𝐋𝐞𝐬 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐩𝐞𝐮𝐫, 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐜̧𝐚 𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐮̂𝐫 𝐪𝐮𝐞 𝐜̧𝐚 𝐧'𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐞 𝐯𝐢𝐞
Le premier récit d'
Adeline Dieudonné, une autrice belge, m'a sincèrement bouleversé.
La vie de la famille qu'elle dépeint dans les premiers chapitres pourrait être une représentation assez fidèle de mon enfer personnel, c'est un peu la vie que j'imagine si je ratais la mienne.
Devenir une coquille vide, obligée de finir ses jours dans un lotissement moche, avec un mari aussi pitoyable, où la seule chose qui me ferait pétiller serait de m'occuper d'une chèvre qui porte le nom d'une épice fade.
Une amie du club de lecture auquel j'ai participé m'a vivement recommandé ce livre qui l'avait happé pendant sa lecture. de ce fait, étant en plein blocus pour la période d'examen, je me suis dit que j'allais commencer ce court roman pendant ma pause de 15 minutes.
Pause de 15 minutes qui s'est élargie à une pause d'une bonne heure pour terminer ce livre de l'horreur.
Dans ce livre, on suit l'histoire d'une famille de deux enfants, un père chasseur et une maman (une coquille vide). Les jours se suivent et se ressemblent mais un jour, tout bascule, lorsqu'un accident se produit dans le Démo. A partir de ce jour, rien n'est plus pareil, le petit frère de la protagoniste change radicalement et l'héroïne va tenter de le sauver.
Dans ce récit, la mort rôde partout là où l'on ne s'y attend pas et à partir de ce fameux accident, on est happés par ce récit qui devient une véritable course contre la montre..
Depuis que j'ai refermé le livre, je cherche encore qui est (qui sont ?) le véritable monstre de cette histoire.
Je recommande vivement et je pars de ce pas m'intéresser à d'autres ouvrages de cette autrice !