Ce qui pouvait encore passer dans le premier tome, à savoir une BD assez bavarde, est apparu dans ce second opus comme un vrai poids, conduisant à un désintérêt croissant au fil de ma lecture en regard d'une intrigue qui n'avance pas, pire s'enlise...
Tout cela pour apprendre en outre que près de 8 ans plus tard, le troisième (et a priori dernier) tome se fait toujours attendre... il y a franchement de quoi être dépité !
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Un certain apaisement, un rythme plus maîtrisé ouvrent le tome deux de ce mystère emplumé. La bataille qui faisait rage entre les bulles et les cadrages dans le tome un trouve des issues. En page, 30 ils vont même jusqu'à glisser chacun dans leur case. Un Paris d'un gris tendre en profite pour se prolonger dans les angles. Sculptures et architecture, vieilles boutiques et rues pavées, la culture est à l'honneur. La peinture, la littérature et le cinéma glissent dans les rigoles. Moins trépidant, plus agréable à suivre que l'entrée en scène, ce tome deux n'est malheureusement pas le dernier et le troisième n'a pas encore été publié. Aaarggh !
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Une suite directe du premier tome, avec les mêmes qualités : un scénario aux petits oignons, un langage très "fleuris", et une intrigue très prenante.
On passe de tome en tome, et on ne se lasse pas.
Le noeud se resserre pourtant autour de l'intrigue qu'a habilement préparée MrSchmultz....
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Héritier d’une ligne claire rappelant évidemment celle d’Hergé, Stanislas et son graphisme léché achèvent de nous séduire. Michel Boujut, récemment décédé, accompagné de Tardi au scénario, ne pouvait donc rêver plus bel hommage.
Lire la critique sur le site : BoDoi
L'impeccable ligne claire de Stanislas est au service d'une aventure rocambolesque à souhait menée par le héros, Oscar Moulinet, preneur de son à la Maison de la radio. Le récit au goût des Spirou d'enfance est infiniment savoureux.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Cet album ravira ceux qui croyaient évanoui le charme de la bande dessinée franco-belge classique [...]. Dans Le Perroquet des Batignolles, Stanislas renoue avec un plaisir de lecture que l’on croyait perdu, ou au moins élimé par le temps.
Lire la critique sur le site : Chro
Qu'est-ce que je vous sers ?
Un petit Anjou bien frais...
Et voila, un petit Anjou bien frais ...En joue , feu !
Pourquoi vous me dites ça ? Vous me menacez ou quoi ?
Excusez ! Je plaisantais: Anjou, en joue feu ! C'est mon père qui disait toujours ça, il avait fait la guerre, vous comprenez ! ...
Allez, cul sec ! ...Ça me remettra les idées en place....
Et remettez moi ça, fis de guerrier !
T'as vu cette prothèse, une main en bois avec un pouce articulé!
ça devait être coton pour lire le journal!
Regarde sur l'étiquette, en dessous. "Main nationale"...
C'est un truc de 14-18, ça...
La main nationale! Tu parles!
Eux y donnaient tout le bras, et la nation...elle leur donnait juste la main...
Le faux et l'usage de faux, disait Freud repris par Lacan, peuvent être une provocation pour parler de la vérité, Monsieux Moulinex...
"Un revenant"...
C'était quoi déjà ce film... ça se passait à Lyon..
Moi, je m'en méfie un peu des psys...
La brillantez que genera la obra de los grandes artistas los aísla en una genialidad aparentemente solitaria. Pero esto no es así. Todos ellos llegaron a su arte admirando, a veces copiando, la obra de sus predecesores antes de emprender su propio camino. Escuchar a los artistas hablar de sus predecesores, que han tenido un profundo impacto en ellos, es una buena manera de hacerse una idea de su cultura gráfica. Aquí proponemos descubrir una generación de artistas a través de los ojos de la siguiente. Tomando prestado el título de uno de los primeros libros de PLG, Anabel Colazo, Kim y Paco Roca nos hablarán cada uno de los autores que les iniciaron en el cómic, y que les han acompañado. Y nos mostrarán las imágenes.
Nos cruzaremos con Dan Barry (más que con Alex Raymond), Harold Foster, Frank Robbins, los ilustradores de Mad, Richard Corben, la pandilla de El Juves, Tardi, Peyo, Kasumi Yasuda, Vittorio Giardino, Ambros, Francisco Ibáñez, Albert Uderzo, Jack Kirby, Moebius, Bruce Tim, Jaime Hernández, Hayao Miyazaki, además de películas, series, novelas y videojuegos...
Los tres artistas pertenecen a generaciones diferentes, pero, por supuesto, tienen distintas fuentes de inspiración, lo que da lugar a una interesante confrontación. La conversación, iniciada durante las mesas redondas de SoBD 2023, está dirigida por Manuel Barrero.
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