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Critiques de Régis Jauffret (554)
La ballade de Rikers Island

Ce n'est pas du meilleur "Jauffret", mais cela reste une lecture sympa.
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Bravo

Affreusement cynique et cruel, j ' y ai reconnu quelques vieillard de mon entourage...
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Asiles de fous

Un "asile de fou" délicieusement cynique et cruel qui met en exergue tous les travers de l 'âme humaine.

Un régal!
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Histoire d'amour

Lecture particulière, noire, oppressante, dérangeante. Notre narrateur a une vision de l'amour très personnelle et traite "sa compagne" ou "sa prisonnière" d'une drôle de manière, entre viols, violences, harcèlement.

Une drôle de découverte au détour d'une boîte à livres mais pas déçue.
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Cannibales

L'amorce du roman et le revirement de ces deux personnages étonnent tout d'abord, intriguent, puis séduisent. Au fil des missives échangées, on découvre en fait deux femmes qui se meurent de l'idée de l'amour elle-même, vivent dans son deuil, cherche à l'entretenir ou le renouveler à n'importe quel prix, mensonges ou sacrifices. La métaphore de la dévoration est portée par une prose toute en figures de style qui sied parfaitement au genre épistolaire, rappelant ces autres lettres d'amour et de manipulation qu'étaient les Liaisons dangereuses de C.de Laclos.



Mais voilà, passée la moitié du livre, les revirements d'humeur des personnages, leur folie douce, les répétitions, et la lourdeur du style commencent à devenir de trop. L'écriture nous semble soudainement ampoulée, on compte les pages qu'il reste à lire, puis on se surprend à lever les yeux au ciel de ne pas en voir la fin (Bon, vont-elles le cuire à la broche, qu'on en finisse?!). Dès lors, si l'antipathie qu'inspiraient jusqu'ici les personnage avait quelque chose d’intrigant qui ajoutait à la séduction malsaine du synopsis, elle nous devient insupportable. Dommage, donc, car d'un point de départ adroit et exotique en dépit de ses bizarreries, Cannibales s'empâte et nous perd en route.



En bref : De bonnes idées, des personnages délicieusement diaboliques, et un style baroque à souhait qui perdent malheureusement le lecteur en tournant trop sur eux-mêmes. Il en reste cependant, il faut bien l'admettre, un roman qui ne laisse pas indifférent.
Lien : https://books-tea-pie.blogsp..
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Microfictions

Au fil de ces 500 "microfictions", Régis Jauffret raconte des histoires intimes de familles ou de couples qui chuchotent derrière une porte.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..
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Cannibales

Le livre a, au moins, l'intérêt de semer le trouble. Bon? étonnant?déroutant? Parfois logorrhées d'étalage culturel, parfois étalage de vulgarité provocante. Ke format reste original. Peux être que l'auteur a un sens caché de l'histoire qu'il veut nous révéler,
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Microfictions 2018

Régis Jauffret remet le couvert. Dix ans après de premières "Microfictions", voilà le volume 2, sobrement intitulé "Microfictions 2018".
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Microfictions 2018

Régis Jauffret réunit 500 nouvelles dans Microfictions 2018 retraçant le destin ou le drame d'une foule d'anonymes.


Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Microfictions

Mille pages, cinq cents histoires brèves, pour un seul roman. L'écrivain revient à ses « Microfictions », mais avec un macrotalent.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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L'Enfance est un rêve d'enfant

Depuis que j'ai lu Lacrimosa, je ne peux plus trouver un livre de Jauffret mauvais. Car il a son style à lui.

Ici, on a affaire à un livre pourtant que j'ai peu aimé, pas vraiment eu de plaisir à cette fantaisie d'un enfant qui imagine une rencontre avec de Gaulle, un de Gaulle omnipotent, omniprésent depuis la quasi nuit des temps... Une sorte de Queneau, de gros gros livre pour enfant... Pas hyper convaincu. Mais je le me répète, Jauffret a son style, ce ne peut plus être mauvais.
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Claustria

Très déçu par ce roman. Au bout de 109 pages, j'ai abandonné. Je n'aime pas du tout le côté enquête par l'auteur dans le futur ni le style un peu trop métaphorique. J'attendais dès la première page l'entrée dans la cave, mais on reste trop longtemps sur le futur procès, le parcours de l'auteur en Autriche, etc. Comme la véritable histoire (si c'est vraiment ce à quoi je m'attendais) ne venait pas et que ma liste de livres à lire s'allonge de jours en jours, j'ai préféré passer à autre chose…
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Cannibales

Un repas pour gros gourmands de littérature, qui parle de l’amour, de la haine et de la dévoration. Régis Jauffret adopte le genre du roman épistolaire comme on le faisait jadis, avant le GSM.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Cannibales

Avec "Cannibales", Régis Jauffret revient à la fiction pour mieux se rapprocher du réel. Sans délaisser les monstres. Ni les femmes.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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Cannibales

Un homme, sa mère, sa maîtresse. Un roman épistolaire ébouriffant.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Cannibales

Ce ­roman épistolaire, Cannibales, est une sorte de Liaisons dangereuses déglinguées où la Merteuil et la Tourvel voudraient bouffer Valmont.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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La ballade de Rikers Island

Quel est l'objectif de l'auteur : partager, enquêter, déchiffrer, tenter de comprendre, étoffer, détailler, préciser .. ?

