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3,71

sur 3311 notes
On pourrait difficilement faire plus décevant que ce livre là, et pourtant, j'ai lu absolument tous les Guillaume Musso. J'étais une fan. Etais, parce que Monsieur Musso réécrit la même formule encore et encore: une histoire fantastique, une histoire d'amour difficile, et un twist finale.
Sauf que cette fois, et depuis déjà quelques romans, cela ne prend plus.

La fin de "L'Instant présent" donne terriblement envie de pleurer: soit la fin est inutile, soit c'est tout le roman. En tous cas, les deux ne vont pas ensemble et j'ai eu l'horrible impression d'avoir perdu 4heures de ma vie (par chance, c'est le sujet initiale du livre!) en le lisant.

Si on aimait "Et Après", si on aimait "Seras tu là", c'est parce qu'on pouvait revenir en arrière et voir les petits indices, ici non, ici on efface tout simplement plus du trois quart du livre qui finalement, ne servaient pas à grand chose.

Et bien sûr on échappe pas au héros médecin, écorché vif...

Bref. J'avais un doute avec les derniers Musso, mais maintenant, il semble sûr que celui ci aura été mon dernier...
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ATTENTION : Ceci est une analyse-critique, elle peut contenir des spoilers non masqués.

J'ai beaucoup aimé ce livre. Je ne dirait pas que c'est un coup de coeur, cependant. J'ai toujours apprécié Musso, bien que je me reproche de ne pas l'avoir assez lu, mais concernant L'instant Présent, j'avoue avoir eu quelques doutes envers la chute… J'entends par la que, oui, j'ai été surprise, mais que je m'y attendais un peu. Peut-être est-ce ma faute, mon esprit qui vagabonde sans cesse hors des limites était peut être trop imprégné de cette fabuleuse histoire, et a imaginé la fin… Je ne sais pas. Autre chose : je suis au courant que depuis peu Musso à, selon les dires, « changé sa façon d'écrire ».

Or, avant de me lancer dans une critique entièrement positive de ce livre, je tiens à m'affirmer sur la question. Non, Musso n'a pas changé sa façon d'écrire, il est toujours le même, son style d'écriture, selon moi, unique et qui lui correspond, nous permet toujours de l'identifier tel que : Guillaume Musso. Quand on identifie un auteur à partir de son écriture, c'est que c'est un auteur important. Et comme je l'ai dit, unique. Ce qui a changé, selon moi, c'est le ton du livre. Celui ci ressemble beaucoup plus à une enquête, on le nomme d'ailleurs « polar ». de plus, il n'y a pas, dans ce livre là, de communication entre deux pays. D'ordinaire, on a toujours un lien Amérique-France. Or, ici, il ne s'agit que des villes de Boston et de New York. J'avoue avoir été un peu surprise par cela (j'aimais bien ce petit voyage, je commençais à m'y habituer, moi…), mais un peu de changement ne fait pas de mal. Enfin, une chose que je relève dans se livre, est la profonde tonalité dramatique et sombre qu'il possède. Comme si la fin ne pouvait qu'être mauvaise. Ces quelques défauts sont cependant liés au livre lui même : dans une histoire ou l'on ne vit qu'un jour par an, difficile de bien écrire à propos des liens entre les deux amoureux, et d'être positif à props de son propre futur. J'ai tout de même trouvé Musso beaucoup plus direct, bref, et « tranchant » que ce que j'avais pu lire de sa part. Mais mes reproches me semblent bien superflues, car l'histoire aurait été difficilement écrite par un autre.

