Une créature vivante ne peut entretenir sa vie qu’aux dépens d’un autre, de sorte que la volonté de vivre se refait constamment et, sous les diverses formes qu’elle revêt, constitue sa propre nourriture.
Ils considèrent pour la plupart la procréation comme un crime, la création comme une faute de goût, la société comme une association de malfaiteurs et le suicide comme leur honneur, quand ce n’est pas leur devoir.
Les autres sont « les femmes » […] elle est Louise. Elle est beaucoup plus qu'un mythe, elle est une présence magique, un fantôme réel … Peut-on concevoir la laideur, la religion, l'abstinence si on a jeté ne serait-ce qu'un regard sur ce corps-lyre, sur ces yeux volcans ?