Il (le Tao-Te-King) se prête trop aisément aux divagations des rêveurs férus de « philosophie orientale », et semble dire tout ce qu'on veut lui faire dire. Et pourtant c'est bien de cet ouvrage que sort l'un des plus puissants courants de la culture chinoise. Glosés par des milliers de commentateurs, parmi lesquels plusieurs empereurs, ses aphorismes ont inspiré toutes les écoles de pensée.