Pénétrer dans ce silence - celui de la ville à huit heures d'une soirée brumeuse de novembre -, fouler l'asphalte gondolé des rues, marcher sur l'herbe qui avait poussé entre les fissures et, les mains dans le poches, s'ouvrir un chemin à travers les silences environnants, c'était la plus grande joie de M. Léonard Mead.
Il aimait s'arrêter à un croisement, scruter dans quatre directions les longues avenues éclairées par le clair de lune, décider du chemin à prendre (ce qui à vrai dire n'avait que peu d'importance : dans ce monde de l'an 2052, il était un homme seul, ou peu s'en fallait) puis, la direction choisie, se mettre en marche à grands pas et lancer devant soi de grandes bouffées d'air glacé, semblables à la fumée d'un cigare...
(extrait de "Le promeneur" de Ray Bradbury)
Pauvre superman de fritz leiber
Bien sûr !le joueur d'échecs de maelzel, j'ai lu ça quand j'étais gosse.
Sur un automate qui jouait aux échecs.
Poe pouvra qu'il y a avait un homme dedans.
Le travail. Ah ! Le travail.c'est grâce au travail que les pères de notre nation sont devenus géants sur terre. C'est le travail qui a fait l'amérique telle quelle est aujourd'hui,lumière et phare d'un monde troublé.
Le sommet de George summer albee