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Gaël Faye (Préfacier, etc.)
EAN : 9782709670852
192 pages
J.-C. Lattès (19/10/2022)
3.99/5   340 notes
Résumé :
Ben Mazué : Pour la quatrième de couverture je propose qu’on écrive quelque chose de drôle, tant pis si c’est pas très clair sur le contenu du livre.

Grand Corps Malade : Drôle, moi je suis toujours d’accord.

Ben Mazué : Je pensais à ça : « Il y a deux ans Grand Corps Malade s’apprêtait à partir vivre à Montréal. Ben Mazué lui proposa alors de se lancer dans une correspondance, comme un journal à deux, pour garder le lien. Le projet de ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (40) Voir plus Ajouter une critique
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Je suis un peu malheureuse à l'ère de la modernité et du numérique, moi, même si je suis accro à mon téléphone et que je ne passe pas une heure sans consulter whatsapp parce que mine de rien, je sais bien que tout cela contribue quand même à la mort de la lettre et les lettres, j'ai beaucoup aimé ça, j'adore ça en réalité. Petite fille puis adolescente, j'en écrivais en abondance à mes cousins, à mes amies, à mes correspondants... C'est devenu plus rare en vieillissant et aujourd'hui, c'est presque exceptionnel. Pourtant quel plaisir de prendre le temps d'écrire et de timbrer sa lettre, d'aller la poster. Quel plaisir plus grand encore d'attendre et de recevoir, surtout, la réponse, de la sous peser, de l'ouvrir... J'ai aimé les lettres au point de devenir un peu maniaque des correspondances et j'ai souvent un volume qui traîne pas loin de ma table de chevet. Bien sûr, je ne lis pas tout d'un coup, mais de temps en temps, je me régale d'une lettre de Flaubert à Louise Colet, ou d'Albert Camus à Maria Casarès...
Forcement, quand j'ai appris que deux de mes auteurs-compositeurs-interprètes s'étaient lancés dans une correspondance un peu vintage et allaient la publier, je n'étais que joie.
Il y la mélancolie et la poésie de Ben Mazué, ses doutes, ce talent de conteur, ces chansons qui vous transpercent, "Nous deux contre le reste du monde" et "quand je marche".
Il y a la voix de Grand Corps Malade, la pudeur et les émotions qui percent dans les textes, "Roméo kiffe Juliette" et "Dimanche soir".
Et dire qu'en plus, ils sont amis ces deux-là... Dire qu'en plus, c'est Gaël Faye, troisième mousquetaire du trio magnifique, qui préfacera l'ouvrage.
Alors oui, rien qu'à l'idée de dévorer leurs textes une fois de plus, de les lire se livrer leurs visions du monde, leurs failles, leurs espoirs, je tremblais un peu et quand j'ai enfin pu ouvrir, fébrile, le précieux sésame, je ne l'ai pas refermé avant de l'avoir terminé.
Cet échange entre les deux artistes, s'il n'a pas la beauté formelle des lettres de Camus et Casarès, est passionnant et surtout, il est frémissant, vivant, profondément ancré dans notre société, humain, riche. Il est tout à la fois très personnel mais touche aussi à l'universel. Les deux artistes se livrent avec une sincérité touchante, une simplicité déconcertante, une fraîcheur qui n'exclut pas la profondeur.
J'ai beaucoup aimé la posture qu'ils adoptent quant à la future édition possible de leur correspondance: oui, c'est une possibilité mais non, ils n'écrivent pas que dans ce but et il y a ce moment où ils semblent complètement l'oublier et où leurs lettres débordent de spontanéité, d'authenticité, d'une forme d'intimité jamais forcée, jamais gênante...
Tour à tour Ben Mazué et Grand Corps Malade évoque leur métier, ses beautés et ses ratés, leurs vies de famille et l'organisation que cela implique, le confinement, l'engagement, l'éducation nationale, le pouvoir de l'art. A cet égard, la lettre dans laquelle Ben Mazué parle de Shakespeare est confondante de sens et de beauté. Ces lettres signent aussi la rencontre du soignant et du patient et les missives qui scellent cet échange précis sont d'une vraie clarté. Dans cette correspondance aux sujets aussi divers que profonds, on retrouve les regards croisés de deux hommes, de deux artistes aux sensibilités et aux parcours différents et c'est assez poignant en réalité.
Il y a la solidité de Grand Corps Malade, ses valeurs et cette humilité qui lui fait rejeter toutes certitudes trop dogmatiques.
Il y a le côté un peu lunaire, un peu poète de Ben Mazué qui regarde le monde et qui se pose tellement de questions. Cette légère angoisse teintée d'autodérision.
Elle est passionnante cette correspondance, elle est tellement inspirante aussi et le plaisir manifeste qu'ont eu les deux artistes à s'écrire, quelque soit la contrainte éditoriale, ne rend que plus grand le plaisir de la lecture.

