert que les autres (Charlene Dupre, Rachel Hopson, Daniel Hessler, Amanda McKee, Edward Sedgewick). Toutefois ces derniers montrent chacun leur caractère dans la manière dont ils s'expriment. Il parvient également à établir la nature des superpouvoirs, à chaque fois un pouvoir de l'esprit, la façon dont ils se manifestent la première fois, et comment se déroule le processus de recrutement. Il dévoile quelques éléments sur le passé d'Harada et sur celui de Stanchek. Au cours du récit le lecteur apprend quelques éléments de contexte sur l'organisation de la Fondation Harbinger, sur le positionnement des produits du conglomérat Harada, sur l'absence de d'informations délivrées au public concernant les psiots.

Joshua Dysart et Khari Evans relèvent le pari délicat de lancer un nouveau comics sur une équipe de superhéros, qui présente assez de spécificités pour se démarquer de la production mensuelle et pléthorique de Marvel et DC. de ce point de vue, le pari est réussi, car Peter Stanchek ne rentre pas dans le moule des superhéros traditionnels, et il n'y a pas à proprement parler de supercriminel dont il faudrait contrecarrer le plan machiavélique du mois en cours. Ils s'écartent également du moule traditionnel par la personnalité de leur protagoniste principal (pas vraiment altruiste), des seconds rôles, et du mode d'utilisation des superpouvoirs.

Le lecteur ressort donc de ce premier tome avec la forte envie de connaître la suite du récit, même s'il connaissait déjà la version de 1992 de ces personnages. Il en ressort aussi avec l'impression d'avoir lu un prologue, que les personnages ne sont pas encore tout à fait assez développés, que le dessinateur éprouve quelques difficultés à conserver une consistance suffisante dans ses dessins en recourant régulièrement à des têtes en train de parler (mais avec un arrière-plan), et que le deuxième tome devra confirmer l'originalité de la série (c'est-à-dire prouver qu'elle ne rejoigne pas le schéma traditionnel des séries de superhéros).
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Harbinger est un comics qui me tentait mais sans que jamais je saute le pas pour me procurer un exemplaire. Je remercie Babelio et les éditions Panini pour cette lecture. Si dans les premières pages on laisse sa chance à l'histoire, très vite on est forcé de constater qu'il n'y a pas grand-chose pour renouveler le genre.

C'est l'histoire de Peter, qui vagabonde de ville en ville avec Joe, son ami schizophrène (une pathologie à la mode ou bien la seule que tout le monde connait ?). Les deux sont en fuite après s'être évadés d'un hôpital psychiatrique. Évidemment, les choses vont très vite mal tourner (entre l'un qui s'obstine à revenir dans la maison de son enfance et l'autre qui ne prend pas ses médicaments…). Heureusement, Toyo Harada, déguisé en mignon petit toutou, va décider qu'il est temps de prendre sous son aile le jeune Peter.

Peter va alors rejoindre l'école high-tech du plus beau, du plus riche, du plus sage, du plus fort, du plus intelligent, du plus puissant : je nomme Toyo Harada, pour parfaire ses pouvoirs et mieux les contrôler. Car, comble du hasard, Peter fait partie des très rares personnes sur Terre à posséder des pouvoirs et encore plus rare, il s'est "activé" tout seul.

Nous voilà avec deux personnages très puissants qui ne vont pas du tout s'entendre et vont tout casser sous le seul prétexte qu'ils sont bien plus légitimes pour changer et façonner le monde que de simples humains normaux. D'un côté, l'anti-héros Peter qui n'aime pas faire de mal aux gens, mais qui ne voit aucun inconvénient à abuser de ses pouvoirs quand ça l'arrange et de l'autre un riche homme d'affaire affublé d'un petit complexe de Dieu.

Des gens dotés de superpouvoirs, des organisations qui les traquent, une minorité incomprise destinée à changer le monde, autant d'éléments que l'on retrouve plus ou moins à chaque fois dans les histoires de ce genre : X-Men, les 4400, Heroes, Mutant X, les Avengers, Alphas, Push et j'en passe !

En règle générale, j'aime bien les anti-héros, mais pas de chance pour Peter, j'ai aucune sympathie pour lui. Je ne me suis même pas intéressé à son personnage. A vrai dire, il n'y a pas vraiment de personnages auxquels j'ai accroché. Peut-être, l'ingénue, enthousiaste et geek Faith qui met un peu de joie et de bonne humeur dans cette sombre histoire.