Je ne peux donc que vous conseiller ce livre qui, dès la première page, nous plonge in medias res dans un milieu familial plutôt étrange : un homme qui laisse tomber son fils du haut du lit, alors qu'il lui a promis de le rattraper, lui disant qu'on ne peut « se fier à personne dans la vie », plutôt étrange. Ici se tient la preuve que le livre ne sera pas une partie de plaisir, que la tonalité dramatique et sombre va se poursuivre tout au long du livre. Mais les lecteurs ingénus que nous sommes n'y croyons pas. Alléchés, on se précipite sur la suite du livre. Arrive un leg bien étrange : le phare des vingt-quatre vents. Une promesse à faire : ne pas passer la porte. C'est ce qu'Arthur ne doit pas faire : il ne doit jamais ouvrir cette fameuse porte au fond de la cave. Mais qui ne l'aurait pas ouverte ? Qui n'a jamais voulu tenter le diable ? Et qu'est-ce qu'une simple porte peut bien faire à un homme ? Comme beaucoup l'auraient fait, Arthur ouvre donc la porte.

Commence alors une suite de péripéties incroyables, et je pèse mes mots. Vivre un jour par an, atterrir au beau milieu d'un endroit imprévisible, faire des sauts de 365 jours, et rencontrer des gens qui jamais ne se souviendront d'Arthur, voilà à quoi notre protagoniste est désormais voué. Mais c'est là que j'ai été, en tant que lectrice, alertée. En général, le fantastique ou le magique de Musso cache quelque chose. Une chute bien réaliste. le magique ne dure jamais réellement. Dans Et Après, le personnage possède bien le don de voir ceux qui vont mourrir, mais voyez-en le prix… Alors pourquoi toute cette histoire à propos de la vie d'Arthur ? Pourquoi avoir fait apparaitre une femme dans sa vie alors que ce n'est pas réellement une vie ? pourquoi des enfants ? Quelque chose clochait dans le livre, et c'est sur cette redondance du magique que peuvent s'arrêter les lecteurs les plus alertes.

Hormis cela, il n'y a rien à dire. Les personnages vivent chacun des vies brisées, ce qui est plaisant, car la question « vont-ils s'en sortir », et « comment » nous tient en haleine. de plus, on se sent proche de ces personnages qui mènent ces vies agitées, ne sommes nous pas, nous aussi, impuissants face au temps qui passe ? Que feriez vous, vous, si vous ne viviez qu'un jour par an ? Vivriez vous chaque jour à fond, ou essayeriez vous de lutter contre la malédiction ?

C'est ici que le livre devient alors intéressant. Lorsque l'alter égo d'Arthur apparait, on comprend alors que quelque chose cloche. Celui-ci est révélateur de sa réelle condition d'écrivain. Il est la fortune et la célébrité qui a ruiné sa vie et l'a amené à écrire l'instant présent, et à douter de sa femme, jusqu'à ce que sa vie soit détruite. Il est la preuve que dans sa vraie vie, Arthur aurait du profiter de sa famille et ne jamais douter de sa femme, comme le personnage de son livre essaie de profiter de chaque jour. Et quand le personnage se trouve en face de son alter ego, de cet homme qui veut prendre sa place, il s'aperçoit qu'il n'existe plus pour personne et que sa vie est ruinée. Ce que ce livre veut nous faire comprendre, est que la seule menace n'est pas le destin, mais soi-même. Ce qui menace Arthur dans sa vie réelle n'est pas un homme qui rôde autour de sa femme, mais lui, homme trop occupé et égoïste pour s'apercevoir que sa femme voulait seulement lui offrir le phare. C'est donc une analogie : dans sa vraie vie, il aurait du profiter de tout ce qu'il avait, ne pas douter, et dans son livre, il doit profiter également, sans penser à la vingt-quatrième année, car rien n'arrête jamais le temps. Ce qui nous renvoie au titre du livre de Musso : l'Instant présent.

