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Guillaume Fournier (Traducteur)
EAN : 9782266337182
672 pages
Pocket Jeunesse (19/10/2023)
  Existe en édition audio
4.07/5   2846 notes
Résumé :
C'est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L'avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d'astuce et d'inventivité pour faire gagner sa candidate.

Mais le sort s'acharne. Honte suprême, on lui a co... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (456) Voir plus Ajouter une critique
4,07

sur 2846 notes
Je n'ai malheureusement pas retrouvé la magie des précédents tomes. Certes ici on est dans un prequel qui nous raconte la jeunesse du futur président Snow.
On retrouve bien évidemment plein de petits détails qui nous rappelle la saga initiale.

J'ai lu avec frénésie certains passages et d'autres que j'ai trouvé d'une longueur interminable.. de ce fait le manque d'équilibre du roman m'a gêné.

Mais il faut que je reconnaisse, qu'un autre détail de poids m'a fortement dérangé. Si dans les trois premiers tomes cela ne m'avait pas frappé c'est parce que le prénom du Président Snow n'apparaissait pas souvent… par contre ici on l'a à toutes les pages, voir plusieurs fois. Même si je sais qu'en anglais ce prénom ne doit pas déranger j'ai eu beaucoup de mal. Mais quelle idée a eu l'auteure d'appeler son personnage principal… CORIOLANUS
Je me demande d'ailleurs si je suis la seule a avoir tiqué sur ce nom…

En dehors de ça l'écriture de l'auteure est toujours agréable et on suit le fil aisément. Je pense que ce prequel pourra plaire a une grande partie des fans des Hunger games , mais au vu de la qualité de la saga j'en attendais beaucoup et mon exigence n'a pas été entièrement satisfaite.

Mais dans l'ensemble j'ai quand même apprécié cette lecture.
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Oui, on peut lire un livre estampillé « adolescent » quand on a passé le demi-siècle. Je suis de ceux qui pensent qu'il existe de belles pépites à découvrir.

J'irai même plus loin. Pour toucher le jeune public gavé d'images, de sons et de mots jusqu'à plus soif, il faut savoir prendre des risques. Oser. Briser des barrières. Celles que s'érigent certains écrivains pour adultes.

La première, c'est de prouver qu'on peut balancer un pavé de 600 pages à un tel lectorat. Belle leçon pour ceux qui visent les lecteurs matures en proposant des livres faméliques.

Mais il faut savoir allier quantité et qualité. Et Suzanne Collins l'a indéniablement fait. Avec sa première trilogie Hunger Games, lancée il y a maintenant plus de dix ans. Et avec cet inattendu « quatrième » volet qui arrive en 2020.

Et pour oser, elle ose ! On pouvait craindre un livre alimentaire, tant d'années après, c'est au contraire une formidable réussite.

Choisir comme personnage principal Coriolanus Snow, Président tyrannique de Panem, à la tête de tous les districts et du Capitole, relevait au minimum d'une gageure. Voire d'un pari fou. D'ailleurs, quand cette information a été révélée, beaucoup de fans ont hurlé, n'arrivant pas à imaginer comment on pouvait consacrer un livre entier à un despote.

Le capitole et les Hunger Games, longtemps avant. L'action de la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur se déroule en effet soixante quatre ans avant l'action des premiers livres.

Snow a dix-huit ans. Un jeune homme en pleine formation, par son éducation et la vie difficile qu'il mène dans ses premières années. Une existence qui va prendre un essor dans le cadre des dixièmes jeux de la faim. Panem et circenses, du pain et des jeux (du cirque).

Malgré les apparences, rien ni personne n'est tout blanc ou tout noir dans l'histoire, Snow le premier. Pas de manichéisme. On en vient à s'attacher d'une certaine façon à lui, à comprendre certaines de ses motivations et ressentis, et à (fortement) s'exaspérer d'autres. Amour et haine. Un personnage extraordinaire, ambivalent, qui justifie à lui-seul cette préquel.

Oser aussi à travers l'intrigue. Là aussi (je sais, j'insiste), l'écrivaine fait la « leçon » à certains de ses confrères pour adultes. Cette histoire est aussi surprenante que cruelle. Suzanne Collins n'hésite pas à aller très loin dans ce qu'elle fait vivre à ses personnages. En terme de violence physique et psychologique, d'épreuves à traverser, de risques de mort à combattre (sans toujours vaincre), d'injustice, d'imagination, ce livre est un modèle du genre.

