Régis Jauffret

Un style d'écriture incohérent qui ne me parle pas du tout,

des personnages embarqués dans leurs folies qui m'ont laissée à quai...

mais le titre est bien trouvé !

Il excelle à dépeindre la tendresse de couples qui se soutiennent dans l'adversité.
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Affreux, sales et méchants, les héros sénescents de Régis Jauffret nous offrent une cruelle danse macabre.
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Encore l'affaire DSK me direz-vous ! Et bien oui ! mais ceci est un roman. Régis Jauffret part de cette affaire pour entrer psychologiquement dans la peau des personnages. Les réflexions sont bien vues et les pensées très approfondies, ce qui explique peut-être la réaction de Dominique Srauss-Kahn à la sortie du bouquin. Régis Jauffret aurait-il vu juste ? Encore une fois, ceci est un roman.

DSK et son foutre. Viol

Une fiction très maîtrisée, basée sur des faits réels, et une enquête « pour de vrai » attachante et un peu poussive. Alors, bancale cette ballade ? Non, et c’est tout le talent de l’auteur : ce curieux attelage fonctionne, les séquences se répondent et se relancent.
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Son style oscille entre le tir de mitraillette, rapide, saccadé, avec des phrases sans verbe, et le déploiement dans de longues analogies ou métaphores. [...] C'est singulier: à la fois relâché et maîtrisé, jubilatoire, débridé, cruel et follement drôle. On est parfois submergé. On peut se lasser, s'agacer, ou rester hypnotisé.
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Nous suivons en alternance le déroulé de l’affaire, les réactions de l’épouse et l’enquête de terrain de l’auteur [...]. DSK est ausculté, analysé, biographié, radiographié par le romancier, sans ménagements mais sans acharnement (on attendra pour la maquereau-fiction).
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Passé maître dans l'art de fouiller le réel, l'écrivain signe le roman baroque et grandiose de l'affaire DSK. Autant dire que l'homme n'y tient pas le beau rôle...


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Son roman ressemble à une comparution, et lui à un témoin indirect, qui, sans haine et sans crainte, mais avec un parti, celui de Diallo, dirait sa vérité, toute sa vérité, rien que sa vérité. Le tout d'une voix perspicace, éloquente et limpide.
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Ce roman est une horreur et permet de se poser la question : pourquoi se lance-t-on dans ce type de lecture ? Peut-on trouver du plaisir à lire la peinture de tant de turpitudes et de tant de détresse. Je regrette vraiment d'être allée au bout de ce livre.

je lis j'ai lu "Tibère et Marjorie"sans savoir où j'allais. Roman foutraque

Claustria m'a déçu. Il n'est pas particulièrement mauvais, mais il n'est pas non plus mémorable. J'en ai entrepris la lecture avec enthousiasme et je l'ai terminée de peine et de misère. C'est trop long, trop éparpillé, Jauffret a voulu (je suppose) être neutre, englobant, et au final, à mon avis, il manque de choix dans ce roman. Et d'imaginaire... on a l'impression de lire un reportage.

Claustria m'a déçu. Il n'est pas particulièrement mauvais, mais il n'est pas non plus mémorable. J'en ai entrepris la lecture avec enthousiasme et je l'ai terminée de peine et de misère. C'est trop long, trop éparpillé, Jauffret a voulu (je suppose) être neutre, englobant, et au final, à mon avis, il manque de choix dans ce roman. Et d'imaginaire... on a l'impression de lire un reportage.

Claustria m'a déçu. Il n'est pas particulièrement mauvais, mais il n'est pas non plus mémorable. J'en ai entrepris la lecture avec enthousiasme et je l'ai terminée de peine et de misère. C'est trop long, trop éparpillé, Jauffret a voulu (je suppose) être neutre, englobant, et au final, à mon avis, il manque de choix dans ce roman. Et d'imaginaire... on a l'impression de lire un reportage.

Sordide, mais passionnant.

on finit le livre partagé entre révolte, claustrophobie et dégout.

Lent, long, dans un style à peu près illisible (tout le roman est au conditionnel), sans surprise... au moins jusqu'à la page 30, à partir de laquelle j'ai refermé le livre.

Cette femme s'ennuie.. nous aussi.

Dès la lecture de ce roman je me suis demandée où il me mènerait et surtout si j'allais suivre l'auteur ! J'ai d'ailleurs consulté la fiche collée à l'intérieur du roman sur laquelle les lecteurs de la bibliothèque avaient donné leur avis. Le ton du roman était amer. Je trouvais les mots crus et n'en comprenais pas la place. Je ne voyais pas non plus l'utilité d'un tel vocabulaire et ai failli refermer le livre à jamais. Mon côté un peu têtu et les avis des lecteurs, m'ont convaincue de poursuivre ma lecture. Et là, au-delà de la page 52, j'ai aimé le style, l'histoire, ai apprécié le ton qui au départ me gênait. Ce roman est construit sous forme d'allers-retours à chaque chapitre où l'on a tantôt la parole de Charlotte, tantôt celle du narrateur. On assiste ainsi à leur relation, à leur amour ponctué de désamour et de reproches. Charlotte est morte et leur "dialogue" se fait après la mort de l'héroïne. J'ai trouvé certains passages émouvants et ai globalement bien aimé. Je lui mettrai 7/10. S'il vous prenait l'envie de le lire, osez franchir la page 52.

Je ne voulais pas le lire. Je l ai devore. Un peu chaque soir pour pouvoir supporter l histoire.

Illisible. Incomprehensible. Je finis meme les livres que je.n aime pas, mais celui-laest un exception a ma regle.