Six remarquables nouvelles du grand écrivain Thomas DISCH.
Un roman avec différentes nouvelles toute aussi agréable à lire les unes que les autres.
Ces nouvelles sont futuristes.
Le style dst parfait.
La couverture ainsi que le titre correpondent aux nouvelles.
Auteur à suvire
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J'ai mis quatre mois à finir ce recueil, c'est assez représentatif de ce que je pense de celui-ci une fois terminé. Les idées sont bonnes et la saga familiale que nous livre Thomas DIsch à travers ses nouvelles pourrait être fascinante. Même le contexte est intéressant. Mais on ne se perd pas dans les histoires concernant tous les membres de la famille et dans l'écriture de l'auteur.
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Un ensemble de nouvelles cohérent qui décrit la vie de quelques habitants d'un immeuble dans un futur assez absurde. J'avoue avoir eu du mal avec le style de l'auteur, parfois haché, avec des paragraphes qui paraissent inutiles dans une nouvelle. A noter qu'il parle assez librement de sexe, ce qui est assez rare à l'époque de l'écriture.
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Elle ne pouvait pas les laisser se servir sans réagir. Comme si elle était morte et qu'ils pouvait lui faire les poches en toute tranquilité. Ces meubles lui appartenait, c'était son bien, et ils restaient là à attendre que Salope revienne avec des renforts pour l'emmener. Comme des vautours, ils attendaient la curée. Eh bien, ils pourraient attendre tout leur saoul, parce qu'ils n'en auraient pas une miette !
Leda grimaça tout à coup. Ses douleurs. Du plat de la main elle comprima bourrelet de chair sur le côté de son sein droit, à l'endroit où elle pensait que se trouvait son foie. Elle ferma les yeux pour essayer de llocaliser la douleur, qui avait disparu.
La fin du monde. Je vais vous dire, moi. La fin du monde, il y a cinquante ans que c’est arrivé. Peut-être cent. Et depuis ç’a été formidable. Je parle sérieusement. Personne ne vient vous casser les pieds. On peut se laisser aller. Vous savez quoi ? J’aime bien la fin du monde.
Il devrait carrément se lever et lui poser cette question-là, au professeur Ohrengold, et sans y aller par quatre chemins. Mais on ne discute pas avec un écran de télé, et le professeur Ohrengold n’était rien de plus – une nuée de points lumineux. L’appariteur avait même dit qu’il était mort depuis longtemps. Encore un satané expert mort sur une satanée cassette.
Et voilà que le professeur Ohrengold réapparaissait, reprenant son « bleb bleb bleb Rauschenberg et bla bla bla, l’enfer de Dante est un enfer atemporel. C’est l’enfer que chacun de nous recèle au plus profond de son âme ».
Merde, se dit Birdie, avec une grande précision.
Tout ça c’était de la merde.
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