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DreaMaker tome 1 sur 2
EAN : 9791032713457
Editions Ki-oon (06/07/2023)
3.5/5   29 notes
Résumé :
L'humanité a perdu sa capacité de rêver et, avec elle, une partie de son âme s’est envolée. Pour pallier ce manque, la seule solution est d’acheter des songes auprès des DreaMakers, des élus capables d’utiliser la magie. La légende raconte même qu’ils auraient terrassé un terrible démon dans les temps anciens !
Le jeune Kiio est fasciné par leurs pouvoirs et passe chaque jour visiter la DreamHouse, le repère du mage de la ville. Plein d’énergie et toujours pr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Chaque année ou presque, Ki-Oon nous propose sa création originale avec des artistes merveilleux qu'ils savent débaucher pour nous faire découvrir des univers variés mais toujours soignés et de qualité. Cette année après, Beyond the Clouds désormais terminé, ils repartent dans un univers jeunesse onirique et cauchemardesque très marqué avec Zilo et son DreaMaker, un belle réussite chez moi.

Avec sa couverture très pop aux allures un peu onirico-steampunk, DreaMaker avait de suite retenu mon attention, de même qu'avec son titre jeu de mot qui m'avait bien plu. Même si je ne suis qu'en partie le public désigné, je sentais que nous allions avoir des affinités. Ce fut totalement le cas ! Bien que très orienté jeunesse, le titre m'a totalement parlé, que ce soit pour ses thématiques, sa dynamique ou, surtout, son univers graphique.

Zilo nous embarque littéralement dans un monde fantastique où les êtres humains ont perdu la capacité de rêver. Seule solution pour eux : acheter des rêves. Les cauchemars, eux, nous le découvrirons, continuent de rythmer leur quotidien, malgré les allures presque utopiques du monde où ils évoluent désormais. C'est sous cet angle classique d'utopie - dystopie, de rêve - cauchemars que nous emmène l'auteur mais il le fait avec beaucoup de talent.

Oeuvre jeunesse oblige, il insuffle une très belle dynamique et énergie à son titre dès les premières pages avec un héros qui rappellera bien des personnages de shonen avec son petit air de Goku qui saute et grimpe partout et de Naruto avec le background familial tout pourri qu'il se trimbale et l'ami qu'il va se faire. C'est simple, on est littéralement plongé dans le feu de l'action dès les premières pages et on ne peut que se sentir entraîné dans la magie et la noirceur du récit ensuite.

L'auteur nous emmène à la rencontre des désirs secrets de Kiio, avec la vie toute pourrie qu'il a, il aimerait bien devenir DreaMaker pour y insuffler de la joie et du bonheur. Il va ainsi faire la rencontre du petit fil de l'un des maître du genre, ce qui donnera une scène aux allures de Sasuke x Naruto lol Mais ce dernier, Akira, est une patte avec le coeur sur la main et jouera plus les mères de substitution pour notre héros qui en a bien besoin.

Car derrière les allures de joliesse de cet univers où cela semble si facile de pouvoir être heureux grâce aux rêves qu'on achète, bien des noirceurs se cachent. Et c'est dans la représentation de celles-ci que j'ai trouvé mon bonheur justement. J'ai trouvé très fort et poignant la manière de Zilo d'amener tout cela. Elle se place littéralement du côté des enfants qui peuvent avoir énormément de mal à verbaliser les sévices qu'ils subissent à la maison. Ici, elle traduit cela par de véritables figures de cauchemars mise en scène à la manière de cauchemars fantastiques dans un trait à la fois rond et horrifique des plus saisissants que j'ai adoré. Tant de poésie pour évoquer une chose aussi moche, sale et violente, il fallait le faire.

C'est pourquoi même si DreaMaker est fort classique dans le genre, j'ai eu un petit coup de coeur lors de certaines scènes où j'ai trouvé que Zilo faisait preuve d'un rare talent pour évoquer les violences infantiles et insuffler de l'espoir à ses enfants à qui on essaie de l'enlever. Véritable ode à la puissance des rêves face aux cauchemars de la vie réelle, à l'amitié voulue face à la famille non choisie, DreaMaker a su me communiquer son souffle et ses espoirs. J'ai hâte de voir Kiio totalement libérer de ses chaînes pour découvrir tous les rêves qu'il pourra réaliser.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Pour une pincée de bonheur... combien de souffrance faut-il endurer ?

DreaMaker est la nouvelle création originale des éditions ki-oon. Une création à la fois sucrée et acidulée divisée entre les rêves et la sinistre réalité, le tout dessinée par Zilo, une française qui a fait ses armes aux Japon et qui signe ici sa première série.

