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3,88

sur 314 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le sujet est tristement d'actualité. Les fauves met en avant des faits encore peu connus comme le djihad du sexe, le tout agrémenté de véritables articles de presse.

Soulignions également le judicieux traitement de la dépendance aux drogues (Laurent Karila, spécialiste en addictologie, est d'ailleurs cité dans les remerciements).

Ingrid Desjours a appris à doser son écriture et les éléments transgressifs qu'elle aime inclure dans ses textes sans pour autant perdre sa personnalité.

Le succès est dort et déjà au rendez-vous, la dame aura même les honneurs de voir son précédent roman adapté en série TV sur Arté.
Lien : http://dubruitdanslesoreille..
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J'ai commencé ce livre le 13 novembre 2015 quelques heures avant l'annonce des attentats.
J'attendais cette lecture avec impatience, d'autant plus que ce livre était en lien avec l’actualité ...peut être justement avec trop d'impatience.
Je n'ai pas du tout réussi à m'attacher aux personnages, j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce livre (plus d'une semaine de lecture). Je trouve qu'on tourne autour du thème sans jamais y allait vraiment...
La fin ma profondément étonnée et pas plus du tout.
Idem on tourne autour du syndrome post-traumatique des militaires sans jamais approfondir..
Vraiment très déçu par se livre

Lien : http://bookliseuse.blogspot...
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Je n'avais même pas lu le résumé que ce thriller m'intéressait déjà, grâce à son auteure. En effet, j'ai adoré le style d'Ingrid Desjours dans Tout pour plaire. Elle sait manipuler le lecteur du début à la fin, au point que l'on ne sait plus quoi ou qui croire, et nous retourne le cerveau avec ses dénouements. C'est encore le cas avec ce thriller, mais je n'ai toutefois pas autant apprécié.


Je ne savais pas que l'histoire avait pour point de départ les événements du 7 janvier 2015, notamment Charlie Hebdo et, sans que ce soit relaté à toutes les pages non plus, l'atmosphère est tout de suite imprégné de cette ambiance, ce qui m'a souvent mise mal à l'aise.
Le ton est froid, très noir, et on assiste à beaucoup de violence et de perversité (dans tous les sens du terme : aussi bien en ce qui concerne la manipulation que sur le plan sexuel par exemple), ce qui ajoute à la tension que l'on rencontre dès le départ et qui s'intensifie au fil des pages. Malgré tout, j'ai voulu continuer, voir ce que l'auteure nous réservait pour la fin, particulièrement forte en adrénaline, en suspense et en violence, et j'ai été réellement captivée à partir de la moitié du roman. Là, je n'avais plus envie de m'arrêter de lire. J'avais envie de connaître la vérité, savoir jusqu'où certains personnages étaient prêts à aller dans leur folie, car l'auteure a parfaitement su maîtriser le côté psychologique des protagonistes. Les événements de leur passé respectif a une conséquence, un impact sur leurs actions dans le présent et c'est très intéressant à découvrir et à suivre.


Haiko est journaliste et fait également partie de l'association N.e.r.F. (Nos enfants resteront en France). Peu après la mort de sa meilleure amie, membre également de l'association, elle est devenue la cible d'une fatwa et a donc décidé d'engager un garde du corps. Lars accepte ce travail et mène sa petite enquête sur tout ce qui concerne Haiko, afin de mieux la cerner et donc, de mieux la protéger. Mais plus il découvre des choses, plus il rencontre des personnes qui lui apprennent des choses, plus il doute de l'honnêteté de la journaliste...
Chaque personnage, aux facettes plus ou moins sombres, cache quelque chose d'inavouable, quelque chose qui les a forcément changé, transformé même, à un moment ou à un autre. C'est comme ça que l'auteure nous tient en haleine jusqu'au bout, en jouant avec nos nerfs, en nous en dévoilant petite dose par petite dose, nous rendant paranoïaque et suspicieux envers tous ses personnages, au point que l'on ne sait pas à quoi s'en tenir réellement avant la fin.