Les Hunger Games, version antique, sans grande technologie, dans un Capitole encore exsangue au sortir de la Grande Guerre. Des jeux qui ne sont d'ailleurs qu'une partie de l'intrigue, qui n'est pas exclusivement centrée sur eux, loin de là.

600 pages qui permettent de réellement développer le récit, ainsi que les profondes interactions entre les personnages. Et de l'enrichir de vraies réflexions sur le pouvoir, le contrôle des masses, la politique, l'argent, la guerre, les sentiments, la pauvreté, l'asservissement… de quoi permettre des questionnements fertiles, de manière très ludique.

Et surtout, le livre met en lumière un autre personnage phare, la formidablement touchante Lucy Gray, bien différente de caractère que la Katniss de la première trilogie. Mais avec un gros point en commun entre elles : ce sont des jeunes femmes de caractère, entre profondes failles, belle humanité et tempérament en acier trempé. Elle est inoubliable.

L'écrivaine ne sacrifie jamais son histoire au rythme, elle sait prendre le temps quand il le faut, accélérer quand on s'y attend le moins, stupéfier par ses choix. le tout, avec une prose fluide mais qui ne sacrifie jamais la qualité à la facilité. Quand on ne prend pas les jeunes lecteurs pour des imbéciles, ils savent vous le rendre.

La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur était un pari osé. Au final, c'est une réussite totale, au point de penser que c'est sans doute le roman le plus riche de la série. Mieux encore, il apporte du sang neuf, un comble quand on y parle des prémisses des Hunger Games.

Suzanne Collins a mis du temps pour revenir vers ses lecteurs, l'attente en valait la peine.
Lien : https://gruznamur.com/2020/0..
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Sorti il y a bientôt 3 ans, je n'avais pas été particulièrement attiré par ce prélude de la trilogie Hunger Games. Je trouvais le titre étrange, n'aimais pas la couverture et n'étais pas spécialement attiré par le synopsis.

Publier un prélude presque 10 ans après la sortie du dernier tome de la trilogie me semblait un peu bizarre et j'avais un peu l'impression que celui-ci serait assez creux, juste un moyen pour se faire un peu plus d'argent sur cette saga à succès.

Mais bon, les critiques sont globalement positives et surtout j'ai beaucoup aimé la trilogie dont j'ai dû lire le premier tome 3 fois. J'avais décidé d'attendre sa sortie en poche. Une sortie qui ne semble pas prête d'arriver. C'est finalement la sortie dans quelques mois de l'adaptation en film de ce prélude qui m'a décidé à lire celui-ci en empruntant le livre à la médiathèque.

Je suis content de ne pas l'avoir acheté car je ne fais clairement pas partie de ceux qui ont adoré. Je le classe parmi les lectures moyennes sur lesquelles je n'ai fondamentalement pas grand-chose à dire. Difficile de dire que j'ai passé dans l'ensemble un désagréable moment de lecture mais difficile de dire aussi que j'ai aimé cette dernière. Cela fait partie de mes lectures moyennes, dispensables, que j'ai tendance à rapidement oublier.

Cela s'explique sans doute en partie par le fait que je suis ces derniers temps un peu moins "bon public", plus tatillon avec mes lectures. J'ai moins le temps de lire en ce moment et je préfère passer ce bref temps sur des livres qui me plaisent vraiment. Or je n'ai pas retrouvé dans ce livre ce que j'y cherchais, à savoir un roman dystopique bien écrit et super prenant. Si l'aspect "bien écrit" est au rendez-vous, l'aspect page-turner n'y était pas du tout. J'ai trouvé que le roman souffrait plusieurs fois de longueurs avec des passages où je me suis clairement ennuyé. J'ai d'ailleurs plusieurs fois, notamment dans la dernière partie du roman, songé à lire en diagonale afin de finir le roman plus rapidement pour commencer une nouvelle lecture.

Je n'ai pas retrouvé l'aspect totalement addictif de la trilogie ni ressenti un réel attachement aux personnages principaux de ce roman, Coriolanus et Lucy. Je savais que le premier s'en sortirait et on ne peut pas vraiment dire qu'il suscite de la sympathie, quant à la seconde, le sort qui lui serait réservé par l'autrice au cours du roman m'était totalement indifférent.