Le lecteur est ici propulsé dans la cité de Lugdunum, troisième plus grande ville du monde de Gallia. Dans cet univers, les gens ne rêvent plus depuis des lustres et se retrouvent privés d'un sommeil réparateur. Fort heureusement, il existe des magiciens appelés les Dreamakers qui sont capable de créer et façonner des rêves pour pouvoir les revendre. Un agréable commerce qui permet à tout un chacun de bénéficier ( contre une certaine somme) d'une nuit paisible et d'un peu de merveille.

Kiio est un jeune garçon couvert de bleus fasciné par le travail des Dreamakers. Il passe son temps à visite la boutique de l'un des artisans du rêve les plus prestigieux de la ville. Mais derrière sa fascination pour les rêves, Kiio possède aussi un triste secret...

DreaMaker est un titre qui assume parfaitement sa dimension onirique grâce au dessin libre de Zilo , un dessin axé sur le mouvement et sur la liberté d'un découpage qui donne l'impression d'une joyeuse improvisation. Moins codé qu'un shonen classique, la narration est traitée en toute liberté avec une grande variation de plans et de découpage... Cette mise en case est aussi à double-tranchant avec des planches s'amusant à désorienter le lectorat. Cette narration libre est cependant servie par un dessin espiègle à la Wakfu dont on peut reconnaitre une petite influence, notamment au niveau du design de certains personnages. Dès ce premier tome, la mangaka Zilo distille donc un bon petit imaginaire un peu fou dans lequel l'onirisme et la quête du rêve deviennent un fond de commerce et de magie.

Mais derrière cette fantasy se cache aussi une triste facette: celui de la maltraitance. Il s'agit clairement du thème qu'on ne voit pas venir dans ce début de série. Un thème qui fait basculer la série du rêve au cauchemar. Sans allez jusqu'à un public averti, je déconseille ce titre pour les moins de 12 ans en général car la dessinatrice n'hésite pas à aborder frontalement mais toujours sous la folie de son dessin, la maltraitance parentale à l'égard de notre jeune héros. Les planches deviennent d'un coup effrayantes sous la représentation monstrueuse du père, les plans en fish-eye plus oppressants.

Ainsi donc, le shonen acquiert de manière inattendue davantage de force et de réflexion dans le traitement des rêves, perçue également une véritable échappatoire.

Pour l'instant, malgré un style de dessin un peu fou et accrocheur et quelques pistes thématiques originales, j'attends tout de même de voir l'univers de Dreamaker s'étoffer davantage dans les tomes suivants. En effet, pour l'heure, ce premier tome est une introduction un peu brutal par son dessin très dense, son univers ultra-vivant et surtout ces différents niveaux de lectures mais cela ne nous empêche pas d'être embarqué dans cet univers onirique un peu fou, un peu amer, un peu beau qui ne laisse pas imperturbable.

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Je remercie la diffusion Interforum Suisse pour ce SP !

La couverture très colorée de cette nouveauté, le thème alléchant des rêves ainsi que la promesse d'une boutique de sorciers les vendant m'ont tout suite fait envie.

Dans cet univers, les gens ont perdu la capacité de rêver naturellement. Leur seul moyen d'y parvenir est d'en acheter auprès de sorciers-artisants, les DreaMakers. Kiio, 12 ans, est fasciné par ces derniers. Il rêve d'en devenir un lui-même, et il visite chaque jour la boutique régionale de rêves; la DreamHouse. On y rencontre un papy grognon et dur en affaires qui en marre que ce môme rôde dans son magasin...


Voici les éléments qui m'ont plu, suivi de ceux qui m'ont laissée sur ma faim.

Points positifs:
- un style de dessin très original et rebondissant, qui s'éloigne du manga traditionnel
- des visages extrêmement expressifs, qui font penser à un cartoon
- des personnages plutôt attachants
- un univers déjanté qui vous fera volontiers rêver
- de jolies valeurs sont transmises (persévérance, confiance en soi, droit à l'émotion..)
- des scènes sombres à couper le souffle, parfaitement maîtrisées.

