Club N°56 : BD non sélectionnée
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L'idée du premier visiteur des Enfers me ravit mais le scénario reste vraiment poussif, on a déjà lu des histoires de visiteurs des Enfers plus inspirées.
Quel dommage de ne pas exploiter mieux le talent de Richerand qui aurait pu développer un univers plus fourni...
Bref, décevant.
Benoit
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Une idée originale, une couverture qui attire mais le soufflet retombe rapidement.
L'humour n'est pas trop présent et l'idée de départ mal exploitée.
Sam
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Quelques gags assez drôles, mais l'enfer ce sont tous les autres.
Et 62 pages de gags pas inspirés, c'est une bien longue éternité !
JF
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Qu'il est drôle de rire avec le diable!
Dans un Enfer en construction, voici venu le premier pécheur de l'humanité - il en fallait bien un - Caïn, le fratricide ingénu, fraichement débarqué dans le chantier infernal. Satan est débordé, ses démons aussi, rien n'est près à temps.
Caïn, loin de se faire torturer comme le voudrait l'usage, finit par sympathiser avec Satan. Après tout, ils ont pas mal de points en communs : un rapport conflictuel avec leur père, des frères qu'ils jalousent, un sentiment d'injustice inassouvi…
Nous explorons donc cet Enfer archaïque aux côtés de deux gamins terribles qui auraient mieux fait de consulter un psy avant de faire leur crise d'ado. C'est très drôle, sans prise de tête et le dessin, mélange nerveux de trait aux teintes carmin, est agréable à l'oeil. Les démons ont d'ailleurs des tronches hilarantes et les petites références littéraires ou artistiques sont fort appréciables.
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Jovial et plein de malice, pointu sur les connaissances et absurde dans l’âme, cette reprise du titre de Sartre offre une nouvelle perspective sur ce lieu méconnu où les Damnés sont sensés passer l’éternité.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Délicieux, ô combien ! Karibou au scénario de cette petite bombe et Lionel Richerand pour les dessins : on ignore si les deux iront au Paradis, mais pour sûr : Lucifer les attend pour qu'ils lui dédicacent son exemplaire.
Lire la critique sur le site : Actualitte
- Ah, les subtilités du langage... Et au commencement vint le verbe, hein ?
- M'en parlez pas, le verbe devait être "emmerder".
L'Enfer c'est les hôtes - La bande annonce