Ce roman a néanmoins le mérite de nous décrire les bases du "jeu", massacre sordide que sont les Hunger Games, qui aboutiront à la version plus élaborée mais non moins horrible que nous découvrons dans la trilogie.

En bref, un roman sympa pour les fans mais probablement dispensable pour les autres. Au moins maintenant, je sais à quoi m'en tenir si je regarde le film à sa sortie dans quelques mois : à pas grand-chose.
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J'ai dévoré la trilogie des Hunger Games, aussi quand j'ai su que Suzanne Collins allait écrire un roman se passant 64 ans avant l'histoire de Katniss et que, de plus, elle allait s'attarder sur le tyran Snow, je me suis demandé si j'allais le lire. Quel intérêt, me suis-je dit, de raconter la jeunesse de Coriolanus Snow ? La possibilité qu'il devienne un personnage sympathique, qu'il développe de notre part une certaine empathie me semblait facile. Suzanne Collins évite cet écueil de justesse, grâce notamment à la deuxième partie du roman et à la fin.

Mais revenons un peu sur l'intrigue : nous faisons connaissance avec un jeune Coriolanus de 18 ans, vivant chichement avec sa cousine et sa grand-mère en voie de devenir sénile dans un appartement qui, s'il a beau être situé au coeur de Panem, n'en est pas moins décrépit et en ruines à l'image de la fortune des Snow. Mais Coriolanus sait que l'apparence est vitale et, ainsi, il parvient à cacher la misère dans laquelle il vit. Ce qui lui importe c'est de réussir, et la réussite passe par les 10ème Jeux des Hunger Games. Pour ceux et celles qui ont lu la trilogie et qui se souviennent de la médiatisation à outrance et de l'encadrement totalitaire des Jeux, on est surpris au début quand on lit dans quelles conditions misérables sont sélectionnés les tributs, puis parqués dans un zoo avant d'être lâchés dans un amphithéâtre en ruines. On a l'impression d'assister à des Jeux de seconde zone. Mais en fait, cela fait à peine 10 ans que la guerre est finie et que chacun lèche ses plaies, et le gouvernement de Panem n'a pas les moyens d'offrir du spectacle. Ces Jeux vont tout changer car il a été décidé que les tributs seraient conseillés par des jeunes lycéens, c'est ainsi que Coriolanus se retrouve en charge d'une fille du district 12 Lucy Gray. Au cours de cette dixième session, non seulement Coriolanus va tout faire pour que sa candidate gagne, mais il va faire la connaissance d'une scientifique- l'horrible Dr Gaul- qui va l'amener à réfléchir sur une meilleure organisation des Jeux pour que ceux-ci deviennent à la fois un divertissement et une épée de Damoclès pour les participants et les districts dont ils font partie. Je ne vous dirai pas si Lucy Gray gagne et ce qui arrive ensuite à Coriolanus mais on peut voir ce roman comme un apprentissage pour le futur président Snow. Sous nos yeux, il se débarrasse de tous ces sentiments qui étouffent l'ambition et la dernière page nous le révèle dans son costume de tyran en devenir. A découvrir !