Jolie mise en abime qu'est ce livre. Un écrivain, Musso, écrit à propos d'un écrivain déchu, qui écrit lui même sa propre histoire sous une forme plus « magique » : un écrivain subissant une malédiction : celle de ne vivre qu'un jour par an. Un ton sombre, certes, mais à travers son livre, Musso permet à Arthur de s'apercevoir de ses erreurs à travers sa propre écriture, son histoire mise sur papier. Ainsi, il peut peut-être se reconstruire, bien qu'une partie de sa vie ait été détruite en un clin d'oeil. En effet, l'ouverture de la porte du fond de la cave coïncide bel et bien avec la mort des enfants. On peut relier ce coup de vent qui claque cette fameuse porte, avec les années perdues de sa vie à l'hôpital, ou encore ce temps passé à vouloir faire carrière, sans être auprès de sa famille. Ainsi une fabuleuse leçon de vie nous est dressée au travers d'un voyage long de vingt-quatre années, et pourtant si court : celle de profiter de la vie, de ceux qui nous entourent, de chaque instant : de l'instant présent.

Lien : http://lettresevanescentes.b..
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Je me pose une question : pourquoi lis-je les romans de Musso ou Levy à chaque nouvelle parution alors que ce n'est vraiment pas mon style de lecture ? Sûrement parce leurs éditeurs sont les rois du marketing et que je succombe à chaque fois à l'effet de mode. Il n'y a qu'à regarder les montagnes de critiques positives figurant sur la couverture de ce livre pour nous pousser à l'achat sauf (c'est écrit en petit), qu'elles concernent le précédent ouvrage de l'auteur... (Rassurez-vous, je ne suis pas maso au point de dépenser un seul euro, ils me sont simplement proposés par la bibliothécaire de mon village...). Des fois, la sauce prend comme avec "Central Park", et des fois, ça ne prend pas comme avec "L'instant présent".

C'est une impression générale de vide que m'ont laissée les allers-retours du héros dans le futur. le brouillard ne s'est dissipé que dans les 5 ou 6 dernières pages. Le dénouement est peut-être original mais je n'ai pu retenir un "Tout ça pour ça ". Comme les personnages n'apparaissent qu'en coup de vent, il est difficile de s'y attacher. Lisa semble être une femme futile alors que finalement elle vit une épreuve difficile que l'on ne comprend qu'à la fin.
Le point positif de ce roman est le survol des années 90 et 2000 avec la revisite de leurs évènements marquants qu'ils soient politiques, techniques (arrivée d'internet), musicaux ou dramatiques (11 septembre 2001). J'en retiendrai aussi les quelques phrases un peu personnelles de l'auteur sur le métier d'écrivain et l'éventuel thérapie par l'écriture pour certains. La seule chose à laquelle je suis fidèle chez Musso, ce sont les petites citations empruntées à d'autres écrivains en début de chaque chapitre. Des petites réflexions sur la vie qui finalement nous invitent tous ici à profiter de "L'instant présent". Malheureusement, même un Musso qui se veut philosophe, pour moi, ça donne un 10/20.
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Dernier roman en date de Guillaume Musso, j'ai eu la chance de me le faire offrir pour Noël, dans une version dédicacée par l'auteur et j'ai bien aimée l'histoire générale, même si une fois encore, j'aurais préféré une fin moins basique.


Les 3/4 du livre sont géniaux, il y a de la romance, du fantastique, beaucoup d'idées et j'ai du prendre mon temps pour ne pas le lire en deux jours.


Et puis, vient la fin du livre. Une fois de plus, Guillaume Musso efface tout ce que vous venez de lire pour nous offrir un rebondissement auxquels on ne s'attendait pas. Tout comme dans son précédent roman, Central Park ou La fille de Papier. Je pense que cela devient une habitude et un style chez lui, de faire terminer ses livres ainsi. Cela n'enlève rien à la qualité du livre, puisque durant la lecture on ne s'ennuie pas une minute. Ce n'est pas non plus de la facilité car, même avec un énorme revirement de situation, tout se tient et tout s'explique sans soucis et cela apporte d'ailleurs une plus grande profondeur au récit.


