La violence n'apprend rien. La misère, la solitude et le désespoir non plus.
Ceux d'en haut les appellent "occasionnelles", ces femmes de chambre, ouvrières, couturières ou blanchisseuses, qui se vendent pour s'acheter, le plus souvent, l'expédient qui leur donne le courage de se vendre. Cercle vicieux, infernal. Cercle. Clos. Dont on ne s'échappe qu'en se remettant à une charité qui tue plus sûrement que la pauvreté la plus noire.
La différence entre un homme à soi et les autres, c'est que le sien croit ne pas payer.
Les rêves sont des histoires que nous murmure notre esprit la nuit. Nous les inventons nous-mêmes et pourtant, nous ne les connaissons pas.
Ceux d'en haut les appellent "occasionnelles", ces femmes de chambre, ouvrières, couturières ou blanchisseuses, qui se vendent pour s'acheter, le plus souvent, l'expédient qui leur donne le courage de se vendre. Cercle vicieux, infernal. Cercle. Clos. Dont on ne s'échappe qu'en se remettant à une charité qui tue plus sûrement que la pauvreté la plus noire.
La différence entre un homme à soi et les autres, c'est que le sien croit ne pas payer.
La violence n'apprend rien. La misère, la solitude et le désespoir non plus.
Les rêves sont des histoires que nous murmure notre esprit la nuit. Nous les inventons nous-même, et pourtant, nous ne les connaissons pas.
Comprendre, quand la vie vous est expliquée à coups de pied, à coups de poing ! La violence n'apprend rien. La misère, la solitude et le désespoir non plus.
Des usines, des crassiers, des taudis et de la suie partout... Les faubourgs de Londres. Londres... Londres ? Le centre du monde, la puissante, l'abondante cité... façonnée par le génie de l'homme ? Est-ce possible qu'un tel joyau s'accommode d'un écrin pareil, un écrin de crasse et de misère ? Faut-il avancer encore quand tout, ici, paraît n'être qu'un avant-goût de l'enfer ?