J'ai globalement passer un bon petit moment même si quelques petites choses m'ont agacées comme ce besoin d'en faire des tonnes, de donner tant de puissance aux personnages principaux, de vouloir élever les desseins des protagonistes au niveau planétaire…
Les dessins sont bien, agréables à l'oeil et clairs. le style me plaît assez. Et j'avoue avoir complètement adoré et adhéré à la couverture accompagnée d'un flashcode et qui permet de voir la bouche de Toyo Harada s'animée et discourir lorsque l'on place son iPhone à l'endroit indiquer sur le visage. Vraiment très bien fait, l'illusion fonctionne parfaitement et j'ai trouvé dommage qu'il n'y ait pas d'autres trouvailles du genre dans le tome avec des scènes animées qui s'intègrent dans l'histoire. Un peu plus d'interactivité de ce genre aurait différenciée un peu plus cette histoire de ce qui se fait ailleurs.

Difficile encore de juger de la qualité de la série. Bien que le début soit convenu, tout peut encore évoluer. Un tome qui nous introduit bien dans ce nouvel univers mais qui peut lasser par son côté déjà-vu, que ce soit dans les thèmes, les personnages ou l'histoire. Certains éléments suscitent un léger intérêt de part le mystère qui les entourent et donnent envie de poursuivre encore un peu. A voir donc ce que donnera le second tome...un dernier quitte ou double pour Harbinger donc !
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Un jeune gars paumé, Peter Stanchek, qui se lie avec des personnes aussi perdues que lui, tente de se faire une place dans une société qui ressemble fort à la nôtre. Il possède un don particulier qui lui facilite (ou pas) son quotidien : il a la capacité de lire les pensées des autres et de les influencer. Repéré par un milliardaire à la recherche de personnes "spéciales" (entendez par là, qui ont un don), il tente d'enrôler Peter dans son école - la fondation Harbinger. Oui, tout cela a un petit air de déjà lu. L'auteur propose sa propre version de "l'école réunissant des gens aux pouvoir spéciaux".
Ce premier tome est pour nous l'occasion de faire connaissance avec Peter, avec son enfance difficile, et découvrir qui il est. Nous allons également faire connaissance avec le milliardaire qui dirige la fondation Harbinger, puissant et secret comme il se doit. La rencontre entre les deux s'avère tendue et le but de tout cela reste encore mystérieux dans ce premier tome...
Harbinger est tout à fait conforme à l'idée que je me fais du comics : des super-pouvoirs, de l'action et un graphisme expressif, tendant vers le criard.
Les personnages ont des caractères forts, ne mâchent pas leurs mots. La vie est dure et ne leur fait pas de cadeau. Par contre, je n'ai pas réussi à m'y attacher, il leur manque un petit plus pour les apprécier pleinement. L'histoire est sous-tension et est prenante. le scénario, bien ficelé, est intriguant. le graphisme ne m'a pas semblé spécialement original mais il colle parfaitement à l'histoire. Bref, cela m'a plu mais pas totalement emballée.
Grâce à l'opération masse critique, j'ai fait une découverte intéressante d'une genre que je connais très peu, le comics. Merci à Babelio et aux éditions Panini.
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critiques presse (2)
BullesEtOnomatopees
12 novembre 2013
Harbinger c’est une thématique résolument adulte, où le scénario de Joshua Dysart aborde notamment la notion de pouvoir, et les dérives potentielles de son utilisation. Il est servi par d’excellents dessins de Kahri Evans. Décidément le démarrage de l’univers Valiant en France est prometteur !
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Sceneario
02 septembre 2013
Une série qui commence donc très très bien, avec beaucoup de potentiel et une intrigue captivante. Aux dessins nous retrouvons Khari Evans avec un dessin réellement très bien adapté au récit, parfait pour les moments calmes, et parfait encore une fois pour tout ce qui touche aux ambiances plus tendues. C'est excellent !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Il y a trois genres de personnes dans ce monde.
Les normaux. Certains sont intuitifs, d’autres non.
Les latents, ceux qui ont le don au fond d’eux et qui ne le découvriront probablement jamais. Très rares.
Et nous. Nés activés. Très, très rares.

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Tu es toujours le bienvenu dans mon esprit, Harada…mais j’ai peu que tu découvres…que la vision n’a pas changé. Peter Stanchek est le grand destructeur.
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Le monde n'a que peu de patience pour les monstres.
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