Alors que les événements du 7 janvier sont toujours dans nos mémoires, l'auteure se base dessus pour en faire un thriller étonnant, cru, violent et extrêmement sombre. Il n'est pas uniquement question de terrorisme, d'autres points sensibles sont également soulevés comme les amalgames, l'influence des médias et des réseaux sociaux, la guerre et ses séquelles, l'addiction à différentes sortes de drogues (combats, drogues pures, jeux vidéos ; même si pour cette dernière, c'est plus un clin d'oeil qu'un véritable sujet lié à l'histoire). Tous ces sujets sont exploités avec beaucoup de noirceur et celle-ci s'intensifie à mesure que l'on avance dans l'histoire. Un thriller efficace mais parfois dérangeant par bien des aspects.
Lien : http://uneenviedelivres.blog..
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Un bon gros pavé noir. Tout noir. On se dit dès le départ que ça va pas être une histoire à l'eau de rose. Ingrid Desjours, contrairement à ce que peut laisser entendre son patronyme, que je ne connaissais pas, dévoile un roman sombre et violent. Un histoire subtilement ficelée, dans laquelle le lecteur est manipulé, du début à la fin, par l'enchainement de chapitres assez court, chacun s'enfonçant un peu plus loin dans la conscience des personnages. D'un côté la femme courage que rien n'arrête, Haiko, mais qui se révèle bien mystérieuse, de l'autre, Lars, gueule (et âme) cassée de l'Afghanistan aux biceps épais et tatoués, garde du corps le jour, fauve du ring la nuit. On accroche au rythme haletant et aux rebondissements inattendus, encore une fois, on sent que tout est sous contrôle, nous y compris.
Mais.. oui mais.. le sujet est diaboliquement ambitieux, certes, traiter de l'intégrisme religieux, de l'islamisme particulièrement (mais pas que) et de ces jeunes français (le plus gros foyer de jeunes partant faire le djihad reste la Tunisie), tout ça est très...d'actualité n'est ce pas ? Et je trouve qu'évoquer un sujet aussi complexe dans un roman, même bien mené (mais ça reste un polar et pas un essai géopolitique), doit nous pousser à rester vigilant, il faut rester méfiant, et prendre les informations qu'il fournit avec des pincettes.
Dans les sources citées je trouve : un album de Saez, donc je reste encore plus méfiant.
Blague à part, ce que je veux dire c'est : est ce qu'on a assez de recul pour comprendre vraiment comment tout ça fonctionne ?
Le jeu d'écriture est d'ailleurs parfois perturbant, on passe (enfin je crois) du point de vue d'Haiko à celui de Lars, donc ok, c'est peut être la conscience des personnages, mais il y a certaines réflexions qui ont suscité l'étonnement chez moi : sur l'homosexualité, sur l'intégrisme religieux de manière générale, l'influence des médias (sur une opinion publique visiblement asservie) mais aussi sur les jeux vidéos (qui "dévoient la jeunesse")..bref, un côté "c'était mieux avant"- je n'irais pas jusqu'à dire réactionnaire - qui m'a déplu.

En somme : un bon polar sur une actualité brulante. Allez-y, lisez !
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Je remercie les éditions Robert Laffont et Babelio pour cette lecture. Je découvre Ingrid Desjours avec ce roman. Et je dois lui reconnaître un énorme talent. Elle maitrise son histoire à la perfection, elle entraîne le lecteur avec elle et celui-ci assiste aux événements, totalement impuissant. Ce roman vous retourne le cerveau et il devient très vite difficile de distinguer le vrai du faux.

L’intrigue du roman fait écho aux événements de ce début d’année, à savoir l’attentat de Charlie Hebdo et tout ce qui en a découlé ensuite. C’est donc un sujet brûlant qui anime ce roman. Ingrid Desjours s’en sert avec beaucoup d’intelligence et sans aucun jugement. Elle n’émet aucune critique ou autre, elle se sert de ces événements pour nourrir son récit. Et pour ça, je dis chapeau. C’est courageux et c’est très bien fait. J’adhère totalement.
A cela, elle a ajouté une intrigue complètement dingue qui vous embrouille totalement. Elle nous emmène sur plein de fausses pistes. Quand on croit avoir compris et bien non on avait en fait tout faux. C’est superbement écrit. L’histoire est vraiment bien menée du début à la fin. Elle sait où elle va et comment et elle nous y emmène avec brio. Je lui reprocherai toutefois un tempo assez lent qui donne quelques longueurs. Je pense que les différents éléments auraient pu être amenés avec un peu plus de rythme.
Le final, quant à lui, est tout simplement atroce mais c’est un coup de génie. Les derniers éléments se mettent en place et on se prend une énorme claque. Cette fin m’a tout bonnement scotchée et elle va me poursuivre longtemps. Aux vues des événements, c’était une fin inévitable mais c’est tout de même un choc d’y assister.

Les personnages m’ont mise mal à l’aise. Ils sont bien pensés, de façon à servir au mieux l’intrigue. Ils contribuent fortement à cette atmosphère sombre et ambiguë. Haiko est une femme « vénéneuse ».
On ne sait jamais sur quel pied danser avec elle, elle est déroutante. D’un chapitre à l’autre, on a l’impression de voir une personne différente. Elle n’a pas l’attitude qu’on attend d’elle. Elle joue un jeu dangereux. Elle se rend détestable mais en même temps elle se révèle si fragile. Ce sont les dernières pages qui montrent qui elle est vraiment. C’est très bien joué de la part de la part de l’auteure.
Quant à Lars, c’est une bombe à retardement. Il peut « exploser » à tout moment et c’est ça qui le rend si dérangeant. Il est très instable. On en vient à douter de lui aussi, on ne sait plus de quoi il est capable. Mais je pourrais dire ça de tous les personnages. Tous ont un comportement suspect et on se méfie de chacun. Qui dit la vérité ? Qui ment ? C’est impossible de le savoir.

