Je crois bien que « Les treize vents » est la série de
Juliette Benzoni que j'ai lue ou pour la première fois j'ai ressent un je ne sais quoi qui ne ressemblait plus à l'enthousiasme ressenti lors des lectures précédentes de cette auteure que j'ai adorée et adulée pendant une bonne partie de ma jeunesse.
Si j'avais beaucoup aimé le premier tome de cette série qui en compte quatre, mon intérêt pour les tomes suivants s'était un peu effrité au fur et à mesure…Non que je n'avais pas aimé, mais …
A l'issue d'une relecture, j'ai effectivement retrouvé le plaisir lié à ce premier tome.
Guillaume Tremaine est un des héros masculins de Juliette. Il est loin d'être aussi charismatique que Gilles Goelo, mais le personnage est sympathique, même si je n'ai jamais réussi à le trouver attachant malgré tous les aléas de la vie auxquels il a été confronté lors de son enfance.
Jeune quebequois, il va devoir quitter avec sa mère son pays quand les anglais l'envahissent. Mais la Normandie, patrie d'origine de sa mère va se révéler bien moins hospitalière que prévue…
On va retrouver Guillaume adulte, en 1785, bien déterminé cette fois ci à s'installer en Normandie après avoir passé des années à voyager.
On sent bien les prémisses de la révolution qui grondent, mais Guillaume a d'autres préoccupations. Non seulement il veut construire un domaine digne de ce nom, mais la vengeance anime son coeur…Réussira-t-il à concilier l'amour avec cela ?
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