Train d'enfer pour Ange rouge

Grosse déception. On parle tellement de Franck Thilliez que je m''attendais à recevoir une claque. Eh bien non, je me suis juste ennuyé Les personnages ne sont pas suffisamment travaillés. Sur le fond, c'est un polar correct. L'histoire est travaillée, documentée. On sent qu'il y a beaucoup de recherches en amont.
Il est difficile toutefois d'apporter de la crédibilité au personnage principal qui, au début de l'histoire, mène tranquillement sa petite vie de policier sans remuer ciel et terre pour retrouver sa femme disparue...
Sur la forme, c'est poussif, parfois fatiguant à lire. On sent que c'est un premier roman et que l'inexpérimenté romancier a voulu en faire des tonnes

C'est le premier livre de Thilliez et ça se voit. Jamais je me serais attendue à dire ça un jour mais je suis déçue. L'écriture est parfois lourde, l'irruption de fantastique m'a hérissée (j'adore le fantastique, mais pas dans un thriller), l'enquête est plutôt banale (même si le tueur va très loin). C'est trop manichéen (le tueur est "diabolisé", l'expression "répandre la mal" est utilisée à outrance, ainsi que "vice") : un tueur n'est pas un être diabolique qui cherche à dégrader le monde, c'est un être qui cherche à satisfaire ses propres besoins, dérangés et malsains certes (c'est ma vision des choses bien sûr). J'avais aussi deviné l'identité du tueur avant la moitié du livre. Sharko est aussi trop impulsif pour que je puisse m'y identifier et l'apprécier. Et pourtant, j'ai lu le syndrome E et Gataca, donc je le connais bien. le duo Lucy-Sharko fonctionne bien mais Sharko tout seul...
Mais je pardonne Thilliez, parce qu'après tout, c'est son premier livre, et tous ces défauts sont gommés dans les prochains livres. On voit l'évolution de l'auteur, qui est devenu vraiment excellent, et je l'admire d'autant plus.

A mon grand désarroi, je dois avouer que je n'ai pas aimé ce roman. Pourtant, Dieu sait que j'adore Franck Thilliez ! Il s'agit ici de mon 5ème roman de l'auteur et de mon premier Sharko (logique).
J'ai trouvé ce roman bien en dessous de ceux lus précédemment. Pas qu'il est mauvais, loin de là ! Cependant, je n'ai pas retrouvé ce que j'apprécie habituellement chez l'auteur.
Franck Thilliez m'a toujours retourné le cerveau, et c'est justement ce que je trouve génial chez cet écrivain ! Ici, pour le coup, j'ai deviné l'identité du meurtrier très rapidement (or je ne suis pas le couteau le plus aiguisé du tiroir question résolution d'enquête). Pour moi, l'évidence sautait aux yeux.
J'ai également été fortement dérangée par les scènes extrêmement glauques et malsaines. Les descriptions sont, pour moi, trop poussées et inutiles. le rythme est souvent cassé par des descriptions à rallonge qui n'apportent rien.
Je me dis qu'il s'agit du premier roman publié de l'auteur et que cela explique peut-être ce style d'écriture très différent de ce que je connais de lui.
Au vu des avis, les romans suivants sont moins glauques. Je pense donc persévérer dans ma découverte de Sharko, même si je suis assez déçue de mon entrée en matière.

C'est un thriller assez classique. On retrouve un cadavre dans un sale état, on a un flic qui va mener l'enquête, et face à ce serial killer va commencer une sorte de bagarre entre les deux.

Je me suis légèrement ennuyée à la lecture, j'avais deviné des trucs et puis je n'accrochais pas vraiment à l'histoire du flic contre le serial killer. le côté surnaturel de l'histoire m'a un peu pompé aussi, j'ai trouvé ça inutile, et j'avoue que je n'aime pas vraiment quand dans des thrillers censés être terre à terre, il y a du surnaturel comme ça, même si c'est très peu.

Au niveau des personnages, j'ai bien aimé Sharko ainsi que son équipe, leur relation était sympa et bien travaillé, et on sent bien la dépression du commissaire dû au fait de ne pas avoir retrouvé sa femme.
Mais voilà je suis un peu restée à côté, j'avais hâte de le finir pour passer à autre chose, et si la fin m'a surprise, je l'ai trouvé presque trop facile.