L’écriture est crue, sans détours pour plus d’efficacité. Le récit n’en est que plus percutant et très vivant. Aucun détail ne nous est épargné. Ingrid Desjours sait comment jouer avec ces lecteurs, elle sème le trouble pour mieux nous surprendre ensuite. Ce qu’elle réussit à merveille. Ce roman est un beau pavé mais il se lit très bien.
L’ancrage dans la réalité donne plus de poids à cette lecture. On se dit que tout est possible et ça ne rend cette lecture que plus effrayante.

Les Fauves est un thriller psychologique de haute volée. Rien n’est joué d’avance. L’auteure trouve toujours une pirouette pour mieux relancer son histoire. Les personnages contribuent fortement à la qualité du récit. Ils sont glaçants tant leur attitude est étrange. On ne sait plus qui manipule qui et au final, c’est l’auteure qui a le dernier mot.
Seul regret, le tempo du récit qui fait que tout se concentre vraiment dans les dernières pages.
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"Les Fauves" relate l'histoire de deux personnages principaux, anti-héros et déchirés par leurs démons respectifs dans un contexte très actuel : les menaces djihadistes, les emprises morales du monde moderne...

Ils sont tous les deux victimes de manipulations qui les dépassent, ils sont tous les deux broyés par le système et n'en ressortent évidemment pas indemnes.

Le livre est très bien structuré, les événements s'enchainent rapidement, on ne s'ennuie pas une seconde ! de plus, il est intéressant, personnellement j'ai appris pas mal de chose sur ces jeunes qui partent en Syrie faire le djihad.

On regrettera cependant la pauvreté des sources des citations de début de chapitre (Citer Saez et Wikipedia... sérieusement ?), le côté très cliché (les pseudos des utilisateurs twitter, les personnages...) et le côté fleur bleu qui m'a clairement rappelé ma tentative (vaine je vous rassure) de lire "50 Nuances de Grey". En somme, on voit que c'est une femme qui en est l'auteur.
Un exemple plus parlant : le passage où Lars est paralysé parce que Haiko prétend être enceinte de lui est complétement tiré par les cheveux. Cela m'étonnerait fortement que quelqu'un se dise "oh mon dieu, non, elle porte mon enfant, je ne peux plus lui faire peur ni la tuer, je ne peux plus rien faire oh mon dieu", à plus forte raison un caractère fort qui a un peu tout vécu comme Lars.
Certains moments de ce style vienne vraiment gâcher l'ensemble du roman.

En conclusion, c'est une lecture qui reste très agréable et rapide. Je remercie donc Babelio et les éditions Robert Laffont pour me l'avoir fait découvrir, bien qu'il ne m'est pas entièrement convaincu ce fut tout de même une bonne surprise.
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Comment un journaliste, objet d'une fatwa, peut il vivre ou simplement survivre à Paris, en 2015, dans un contexte "post Charlie", voici la question traitée par Ingrid DESJOURS dans son remarquable roman "les fauves".

Menaces, manipulations, intoxications, désinformations, le cocktail sulfureux de Vladimir VOLKOFF est une fois encore décrit et l'on voit le rôle des armes de destruction massive que sont devenues certaines fins de soirées télévisées ou les réseaux sociaux (You tube, Tweeter et Facebook). Les "idiots utiles" y font le jeu des extrémistes de tout poil en colportant et amplifiant les ragots et rumeurs invérifiables et en accusant de pédophilie et de racisme ceux qui les gênent.

Sur quoi repose la confiance entre deux êtres et notamment entre une cible potentielle et son gorille ?
Comment se renforce ou se fissure cette confiance ?
Ingrid DESJOURS décrit avec finesse l'évolution psychologique de ses héros face à ces questions fondamentales dans toute société humaine.

Roman haletant, dont les 80 dernières pages feront date, mais la conclusion m'a peiné car j'aime voir le bien triompher et le mal puni ... et non l'inverse.

