jANE EYRE
Resume:
Jane Eyre est un roman du XIXe siècle écrit par
Charlotte Brontë, en 1847.
Cette dernière appartient à une famille d'écrivains son texte s'inspire de l'enfance et de l'adolescence des jeunes de cette époque.
Jane est une enfant orpheline, élevée par sa tante, femme méchante et cruelle qui n'aime pas sa nièce.
C'est pour cette raison qu'elle sera enfermée au pensionnat de Lowood, une sévère institution. Elle y apprendra tout ce qu'il faut savoir et deviendra gouvernante, a sa sortie de cette institution.
Au château, de Thornfield, aupres d'Adele, jeune pupille d'Edward Rochester.
Elle y sera heureuse, malgré des événements plutôt étranges et inquiétants.
Elle tomba amoureuse d'Edward,qui n'est pas indifférent.
Mais un horrible secret, viendra ternir son histoire, et l'empêcha mariage avec le maître des lieux.
Elle s'enfuira et trouvera refuge dans une famille où vivent un pasteur et ses deux soeurs. Elle apprend l'Allemand et enseigne dans une école à des enfants illettrés, très pauvres.
Elle apprend, qu'en fait, les gens chez qui elle vit sont des cousins. le Pasteur lui fera part qu'elle est l'héritière d'un oncle immensément riche. Elle partagera sa fortune avec ses cousins.
Son cousin veut l'épouser et l'emmener aux Indes, pour devenir missionnaire. Elle refusa et repartit pour le château de Rochester, qui suite à un incendie, n'était plus qu'une ruine.
Elle apprendra, que le maître des lieux, voulant sauver tout le monde, lors de l'incendie, était devenu aveugle et avait perdu un bras elle le retrouvera, l'épousera et aura un fils.
Il recouvre, la vue deux ans après leur mariage.
Ce que j'ai aimé:
L'époque à laquelle se passe ce roman.
Le caractère très attachant de l'héroïne, sa force, son courage et son côté partageur lors de son héritage.
Son mariage avec l'être aimé, même si celui-ci est infirme.
Ce que je n'ai pas aimé:
Le côté triste et austère du couvent.
Jane au début de l'ouvrage, seule face à sa tante, méchante et cruelle.
La différence entre les riches et les pauvres très marquée.
Ce fossé qui les sépare dans l'indifférence totale.
L'école et l'instruction juste pour les gens aisés, l'illettrisme des autres.