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J'ai beaucoup hésité avant de lire le préquel de la trilogie Hunger Games. Lorsqu'une saga a été un succès, l'édition d'un nouveau roman est, selon moi, toujours un risque de déception. Est ce fait pour apporter un plus à l'histoire ou pour surfer sur la vague du succès ?
Je n'ai pas la réponse pour ce préquel, mais j'ai bien aimé retrouver la plume de l'auteur. On se retrouve 50 ans avant les aventures de Katniss, on retrouver Panem et les districts, dans des situations quelque peu différente. Un peu comme si on comparait notre pays dans les années 1950 et les années 2000. Jusque là, tout se tient.
On découvre la jeunesse de Coriolanus Snow (futur président) et Lucy Gray, une jeune fille habitant le district 12. L'histoire se déroule quelques temps après la guerre. Panem a gagné, nous en sommes aux prémices des Hunger Games, les règles que l'on connaît dans la trilogie sont encore à définir.
Coriolanus Snow est un personnage ambigu. Dans ce roman, il est le personnage principal et donc, vraisemblablement sympathique ! Personnellement, je l'ai trouvé égoïste et imbu de lui-même, et surtout carriériste.
Lucy Gray semble sincère et honnête. Et pourtant ? La relation entre Coriolanus et Lucy Gray est, à mon avis, assez invraisemblable. le contexte de leur rencontre n'est pas très propice à une histoire d'amour, ce qui rend la leur incrédule.
Quant aux autres personnages, certains auraient mérité d'être plus développés. Sejanus m'a beaucoup plus touché que M. Snow. Tigris aurait aussi mérité plus de développement dans l'histoire.
La grand'Dame semble assez détestable. le Dr Gaul, malgré le côté horrible, aurait aussi pu être plus poussée dans la description.
Je ressors mitigée de cette histoire. Disons que le roman permet de comprendre le président Snow de la trilogie un peu mieux, de voir de quel milieu il est issu.
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critiques presse (4)
Ricochet
16 septembre 2020
La ballade du serpent et de l’oiseau chanteur a beaucoup pour plaire, mais il souffre toutefois de quelques longueurs ; un écueil difficile à éviter dans un pavé de 600 pages.
Lire la critique sur le site : Ricochet
LeFigaro
18 juin 2020
Dans un conte qui oppose le héros au tyran, le juste à l’oppresseur, c’est tout naturellement que le lecteur souhaite d’abord découvrir lequel des deux triomphera. Une fois la fin révélée, quelle histoire reste-t-il à raconter? Sans doute la plus intéressante: celle du méchant.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Elle
02 juin 2020
Si Katniss Everdeen nous manque, on se réconforte avec Lucy Gray, qui rappelle en tout point la leadeuse de la rébellion, au point que l’on apprend que c’est elle qui a composé la chanson « L’arbre du pendu » que Katniss chantera, soixante ans plus tard, deux destins de tributs liés. Et si finalement, Suzanne Collins souhaitait montrer coûte que coûte qu’à Panem comme ailleurs, les femmes représentaient l’espoir absolu.
Lire la critique sur le site : Elle
Bibliobs
25 mai 2020
Prequel aux aventures de Katniss Everdeen, qui se sont vendues à 100 millions d’exemplaires dans le monde, ce nouveau tome se penche sur l’adolescence de son ennemi juré. Un produit bien ficelé, mais plutôt pour les fans acharnés.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (209) Voir plus Ajouter une citation
Je crois qu'il y a une bonté naturelle en chaque être humain. On sait quand on franchit la ligne entre le bien et le mal, et on essaie toute notre vie de rester du bon côté de cette ligne.
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Non, Lucy Gray n'avait rien d'un agneau innocent. Elle n'était pas en sucre. C'était une gagnante.
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Mes parents étaient des Coveys, rétorqua Lucy Gray. Des gens qui n'appartiennent ni aux districts, ni au Capitole, ni aux rebelles, ni aux Pacificateurs - rien qu'à eux. Et tu es pareil. Tu ne laisses personne réfléchir à ta place. Tu résistes. Je le sais : j'ai vu ce que tu as fait pour moi pendant les Jeux.
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L oubli risquait de conduire à la complaisance et de les ramener à la case départ.
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Veux-tu, veux-tu
Au grand arbre me trouver
Là où ils ont lynché leur triple meurtrier ?
Des choses étranges s'y sont vues
Moi j'aurais aimé
Te voir à minuit à l'arbre du pendu.

"Veux-tu, veux-tu
Au grand arbre me trouver
Où le mort a crié à sa belle de filer ?
Des choses étranges s'y sont vues
Moi j'aurais aimé
Te voir à minuit à l'arbre du pendu.

Veux-tu, veux-tu
Au grand arbre me trouver
Et partir avec moi comme je te l'ai demandé ?
Des choses étranges s'y sont vues
Moi j'aurais aimé
Te voir à minuit à l'arbre du pendu.

Veux-tu, veux-tu
Au grand arbre me trouver
Mettre un collier de corde et pendre à mes côtés ?
Des choses étranges s'y sont vues
Moi j'aurais aimé
Te voir à minuit à l'arbre du pendu."


Lucy Gray Baird, lord de l'anniversaire du Commandant à l'intention de Coriolanus Snow pour leur évasion.
Chapitre 29, pages 568-569.
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