J'ai regretté que l'écrivain se complaise à décrire Sodome et Gomorrhe et dégrade ses héros en les jetant au milieu des fauves dans des scènes d'une grande animalité qui ne contribuent pas à l'intrigue et sont d'autant plus choquantes que c'est une femme qui commet ces pages !
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Un grand merci à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique.
Mon choix, dicté par un sujet au cœur de l'actualité, me laissait présager une plongée dans un monde sous terrain de djihadistes, de recruteurs, de contre espionnage, d'actions sur le terrain même au moyen orient: une sorte de "Je suis Pilgrim" à la française.
Que nenni.
L'action se situe en France (excepté deux petits chapitres - 2 pages- en début et fin du roman),
Aucune empathie envers les personnages, trop caricaturaux. Notamment:
Haiko, centrale, jeune, belle, indépendante, laïque, pasionaria de la lutte féminine et fondatrice d'une association "empêchant" le départ des ados en Syrie.
Lars, garde du corps, ancien militaire traumatisé revenant d'Afghanistan, sorte de Rambo shooté aux amphétamines, ayant un discours sur les femmes suintant la testostérone.
Ces deux là, passent le premier tiers du livre à douter de la sincérité de l'autre, des situations rencontrées et à s'éviter tant leur attirance est réelle: c'est une suite de questionnements, de dialogues ping pong sans grand intérêt si ce n'est accentuer leurs traits respectifs.
Bien sur, l'auteure a travaillé son sujet (cf les apartés en tête de chapitre), s'est inspirée de certaines situations authentiques; mais celles-ci sont prévisibles jusqu'au dénouement proposé.
L'écriture est simple, concise. Peu de digression pour mettre en perspective certains évènements.
J'ai eu l'impression de survoler l'histoire, sans pouvoir me raccrocher à quelqu'un(e)/quelque chose pour me laisser transporter: un lecteur à la dérive.
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Les éditions Robert Laffont lance une série « polar ». Pour l'occasion, 2 livres de la série ont été proposés dont Les Fauves, d'Ingrid Desjours

Lars est un ex-militaire revenu marqué d'Afghanistan. Il a de grandes difficultés à reprendre une vie normal. Malgré tout, il est garde du corps et est même contacté par Katia Homoreanu, une journaliste reconnu, quand sa fille est menacé par une fatwa, et la meilleure amie de celle-ci tuée. Cependant, les bruits courent autour de Haiko (la fille en question) et le garde du corps se met à avoir des doutes sur les agissements de sa cliente, qui est connu pour empêcher des jeunes de partir en Syrie…

Les fauves est un bon livre, bien écrit, et qui se lit trés rapidement avec le désir d'en connaitre les tenants et aboutissants. de plus, il surfe sur l'actualité et peut donc même répondre à quelques questions qu'on pourrait se poser sur le sujet, même si ce n'est pas là son but premier. Et la grande force de l'oeuvre, c'est de rentrer dans la tête de ses personnages pour nous les faire comprendre. Chaque pensées est ainsi mise à jour, ce qui les rend plus ou moins attachant. Mais c'est aussi sa faiblesse. Car quel que soit la sous intrigue développé ensuite, le lecteur ne sera jamais surpris des motivations de l'un ou de l'autre puiqu'on connait chaque détail de leurs intentions, au point qu'elle en est amené à faire appel à des éléments extérieurs pour créér une certaine surprise.

Pour fonctionner totalement, le livre aurait du, je pense, adopter le point de vue de Lars uniquement. Un personnage important par ses choix et ses valeurs, donc propice aux diverses manipulations qui sont le centre du livre. Sous cet angle, on aurait pû être aussi perdu que lui et je pense que le livre se serait montré d'autant plus prenant. ici, on a une bonne histoire mais dont le potentiel n'est pas exploité au maximum car le lecteur a toujours un train d'avance sur les personnages. C'est un peu dommage mais ça reste un livre agréable à lire.
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L'auteure dans ce roman, choisit de traiter des thèmes de l'actualité brûlante: le départ de jeunes français pour rejoindre l' Etat Islamique, celui d'autres jeunes pour le combattre en se croyant en croisade, le retour de soldats qui se sont battus en Afghanistan et en sont sortis traumatisés, devenus des "fauves.".. L'héroïne du roman, Haiko est aussi une sorte de fauve. Décidée à lutter par tous les moyens pour empêcher des jeunes de partir pour la Syrie, elle se sent invincible. J'ai été un peu agacée par les deux personnages principaux; ils m'ont semblé un peu caricaturaux , particulièrement Haiko; elle m'a parue parfois incohérente, à la fois terrorisée et inconsciente du danger qu'elle court. Lars, l'ex militaire revenu d'Afghanistan est plus construit. La chute finale du roman est un peu prévisible même si le doute est maintenu jusqu'au bout sur qui manipule qui..Et l'auteure évite la facilité d'un happy end.Malgré ces criques, le roman se lit aisément, l'écriture est agréable. Je remercie Babelio et l'éditeur de m'avoir permis de lire ce roman et de découvrir une auteure .
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