Ne te laisse pas envahir par des pensées polluantes qui t empêchent d apprécier le moment présent. Lorsque tu les éliminez, plus rien ne peut atteindre ton bien être. N est ce pas un bel objectif de se sentir bien à chaque instant ?
Je suis persuadé que tu as fait des études brillantes qui t'ont permis de te servir de ton cerveau correctement. C'est bien utile dans de multiples cas. Mais qu'en est-il de ton caeur? Qui t'a appris à l'écouter? Pour prendre ce genre de décision et n'avoir aucun regret, il ne s'agit pas d'être bon en probabilité, il suffit d'entendre ce battement intérieur. C'est le seul à pouvoir te guider sur le chemin de ta vie, celui qui te correspond, celui qui t'emmènera vers ta réalisation.
Te rends-tu compte que tu ne vis que dans la crainte de ce qui va se passer ? Le bonheur est ailleurs. Il est ouvert à tout ce qui arrive. Il se nourrit de la magie du présent, de la perfection du moment, du pas que tu fais en harmonie avec la fleur qui éclot.
Une grande partie de notre énergie est consacrée à masquer nos faiblesses, la pression dont nous nous affligeons pour garantir la meilleure image de nous même nous prive de l'accès au bonheur. Nous sommes en quête permanente de la reconnaissance seule source d'oxygène que nous ayons trouvé.
Pour retrouver un état de bien-être, il est indispensable de regarder le monde avec bienveillance, en se libérant du jugement.
- ... Et toi, quels sont tes objectifs du jour ?
- Je n'en ai qu'un seul. Il est le même tous les jours : celui d'être heureux.
- Et tu y arrives ?
- Je m'y efforce. Le bonheur est un état d'esprit. Je tente de ne pas me laisser emprisonner par mes pensées. Je me réjouis de cette nouvelle journée qui commence et m'ouvre aux belles surprises qu'elle nous réserve.
Essaie de rassurer ton cerveau en lui expliquant que tu souhaites qu'il s'épanouisse dans le domaine dans lequel il excelle : celui d'exécuter les choix de ton coeur. Si chacun joue son rôle, vous arriverez à interpréter la plus belle symphonie qu'est ta vie.
Le seul coupable de notre souffrance, c’est nous.
[...] seul le chemin compte. Le résultat est souvent insignifiant par rapport au trajet parcouru.
La santé est le plus grand luxe qui soit pour moi et je suis conscient de sa fragilité. Chaque jour, je suis attentif à ce que je mange pour ne pas faire de mal à mon corps et je contrôle mes pensées pour ne pas blesser mon âme. La santé n’est jamais acquises et demande une surveillance constante, elle représente la priorité ultime, que je ne sacrifierais pour aucune autre dans mon bocal.