Après avoir lu
Javotte sans être particulièrement impressionnée, j'ai décidé de donner une deuxième chance à l'écriture de
Simon Boulerice. Malheureusement, j'ai beaucoup de difficulté à rejoindre son style à la limite de la décence concernant l'adolescence féminine. Bien que le livre offre une fenêtre intéressante sur l'obsession amoureuse un peu naïve, la tournure des phrases et le choix de vocabulaire me laisse un mauvais goût dans la bouche. Peut-être un autre sujet de l'auteur pourrait me rejoindre, mais pour l'instant je ne sens pas le besoin de continuer mon exploration de son écriture.