The Crown's Game

Voilà un livre que j'ai mis au panier sans m'en apercevoir ! Quand j'ai ouvert le paquet, je me suis demandée ce que j'avais commandé ! J'ai même regardé si le colis était bien à mon nom ! Et en plus, il était en VO. Sur le coup, je me suis dit que j'allais le renvoyer, mais en lisant le résumé, j'ai changé d'avis et j'ai sorti mon vieux dico anglais/français ! Parce que oui, il y avait une éternité que je n'avais pas lue en anglais ! Et je crois que je ne m'en suis pas trop mal sorti même si je suis persuadée que je n'ai pas capté toutes les nuances.
Pour ma part, c'était une assez bonne lecture, elle m'a même surprise par moment. de la magie, un tournoi, de la romance et un petit côté de Russie impériale du 19ᵉ qui ne m'a pas laissé indifférente.
Il s'agit d'un premier tome introductif. J'ai eu l'impression que l'auteure a passé toute l'histoire à mettre en place les personnages, leurs relations, l'intrigue et l'univers. Ce qui était parfait pour moi vu que ça faisait une éternité que je n'avais pas lue en VO.
J'ai adoré ma lecture. Dans cet univers, les enchanteurs participent à un tournoi dans lequel ils doivent impressionner le Tsar en cinq épreuves. Celui qui impressionne, devient le conseiller du roi ; tandis que l'autre mourra. Ici pas de grandes batailles, mais des démonstrations de puissances et d'artifices.
On trouve un triangle amoureux entre Vika (enchanteresse des éléments), Nikolai (enchanteur qui utilise la construction) et Pasha, mon préféré (héritier du trône).
Pour ceux qui veulent savoir, elle a aussi fait Damsel dont l'adaptation est sur Netflix ! Enfin bientôt, pour le moment, il n'y a que la bande-annonce !
Je crois bien que les deux autres tomes iront tout droit dans ma wishlist !

Imaginez avoir un scénario de rêve, du genre "Le cirque des rêves et la série Grisha font un bébé", vous choisissez la Russie impériale du 19e siècle comme arrière-plan, SAUF QUE LÀ, non seulement vous n'en profitez pas à plein régime (parce que sérieusement, ç'aurait pu se passer dans un pays imaginaire ou un autre pays d'Europe et ça n'aurait pas changé grand-chose), mais vous rendez ça d'un ENNUI MORTEL

En gros, c'était mon expérience de lecture, et j'ai trop la flemme de venger l'honneur de Tolstoï, ce soir.