Points négatif:
- Personnages à la personnalité caricaturée, trop exagérée à mon goût
- des dialogues que je ressens comme un peu forcés, pas assez recherchés et avec un ton légèrement "bête" (ce qui m'a l'air d'être un parti pris humoristique qui ne m'a pas cueillie)
- public cible peu défini (niveau de langage et scénario plutôt axés enfants, mais des passages franchement angoissants qui ne seraient peut-être pas adaptés aux plus jeunes)


Dans l'ensemble je suis un peu déçue. le ton est enfantin, les personnages un peu trop caricaturés selon moi, et même si j'aurais dû m'y attendre (la collection l'annonce), c'est du Shonen pur et dur. J'ai pensé dès les premières pages que je n'étais pas le public cible, j'estimais ce dernier à plutôt 8-12 ans. Cependant, en avançant dans ma lecture, j'ai découvert certains passages sombres et angoissants traitants d'un sujet on ne peut plus lourd (passages que j'ai vraiment appréciés) et je me suis ravisée quant à l'âge recommandé. Je vois donc un problème avec ce décalage entre dialogues trop peu recherchés à mon goût, malgré les quelques messages honorables que le manga veut, parfois maladroitement, faire passer (confiance en soi, droit de pleurer...), et ces scènes qui sont géniales de leur dessin haletant et de la panique qu'elles transmettent.
Malgré tout, je vais sûrement lire le deuxième tome et voir comment évoluent ces différents éléments !
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« Dreamaker » est une nouvelle création originale signée par Ki-oon. Si j'ai plus de mal avec le graphisme des global manga je suis quand même contente et fière de moi de leur faire une place et de les découvrir. Ce qui m'a attiré c'est le titre, par contre j'ai tendance à le lire ainsi DreaM Maker, ensuite la thématique des rêves, le côté coloré et peps de la couverture sauf le gamin farfelu et pour finir ma curiosité (presque sans limite).
La thématique des rêves est universelle et sait toucher nos coeurs. le M plus grand a l'air de les lier.
Et sinon :
Dreamaker : rêveur, rêveuse
Dream maker : faiseur de rêves.

Zilo s'occupe de le faire naître de ses rêves (peut être). Zilo fait actuellement partie du groupe DreaMaker composé de trois artistes et amies : Bun, Momo et elle-même, sous le nom d'artiste Zilo.
Vous pourrez exaucer peut être un des vôtres en la rencontrant à la Japan Expo. Qui y va ?

Les traits sur les personnages sont assez particulier, voire parfois exagérés, mais sur le décor c'est vraiment beau et intéressant. de plus, il y a des phrases qui font mouche, des expressions qui nous touchent, c'est une belle création quand on se concentre sur ce qu'elle passe et ces messages.
Cela fourmille d'idées.

Kiio est un gamin de 12 ans, d'ailleurs nous commençons ainsi avec des gamins farfelus. Comme pour Kamisama School, il va nous falloir du temps pour appréhender ce monde.
Des fiches sur les personnages distillent le manga, c'est bien vu. Kiio a une grand attirance envers les dreamaker, il rêve même de s'acheter des choses à la boutique du sien, voire même d'en devenir un. Si bien qu'il n'arrête pas d'aller dans l'atelier du sien, de l'appeler papy, il fouine et est en permanence sur son dos parfois au grand dépit du dreamaker.
Mais en même temps, une relation va finir par s'installer, aidé par une tierce personne.

Zilo a mis en scène certains éléments criant avec un jeu de noir, de répétition, de mots cinglants, qui nous permettent de suivre l'état d'esprit d'une personne.
Avec une énergique personne comme Kiio, elle en montrera aussi une face cachée qui nous touche en plein coeur et nous fait mal

Au cours du récit, nous avons aussi l'occasion de découvrir la ville, ce que sont les dreamaker, ainsi de mieux appréhender cet univers. Je ferai également une mention spéciale à Alya, qui est non seulement un personnage féminin fort mais aussi qui pousse les autres vers le haut.
Elle nous offrira également quelques belles scènes dynamiques et stylées.

Ki-oon nous fait le plaisir de commencer par quelques pages couleurs.

Kiio en farfouillant chez le le papy, le DreaMaker du village va tomber sur un jeune garçon de son âge, Akira. C'est aussi lui qui va permettre la création d'un lien plus fort .

Zilo distille de belles notes d'humour aussi, et elle a réussi à ne pas rendre Kiio trop agaçant (ouf).
Nous voyons parfois des moments de vie se dérouler en quelques cases, sans tout détailler, avant de revenir à un point de notre histoire.

