Citations de Woody Allen (335)
La différence entre le sexe et la mort, c'est que mourir, vous pouvez le faire seul, et personne ne se moquera de vous.
Je m'intéresse à l'avenir car c'est là que j'ai décidé de passer le restant de mes jours.
Nous nous amusâmes beaucoup en Espagne, cette année-là, nous voyageâmes, nous écrivîmes, Hemingway m'enseigna la pêche au thon et j'en attrapai quatre boites.
L’avenir est la seule chose qui m’intéresse, car je compte bien y passer les prochaines années.
Et Abraham tomba à genoux :[...]
Mais cela ne prouve-t-il pas que je T'aime ? J'étais prêt à tuer mon fils unique pour Te montrer mon amour...
Et le Seigneur parla, en sa grande sagesse :
-Ça ne prouve qu'une chose : que des crétins suivront toujours les ordres, si imbéciles soient-ils, pour peu qu'ils soient formulés par une voix autoritaire, retentissante et bien modulée !
L'homme n'amène pas son propre malheur, et si nous souffrons, c'est par la volonté de Dieu, bien que je n'arrive pas à comprendre, pourquoi il se croit obligé de tellement en remettre.
L'avenir m'intéresse, c'est là que j'ai l'intention de passer mes prochaines années.
La presse à scandale affirme que c'est un tueur en série, a t'il ajouté. Evidemment, les tueurs en série se plaignent d'être toujours les premiers incriminés dès que trois ou quatre victimes sont tuées de la même façon. Ils souhaiteraient que ce nombre soit porté à six.
Allô ? Sa sainteté Moe Bottomfeeder, le Grand manitou de la prière à l'appareil. Quoi ? Navré, ma petite dame. Il faut que vous vous adressiez à notre service des réclamations. Nous ne garantissons pas que le Seigneur va exaucer vos désirs. Il fera de son mieux, mais c'est tout ce qu'on peut vous promettre. Mais ne vous découragez pas, mon chou. Vous allez peut-être quand même le retrouver votre matou. Non, nous ne remboursons pas.Relisez les tous petits caractères au bas de votre confirmation de prière. Il est bien précisé ce qui est de notre ressort et de Sa responsabilité. Mais ce que je vous propose, tout de même, c'est de vous envoyer une de nos bénédictions gratuites, et si vous allez Chez homard, sur le Queens Boulevard, dites-leur que c'est le Seigneur qui vous a envoyé, et vous aurez un cocktail gratuit.
Alvy : J'ai une vision très pessimiste de la vie. Il vaudrait mieux que tu le saches, si on sort ensemble, tu sais, pour moi la vie est... se divise entre l'horrible et le désespéré.
Annie : M'm.
Alvy : Ce sont les deux seules catégories.
Annie : M'm.
Alvy : Tu sais, ce sont... l'horrible, par exemple, c'est les maladies incurables, tu vois ?
Annie : M'm.
Alvy : Les aveugles, les infirmes...
Annie : Oui.
Alvy : Je ne sais pas comment ils font pour tenir le coup, ça m'a toujours épaté.
Annie : M'm.
Alvy : Tu vois, et le désespéré, c'est tout le reste. C'est tout. Alors, si on vit, on devrait être content d'être désespéré, parce que c'est une veine inespérée...
(Le rire d'Annie l'interrompt.)
Alvy : ... d'être dans les désespérés.
"What is the guy so upset about? You'd think nobody was ever compared to Mussolini before."
" Show business is, is dog-eat-dog. It's worse than dog-eat-dog. It's dog-doesn't-return-other-dog's-phone-calls, which reminds me. I should check my answering service."
"Vous avez commis l’adultère avec une brebis. C’est du plus mauvais goût, d’autant que la brebis avait moins de 18 ans"
Je suis un si bon amant car je pratique beaucoup seul
J'ai subi une éducation terrible. Je fréquentais une école pour professeurs émotionnellement instables.
Je ne crois pas en Dieu, lui dis-je. Car si Dieu existe, alors, dis-moi, mon oncle, pourquoi ce monde connaît tant de misère et de tristesse ? Pourquoi certains individus traversent l’existence sans se préoccuper des milliers de microbes acharnés à notre perte, alors que d’autres attrapent des rhumes qui durent des semaines ? Pourquoi nos jours sont-ils comptés, au lieu d’être classés par ordre alphabétique ? Réponds-moi, mon oncle. A moins que je ne t’aie choqué ?
« Le sandwich, lus-je, fut inventé par le comte de Sandwich. »
Bouleversé par cette nouvelle, je la relus et fus saisi d’un tremblement involontaire. Mon esprit se mit à tournoyer à l’évocation des immenses rêves, des espoirs et des obstacles qui avaient abouti à l’invention du premier sandwich. Les yeux humides, je contemplai par la fenêtre les tours éclatantes de la Cité, et j’éprouvais un sentiment d’éternité, m’émerveillant de l’indestructible prépondérance de l’homme dans l’univers.
Mon livre, qui met en scène un mime face à Dieu, dans une confrontation au cours de laquelle ni l’un ni l’autre ne pipe mot pendant six cent pages, possédait un mordant qui avait manifestement fait grincer des dents de l’establishment. Cependant je suis convaincu, aujourd’hui encore, que le critique du Times qui l’avait qualifié de « déchet littéraire » était totalement passé à côté de mon propos.
Mike est un vrai nounours. Il pourrait vraiment passer pour un ours. Il a d'ailleurs été contacté par des zoos pour faire des remplacements lorsque l'ours titulaire est en congé maladie.
Aucun philosophe n'a pu résoudre la question de la culpabilité associée à la prise de poids, jusqu'à ce que Descartes fasse la distinction entre l'esprit et le corps, permettant au corps de se gaver tandis que l'esprit se disait : "Je pense, donc c'est pas moi".