Pendant les deux heures où nous avons été retenus prisonniers au château d'Erimenonville, je me suis demandé si mes collaborateurs avaient repensé au drame de Munich. Certains peut-être se sont-ils vus à la place des cent dix-neuf morts du théâtre de Moscou en octobre 2002. A quoi ont-ils réfléchi tandis que l'inquiétant commando les menaçait ? Ont-ils enfin réalisé qu'ils étaient mortels ? Que leurs parts de marché, leurs Audi A6, leurs articles et leurs problèmes ... >Voir plus