J'ai beaucoup aimé ce livre, même si à l'avenir il devrait faire attention à ne pas faire systématiquement ce genre de fin, car on va finir par s'y attendre, et cela perdra de son charme. Ah, oui et une chose, Guillaume Musso, par pitié, cessez avec vos personnages médecins, c'est lassant à force.
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J'ai lue les dernières pages de ce livre en pleurant, en criant, et en frappant dans des coussins. Pourquoi ? Simplement parce que j'étais décue, fâchée, en amour et très nostalgique. Un mélange de plusieurs émotions que je ne vis que rarement en lisant.
Guillaume Musso sait toujours bien manipuler ses lecteurs. Tous ses livres se terminent de façon semblable mais à chaque fois, on se fait prendre au piège et on s'imagine une finale différente. Encore une fois, je m'attendais à une conclusion spéciale et donc, ce que m'a donné l'auteur, m'a, au départ, ennuyé. Lorsque j'ai compris de quoi était question la fin, je me suis mise en pétard. Mais plus je tournais les dernières pages, plus j'étais heureuse d'avoir lus ce livre, plus j'étais satisfaite... Je déteste Musso autant que je l'aime!
Bon, commençons par le début. En lisant le résumé de ce bouquin, j'étais loin de m'attendre à ça. Je croyais avoir affaire avec un livre d'amour un peu compliqué mais ce qu'on m'a livré était totalement différent. Arthur soutient sur ses épaules une malédiction horrible qu'à également vécu son grand-père. Pendant vingt-quatre ans, il ne vit que vingt-quatre jours. Il ne vit qu'une journée par an, avant de disparaître dans le néant et de se réveiller l'année suivante. Seulement, pendant l'une de ces journées, il fait la connaissance de Lisa et tombe follement amoureux d'elle. Une histoire d'amour déchirante, tragique, émouvante... cette histoire m'a fait traversée toute la gamme d'émotion possible! Je sentais leur amour palpiter dans mes veines, je sentais à quel point leur lien était fort alors qu'ils ne sont que deux personnages de fiction. le fait qu'ils ne vivent leur amour qu'une fois par année m'a aidé à comprendre à quel point le temps est précieux : on ne peut le gâcher, la vie n'est pas éternelle. Lisa et Arthur ne passent que vingt-quatre jours ensemble sur vingt-quatre ans mais leur amour persiste à cet obstacle.
De la souffrance, de l'amour, de la passion, de la peur du futur, du chagrin, la perte... Tout y passe, on est gâté en émôtions.
J'ai d'ailleurs apprécié l'insertion qu'à fait Musso, dans les derniers chapitres, où il a inséré le nom ''Tom Boyd'', ''auteur de la trilogie des Anges.'' Pour ceux qui n'auraient pas compris le lien, Tom Boyd est le personnage principal de ''La fille de papier'', un autre livre de Guillaume Musso paru il y a quelques années.
Enfin bref... Je suggère ce livre à tous le monde, prenez le temps de lire jusqu'à la toute fin même si vos larmes vous empêchent de voir correctement les mots sur le papier. Bonne lecture!
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La 4ème de couverture me tentait bien.
Qu'est ce qui pouvait empêcher un homme et une femme d'être ensemble, à notre époque, à New York ? Quel était ce terrible secret ?
Bref, je me lance donc dans mon 2ème Musso.
Dès le début, j'ai été prise dans l'intrigue. Je voulais connaître la suite, savoir pourquoi et surtout comment le héros allait se sortir de cette malédiction. Car il s'agit bien d'une malédiction !
A mi-parcours de ma lecture, je me suis un peu essouflée.
Quant à la fin... Sans dévoiler le pourquoi et le comment, j'avoue avoir été extrêmement déçue par la pirouette de l'auteur. Je ne sais pas exactement à quoi je m'attendais, mais pas à cette fin.
Alors, oui, Guillaume Musso m'a surprise..., mais...
Je ne sais pas si je me redirigerai vers cet auteur. Il semble faire le buzz à chaque sortie de livre, mais j'avoue ne pas adhérer à son style. J'ai un peu de mal avec les auteurs français qui s'évertue à écrire des histoires qui se déroulent aux Etats-Unis. J'avoue dans ce cas privilégier les auteurs américains qui nous font découvrir leur pays. Surtout que je trouve que, dans le cas de Musso, l'histoire se passe aux Etats-Unis, mais les références sont typiquement les références américaines des français ! Bref, Guillaume Musso, après 2 romans lus, n'arrive pas à me convaincre.