Je tenais à lire ce premier tome, afin de me faire la série des Sharko dans l'ordre, et j'espère que les autres romans me plairont plus que celui-ci.
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Petite déception par rapport à ce premier opus de la série Sharko. Honnêtement, si j'avais commencé par ce tome, je n'aurais certainement pas lu la suite. Ayant lu Luca, je suis tout de même tentée par l'aventure, malgré les écueils qui, à mon sens, jalonnent ce roman-ci. Un style ampoulé, parfois à la limite de la maladresse, une histoire sensationnaliste, à la limite du voyeurisme, une trame peu vraisemblable, ainsi va mon ressenti. Heureusement, pour avoir lu plusieurs romans de Thilliez, je sais que son style s'est grandement amélioré par la suite...

Bon ben je n'ai pas aimé :-(
J'ai lu ce roman après le dernier de l'auteur "1991", et c'est donc le premier qu'il a écrit ! ... et la comparaison est cruelle (au désavantage de celui-ci).
L'écriture est approximative ; il veut "imager" certaines situations, mais c'est hors de propos, voire ridicule : "mes vertèbres se hérissèrent comme les poils drus d'un chat en rage", "le poignard courbe de son regard implorant me démolirait ..."
L'histoire n'est pas du tout crédible, tellement elle est tordue. Ni les tortures faites sur les différentes victimes, ni les raisons du choix des victimes.
Pas crédible non plus la façon dont Suzanne "roule des yeux", alors même qu'elle est quasi agonisante, pour donner un indice sur l'identité du kidnappeur" (rappelons que Sharko arrive à voir ce détail en visionnant une vidéo sur un écran d'ordinateur). C'est ballot parce que c'est justement cet élément qui dénoue toute l'intrigue !
Comme je l'ai fait remarquer dans ma critique de "1991", c'est saoulant ces romans ou le serial killer donne des indices à la police pour se faire démasquer !!!
Je viens de débuter le second roman de l'auteur (historiquement) : "la chambre des morts". J'espère que ce sera une bonne surprise, parce que sinon je changerai de crèmerie !

Un roman pour lequel j ai eu beaucoup de mal à accrocher. Même si l'intrigue est bien ficelée, quelques longueurs m ont amené es à faire des pauses de lecture . La plume de Thilliez est pour moi trop neutre , ce qui fait que j ai du mal à être subjugué , comme pour la plupart de ses romans. .
Fort dommage car l univers Sm étant assez tabou de nos jours , le découvrir à travers un thriller psychologique me tentait bien sur le papier .

Après avoir découvert l'auteur grâce a son incroyable thriller " La faille", j'ai fait le choix de tout reprendre au début, et de lire ses livres dans l'ordre chronologique.
C'est ainsi que j'ai lu son premier livre " Train d'enfer pour Ange rouge".
Peut être que le fossé entre son dernier ( ou un de ses derniers) livre et le premier est trop grand pour que ce dernier soit appréciable. Je ne sais pas.

En tout cas, ce thriller ne m'a pas DU TOUT plu.

On fait donc connaissance de Sharko, le cliché du flic dépressif, contrarié, qui tire sans arrêt sur la corde.
Pas de grande originalité.
Celui ci se retrouve à mener une enquête qui le mènera dans les coins les plus obscurs du milieu sadomasochiste.
Le récit est extrêmement gore. Exagérément gore. Les scènes de meurtres sont épouvantables, je n'en demandais pas tant. Il n'était pas pertinent d'être aussi extrême.

De plus, j'ai vraiment été dérangé par les jugements incessants du personnage principal à propos du physique des personnes qu'il rencontre.
Peut être qu'a l'époque où est sorti le livre, de telles descriptions condescendantes et humiliantes étaient acceptables, mais à l'heure actuelle, je les trouve vraiment très basses.

