Un roman de gare - et encore.
Mysogine, presque. Pauvre, irréfléchi.
Un homosexuel qui mais nooon ne l'est pas, OUF (ironie inside).
C'est la guerre, il n'y va pas vraiment, faudrait tout de même pas, on va l'abîmer. D'abord à demeure, ensuite en prison - comme c'est commode !
Une liaison téléphonée - et ce qui en résulte encore plus.
Et l'obligation de l'aimer LUI alors que sa cocue d'épouse formidable, elle : ne reçoit aucune chance autre que celle de devenir vieille accariâtre. Ecrit de la partd 'une femme j'ai trouvé ça fort de café.
Cette femme ayant vécu son eménagement en Angleterre comme terrible, venue d'Inde qu'elle adorait - et aucune allusion à son passé en Inde quand son connard de mari revient de Thaïlande. Elle était tellement bien placée pour comprendre mais non. L'inde en fait, on s'en fout.
De la Thaïlande et de l'Inde, on ne sait à peu près rien. On voyage en express, pour le prétexte, par pour voir les couleurs et sentir les parfums.
Puis arrive le climax de téléfilm de ménagère qui porte le nom de Xavier. Les bras m'en sont tombés.
Ce n'est pas avec ce genre de torchons qu'on va donner accès aux arts et à la culture aux gens. Avec ça, on les laisse bien à leur place.
Je suis ravie d'avoir décidé d'en finir la lecture en diagonale car c'ets une grosse perte d etemps, pour moi. Et je ne le recommande à personne car entre Proute et Luncinda Riley il y a des K. Stockett (qui en apprennnent beaucoup en toute simplicité), des
Delia Owens (qui vous font vous rouler dans les marais tellement vous vous y voyez et qui osent en toute simplicité aussi)... il vaut mieux se précipiter sur ce genre d'auteurs que sur Lucinda Riley que je vais balancer dans la poubelle à papiers pour le recyclage.
Pardon pour cet avis très tranché. Je viens de le finir et il n'a pour moi été que déception. Et je parle beaucoup trop avec mes émotions , qui en cas de déception, me font passer pour ce que je ne suis pas ; mais juste une grande émotive ^^