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On touche le fond
Une histoire qui n'a aucun sens, qui tourne en rond, On comprend très vite la trame. le seul personnage cohérent est le grand père, quand à la fin elle vous laissera sur votre faim. Bref je n'ai pas accroché...........................
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Voilà le dernier cru de Musso, habituel et sans éclat. Toujours le même scénario, la même manière de tenir en haleine pour une fin pas si flamboyante que prévue et à laquelle, oserais-je le dire, je n'ai rien compris...
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Malheureusement quand on s'appelle Guillaume Musso, on attend l'excellence. Monsieur l'écrivain a décidé de nous offrir un roman par an, a t'il peur de la concurrence? Malgré cette note catastrophique, il faut reconnaître le talent de l'auteur. C'est un immense écrivain, on ne peut pas lui enlever cela. Il est addictif, direct et sait écrire. Mais voilà avec L'instant présent, arrivée à la dernière partie puis au dernier chapitre j'ai eu envie de hurler! Non mais il a fumé la moquette pendant l'écriture de ce roman. Une arnaque complet ce roman, et pourtant j'y ai cru jusqu'au bout.
Un auteur qui début j'aurais été moins exigeante mais là c'est du grand n'importe quoi. Et pourtant c'était addictif.
Arthur Costello détesté par son père, lui offre un cadeau empoisonné, un phare. Un cadeau maudit qui va détruire 24 ans de sa vie. Une rencontre avec Lisa, une comédienne à en devenir. Une romance qui commence dans de mauvaises conditions. Vont-ils pouvoir s'aimer malgré le fardeau d'Arthur. Ce speech il est génial et franchement Mr Musso aurait mieux fait de s'arrêter à cette trame. Mais à un moment il nous pond une revue de presse abracadabrante qui m'a donné l'impression qui n'avait aucun lien avec le début du roman. Il m'a manqué une petite connexion pour avoir une réelle cohérence pour diluer tout ça. Il a voulu provoquer un énorme "Wouahhh" il a obtenu un "c'est quoi ce délire". J'ai galéré toute la nuit à essayer de comprendre toutes les subtilités du roman, le message véhiculé. D'ailleurs, Guillaume Musso s'est il vu en Arthur Costello?
J'ai trouvé le personnage touchant et humain. Son parcours nous émeut et interpelle. Pourquoi ne pas s'être arrêté à l'essentiel au lieu de nous faire un "je ne sais pas quoi back" qui nous tournicote le cerveau. Il a voulu nous offrir un moment larmoyant qui fait un flop total.
Je comprend mieux que les pro Musso sont ressortis perplexe avec cette lecture. Personnellement, c'est de loin la pire histoire que j'ai lu de lui. La moins crédible et la plus rocambolesque et je ne comprends toujours l'intérêt du phare....
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Au début, nous assistons à un père qui déclare de façon pas très sympathique à son fils , qu'il n'est pas le sien.
A la suite de cette déclaration, Arthur reçoit en héritage un phare dont le sous-sol renferme un mystère qu'il est décidé à percer. Erreur, sa vie va être mise entre parenthèses pendant 24 ans et il va disparaître et réapparaître sans arrêt au bout d'un an.
Il retrouve son grand-père qui a vécu la même aventure que lui et une jeune femme, Lisa, qui va croire en son histoire.
On est baladé dans une histoire fantastique tout au long du roman. La fin est tout à fait inattendue. C'est magnifique.
Je ne me suis pas ennuyée une seule minute même si on retrouve des points communs entre les différents romans mais tout est pardonné . L'auteur a bien droit à sa patte personnelle. Guillaume Musso me plaît décidément beaucoup et ses citations en têtes de chapitres sont toujours aussi bien choisies.
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