Ce mini roman de 64 pages s'adresse à mon avis à des pré-ado à cause du sujet : l'urbex (exploration urbaine des bâtiments désaffectés).
Le format, les illustrations et surtout la syllabation le rendent accessible à des jeunes qui sont soit en apprentissage de la langue française, soit en difficulté à cause de troubles dys.
Passé le primaire les romans faciles à lire et à comprendre sont de plus en plus rares, celui-ci en fait donc partie.
L'histoire est assez sympa, avec juste ce qu'il faut de suspens pour tenir les lecteurs en haleine et leur donner envie de tourner les pages sans les perdre en descriptions inutiles.
Les dialogues sont d'actualité et crédibles de même que les préoccupations des jeunes protagonistes (peurs liées à l'exploration du lieu).
Autre point positif, cette maison d'édition (La Poule Qui Pond) a fait le choix de ne pas mettre de gros logo « DYS » sur la couverture !
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