Lecture très mitigée, mais c'est un premier roman, et je sais que les derniers sont excellents. C'est intéressant de voir à quel point l'auteur s'est amélioré.

l s'agit du 1er tome mettant en scène le commissaire Sharko. Ce dernier est un écorché vif, sa femme a été enlevée voilà 6 mois. Il décide alors de s'oublier dans ses missions professionnelles pour faire face à l'absence et tenir debout. Il est appelé sur une affaire très particulière. Une femme a été retrouvée suspendue à son plafond, décapitée. En y regardant de plus près, il ne semble pas s'agir d'une pulsion meurtrière, tout a été minutieusement pensé, prémédité.
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Après avoir maintes et maintes fois lu et écouté les copines parler de la plume de Thilliez, je n'avais pas le choix que de sauter le pas, à mon tour.
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J'ai beaucoup apprécié la plume de l'auteur qui parvient à créer du suspens, à nous faire vivre de vives émotions mais aussi à décrire de beaux paysages, tout en figures de style.
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Les thèmes abordés étaient cependant trop gores pour moi. Avec ce récit, aucune place n'est laissée à la suggestion. Tout est décrit, dans les moindres détails alors quand les sujets principaux sont délires sadomasochistes, maltraitance animale et meurtres, je vous laisse imaginer… J'ai souvent eu le souffle court et l'envie d'arrêter ma lecture. J'appréhendais l'arrivée de nouvelles scènes choquantes. Certaines infos délivrées lors du dénouement manquaient, selon moi, de vraisemblance.
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Je continuerai sûrement cette saga car j'ai à coeur de me faire une idée plus positive de cet auteur du Nord mais je vais temporiser.
Lien : https://www.youtube.com/chan..

Franck Thilliez, né en 1973 à Annecy, est un écrivain français, auteur de romans policiers et de thrillers, également scénariste (voir la série Alex Hugo, sur France2). Auteur d'une ribambelle d'ouvrages, Train d'enfer pour Ange Rouge, paru en 2004, est le premier roman de la série mettant le commissaire Sharko en vedette.
Région parisienne, un cadavre de femme décapitée, le reste du corps martyrisé et dans un sale état, le commissaire Franck Sharko est chargé de l'affaire. Très vite l'enquête s'oriente vers les milieux sadomasochistes et quand d'autres cadavres du même genre vont suivre, cachant des messages plus ou moins indirects visant Sharko, l'angoisse va monter en pression. Pression accentuée quand on saura que la femme du commissaire a disparu depuis six mois et qu'elle pourrait bien être une victime du tueur en série. Franck Sharpo va se ruer comme un fou dans cette poursuite à la mort…
Aux côtés de Franck, ses adjoints ou supérieur qu'on retrouvera dans les volets suivants, mais aussi une psychologue chargée du profil du meurtrier et la voisine de palier du commissaire, une Guyanaise ayant des visions prémonitoires plus que troublantes pour un esprit de flic rationnel.
Inutile de le taire, si vous ouvrez ce type de roman c'est pour que vos cheveux se dressent sur votre tête ou que la bile vous remonte dans la gorge ; et dans le genre bien crade le Thilliez s'y connait. Entre les scènes de dissection à la morgue ou la description des cadavres sur les scènes de crimes, préparez une bassine à vos côtés pour vous éviter de courir aux toilettes pour vomir. Sadomasochisme poussé à ses extrêmes limites, snuff movies ou films de tortures et meurtres diffusés sur Internet pour les initiés, la perversité du genre humain ne recule devant rien et c'est le thème du livre, « L'être humain a besoin de zones d'ombre pour développer sa vie intérieure, c'est comme ça » résume la psychologue.
Donc vous avez compris, un bouquin qui ne risque pas de plaire à tout le monde.
Pour ma part, si j'accepte ce genre de romans de temps en temps, je ne suis pas trop bégueule de nature, j'avoue que celui-ci ne m'a pas séduit pour plusieurs raisons qui se recoupent : c'est le second roman avec Sharko que je lis et je n'accroche pas, les malheurs du commissaire m'indiffèrent, peut-être trop gratinés pour que même en faisant un effort… Et puis ici, le sadomasochisme, ça me laisse froid, les accessoires et autres ustensiles utilisés m'évoquent des usines ou des cuisines nickelées, trop de métal, trop de froideur. Tout est trop froid – même si l'envie de vomir vous vient – néanmoins, j'ai englouti le livre pour savoir comment il se terminait.
Un roman très moyen pour moi.