Certainement tout à la fois, sur fond de noire romance, forcément.

Une écriture empathique qui vise à immerger l'auteur dont le paroxysme est la souffrance ... de la victime.



Néanmoins, je regrette que le style incisif de Régis Jauffret soit dénaturé par d'interminables verbiages.
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Lacrimosa

Je n'avais jamais lu Régis Jauffret, et, après le calvaire qu'a été la lecture de son "Lacrimosa", je ne crois pas que je le relirai de si tôt. Car si effectuer un travail de deuil est chose courante dans la littérature, et si une indéniable émotion se dégage de l'évocation "post mortem" de l'être (mal) aimé, le mécanisme pervers de la mise en accusation de la littérature qu'actionne Jauffret est d'abord déroutant (la première "fausse" mort, délirante), puis embarrassant d'artificialité (la voix de la morte qui est l'auto-critique de l'écrivain), avant de devenir véritablement pénible. Terminer "Lacrimosa" est incroyablement fastidieux, car une fois qu'on a compris le petit jeu de Jauffret, il ne reste plus qu'à l'accompagner au long de son chemin de mortification, qui s'avère un véritable chemin de croix pour le lecteur. Ce qui est fondamentalement horrible avec ce genre de littérature, tellement "française" ("germano-pratine" ?), ce n'est pas seulement la tendance exténuante à l'auto-analyse et aux mécanismes conceptuels gratuits (après tout, Easton Ellis et Houellebecq, deux des plus grands écrivains actuels à mon avis, labourent le même sillon), c'est le peu de foi que Jauffret a lui-même en la littérature. Et qu'il en soit conscient est une preuve de plus à sa charge. Pour moi, un tel bouquin, à la complaisance et au nombrilisme écœurants, aussi brillamment écrit soit-il, ce n'est ni plus ni moins qu'un pur gâchis de papier et de temps
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L'Enfance est un rêve d'enfant

«Je vais vous révéler un secret, j'ai été enfant moi aussi, et tout autant que vous je m'en allais à l'autre extrémité du globe, de l'univers, et je me réchauffais au feu des étoiles, tout en rentrant chez moi, chargé de livres et de cahiers, après les heures assommantes d'école.»



En lisant ce genre de résumé, on s'attend à un récit de voyage.. on s'attend à ce que l'auteur nous entraîne dans son enfance comme ce qui semble être son intention initiale. On s'attend à ce que, sous forme d'une balade dans le temps, il nous présente ses copains d'école avec qui il faisait les quatre cents coups, on voudrait, comme lui, se souvenir d'un grand-père barbu qui sent toujours le tabac mais qui raconte formidablement bien les histoires,on voudrait aussi se rappeler , de la couleur et des motifs quitchs des rideaux du salon de gran-mère,.. on s'attend à un récit drôle qui nous ferait nous-même retomber en enfance. Aaah. Et non.



L'enfance est un rêve d'enfance, c'est euh.. autre chose. Le narrateur, avec ses deux amis Corentin et Gabriel, se lance dans une quête à travers la France, quête dont le but est de rencontrer le Général Charles De Gaulle, assez idéalisé dans le livre. En fait, l'ensemble de l'ouvrage est une sorte de récit dans le récit, dans lequel on retrouve les souvenirs de l'auteur enfant, remaniés et romancés par l'auteur adulte...(je ne suis pas sûre d'être claire dans ce que j'écris, mais le processus du livre en lui-même ne l'est pas. En tout cas pour moi.) On passe d'anecdote en anecdote, sans vraiment savoir où l'auteur veut en venir.. On croise des personnages, sans qu'on ne sache vraiment pourquoi ils sont là ni qui ils sont...



Personnellement, je n'ai absolument rien compris à ce livre. Je me suis retrouvée trimballée (et ce n'est pas un mot choisi au hasard!) de scène en scène, avec différents personnages, différentes incarnations du Général, avec une impression de passer du coq à l'âne à chaque fois. Dès que j'arrêtais ma lecture, j'en perdais le fil et étais obligée de la reprendre deux ou trois pages avant, ayant la sensation d'avoir râté un épisode.



Vraiment, si l'envie vous vient de lire ce livre, faites, et revenez m'expliquer son intérêt. Je suis perplexement dubitative.
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Bravo

Régis Jauffret brave une fois de plus les convenances pour nous bousculer et nous inciter à réfléchir sur l’avenir qui nous attend.
Lien : http://www.journaldequebec.c..
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