Premier tome d'un dyptique. Des coups sont frappés à la porte. C'est la police. Jérôme sort du coaltar... Mais que fait-il un pistolet à la main dans un appartement inconnu, face à une vieille dame qui semble morte... d'un coup de revolver...
Une option: la fuite.
A l'abri chez sa concierge, mais pour combien de temps, Jérôme retrouve ses esprits et le reste de l'album est un long flashback qui explique au lecteur les événements qui ont conduit Jérôme à cette situation inextricable. Tout part d'un tableau trouvé aux puces de Saint-Ouen (fort bien rendues par Dodier). Acheté pour une bouchée de pain, ce tableau semble valoir une fortune. Il révèle aussi des secrets de famille, inavouables comme tout secret de famille.
En retraçant les événements passés, Jérôme (et Dodier) offrent une occasion au lecteur de se faire une idée sur le coupable possible. Car la vraie propriétaire, une comtesse désargentée à la retraite qui donne des leçons aux enfants de la cité, avait confié à Jérôme le soin de découvrir qui avait bien pu s'emparer du tableau afin de le vendre aux puces... Un papa d'élève, le commissaire-priseur, le petit-fils de la comtesse, une voisine...?
L'enquête commence, suite dans le tome 16.
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Bloche se retrouve embarqué dans une histoire de famille assez dramatique, recherché par la police pour tentative d'homicide. Beaucoup de mystère et de suspense dans la narration et toujours cette pointe d'humour qui se dégage de notre détective préféré.
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Cette fois, Jérôme est pris au piège, victime des apparences. le scénario, d'une grande efficacité, mélange aventure et quotidien, sérieux, suspense et humour avec des personnages actuels et décalés. Je ne dirai jamais assez de bien du dessin tout en finesse de Dodier. A recommander.
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Sur le bureau, les téléphones sont là pour faire débordé. Le minitel et l'ordinateur sont là pour faire moderne, et la bouteille de whisky... eh bien, c'est pour faire comme dans les films !
Eh ! Les paincos ! Lookez un peu le keum en Lexso !
Jérôme K Jérôme Bloche 28