Mini avis : Bonne lecture prometteuse. Ici, nous sommes sur une création originale de Ki-oon, de Zilo. Pareil, il y a des gamins de 12 ans par moment, c'est dense, on entre seulement dans l'univers qui est intéressant. On y parle de rêves. Pareil aussi, certains moments du scénario sont prometteurs et donnent envie de continuer. On verra d'ici quelques tomes.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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Nous avons ici un manga de Zilo d'une jeune mangaka française qui se lit dans le sens japonais.
Depuis des temps immémoriaux, les êtres humains ne savent plus rêver. Pour pallier ce vide, cette absence du merveilleux et de l'imaginaire, quelques villes et villages se sont vu attribuer une ou plusieurs personnes capables de fabriquer des songes. Ces faiseurs de rêves, devenus incontournables font le bonheur des habitants qui se ruent dans leur boutique pour acheter des vagus, autrement dit, des êtres oniriques. C'est pourquoi ces quelques élus, capables de magie sont appelés « Dreamakers » ! Une légende raconte qu'ils auraient terrassé un terrible démon dans les temps anciens.
Kiio, ce petit chenapan voleur de bonbons, toujours prêt à faire les quatre cents coups, est fasciné par leurs pouvoirs et passe chaque jour visiter la Dreamhouse , repère du mage de la ville. Il nourrit le secret espoir d'obtenir un rêve pour échapper, ne serait-ce qu'un seul instant à la dure réalité qu'est la sienne. Et aujourd'hui est un grand jour, il a réuni l'argent nécessaire. Mais, alors qu'il entre dans la boutique, il aperçoit un étrange garçon endormi sous un arbre. Cette rencontre va faire basculer sa vie. Va commencer alors une aventure fabuleuse qui le mènera loin de chez lui à la découverte des nombreux mystères qui entourent les dreamakers. Les relations avec le vieux mage et le mystérieux jeune garçon sont très importantes pour Kiio qui y voit une échappatoire à son sombre quotidien.
Dés les premières pages nous sommes plongés dans cet univers des Dreamakers. le personnage de Kiio est attachant et touchant avec son côté espiègle et intrépide.
Ce manga traite d'un sujet très dur et très sombre qui tranche avec le côté joyeux et insouciant de l'enfance. On voit la difficulté de la vie de Kiio aussi violemment qu'il la vit. L'auteure utilise des métaphores visuelles auxquelles on ne s'attendait pas, en terme de mise en scène, pour ces passages très sombres.
Certaines pages avec un personnage central et des bulles tout autour permettent plusieurs sens de lecture, ce qui est assez inhabituel dans un manga japonais.
Zilo mélange ici avec succès les codes de la bande dessinée et des mangas.
« Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024. Je remercie Lecteurs.com ainsi que les Editions Ki-oon pour cet envoi. »
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critiques presse (3)
9emeArt
02 août 2023
[Un] premier titre rythmé et onirique qui promet plusieurs niveaux de lecture.
Lire la critique sur le site : 9emeArt
ActuaBD
17 juillet 2023
En un mot comme en mille, DreaMaker est un excellent titre shonen bouillonnant de passion et d’inventivité, qui surprend même les lecteurs les plus aguerris du genre et saura séduire à peu près tous les lecteurs qui lui donneront une chance.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
MangaNews
11 juillet 2023
Cette série nous plonge dans un univers fantastique où les hommes ont perdu depuis longtemps la capacité de rêver pendant leur sommeil, en perdant par la même occasion une partie de leur âme liée à l'imagination. C'est dans ce contexte que se sont développés les DreaMakers, des élus qui, avec leur magie, sont capables de créer artificiellement des rêves qu'ils vendent ensuite à leurs clients, et qui auraient même terrassé autrefois un démon avec l'aide de Marie, la sainte de ce monde.
Lire la critique sur le site : MangaNews
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Depuis des temps immémoriaux, les êtres humains ne savent plus rêver. Pour pallier ce vide, cette absence du merveilleux et de l’imaginaire, quelques villes et villages se sont vu attribuer une ou plusieurs personnes capables de fabriquer des songes. Ces faiseurs de rêves, devenus incontournables, font le bonheur des habitants qui se ruent dans leur boutique atelier pour acheter des vagus, autrement dit des êtres oniriques. C’est pourquoi on les appelle « Dreamakers » 
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Les phantasmas naissent de la peur et de la souffrance des gens qui ont sombré dans le désespoir, et ils se nourrissent de toute énergie ´négative : dépression, anxiété, insomnie, paranoïa, phobies, troubles de la personnalité.
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Plus on apprend, plus on progresse ! Il faut aller de l’avant pour s’améliorer. Dans le cas contraire, si tu penses avoir tout acquis, tu t’arrêtes, et c’est synonyme de mort. Tu ne t’es pas senti à la hauteur ? C’est bien, tu t’es rendu compte que tu as encore beaucoup à apprendre pour devenir plus fort. Être dreamaker, c’est se remettre sans cesse en question et s’interroger sur ce qui nous entoure.
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Il n’y a rien d’humiliant à ressentir des émotions, c’est l’essence de la vie. J’irai jusqu’à dire que c’est une force ! Parfois, il faut se laisser aller, ça soulage !
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Pour une pincée de bonheur, combien de souffrances faut-il endurer ?
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