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Argh... Première critique de ce livre que j'attendais tant, quelle pression !

Ben Mazué et Grand Corps Malade.
Ces deux-là, je les adore, j'adore les textes qu'ils posent sur leur musique.
La virtuosité de Grand Corps Malade, le rythme de ses phrases. Sa façon d'amener de l'émotion avec une jolie pudeur. La chanson "Dimanche soir" qui me mouille toujours un peu les yeux tellement chaque fois elle me fait prendre conscience de la chance que j'ai moi aussi de ne plus avoir peur du dimanche soir.
La sensibilité de Ben Mazué. Sa façon de jouer avec les sonorités. de conter des histoires, de croquer des portraits, de dévoiler ses doutes. La chanson Divin exil, qui me donne envie de mettre les voiles ou J'écris qui exulte de tout ce que Ben met dans ses chansons.

Oui, vraiment, je les adore.
Alors quand ils décident, de façon un peu vintage, de s'écrire des lettres, tous les deux, franchement, les attentes sont très très hautes !

J'avoue, je m'attendais à des textes hyper travaillés genre textes de chansons. Mais non. Les deux potes se sont écrit de manière assez spontanée je pense, sans chichis, en toute humilité, en toute sincérité.

J'ai retrouvé un Ben qui observe le monde qui l'entoure et se pose des questions sur la façon dont il s'insère dans ce monde là. Un Ben qui se met à nu, se livre à son pote. Avec parfois la touche d'autodérision qui va bien. Et en le lisant, j'avais presque l'impression de l'entendre dire son texte, comme pendant ses concerts.

J'ai trouvé un Fabien solide, ancré dans ses valeurs et sûr de qui il est mais pas du tout pétri de certitudes. Un mec rassurant et positif qui sait à tout moment faire un pas de côté et se rappeler pourquoi il est là. Et en le lisant, j'avais presque l'impression d'entendre sa voix enveloppante et chaude. Sa "médicavoix".

Ce qui jaillit de manière évidente de cet échange épistolaire, c'est la vraie belle admiration que ces artistes ont l'un pour l'autre mais aussi pour les hommes qu'ils sont. J'ai trouvé une complicité non feinte et une amitié en rien superficielle.

Je n'ai pas trouvé ce à quoi je m'attendais.
Mais le plaisir que ces deux-là ont pris à s'écrire a tout simplement transpiré dans leurs échanges et s'est transformé en un grand plaisir pour moi de les lire. Tout simplement, très humblement et sincèrement.
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GRAND CORPS MALADE et Ben MAZUE. Les correspondants.

Deux amis rappeurs, aimant la poésie, les rimes, la musique, décident de correspondre pendant toute une année. Ils s'engagent à correspondre chaque semaine. Et nous avons sous les yeux les lettres que chacun a envoyé à l'autre. Puis la réponse arrive. Chacun suit son instinct et ne se souci pas du contenu de la lettre reçue. Une correspondance sur seize mois et en particulier lors du confinement. Ce confinement imposé à tous a brisé la société. Nos deux artistes ont vu fondre la neige et balayé tous leurs projets et spectacles en cours de réalisation. Il leur a fallu tout repenser. Et au cours de ces divers courriers, ils nous font part de leurs nouvelles idées. Ils parlent à bâtons rompus de leur quotidien, de leur vie professionnelle, de leur vie familiale, de leurs envies d'écriture. Ils nous narrent leur semaine d'atelier écriture avec Gaël FAYE. Oui, celui qui a écrit le merveilleux « Petit pays ». Les trois compères ont bien profité de cette semaine en composant, écrivant, jetant des idées en vrac sur le papier : ils ont bien travaillé, ensemble, en toute confiance, en toute amitié. Ces hommes ne connaissent pas la jalousie et ne sont pas blasés par leur succès. Bien au contraire, ils sont là, les uns pour les autres, en toute sympathie et pour notre plus grand plaisir, les textes des chansons reflètent leurs états d'âme et toute l'empathie dont ils font preuve.

Je ne connaissais pas du tout Ben MAZUE. Quelle carrière ! Après avoir été médecin, se plonger dans la musique et réussir : c'est formidable. Nos deux musiciens, paroliers, interprètes, sont de bons vivants. Ils ont émis un pari. Ils ont respecté leur engagement. Ces correspondance , se répondent parfois ; dans la lettre reçue la semaine suivante, nous découvrons leurs états d'âme, leur nostalgie, la joie d'avoir joué ensemble, etc. … A tour de rôle, ils nous font pat de leur nostalgie, de leur sensibilité, des rencontres faites, des spectacles auxquels ils ont assisté ou participé, de leurs futures scènes ou ils nous parlent de choses tout à fait banales, de leurs difficultés quotidiennes, de leurs enfants, etc, … Une vie somme toute semblable à la notre. Pour ma part je n'ai pas leur talent musicaux, leurs rythmes , leurs mots pour exprimer mes états d'âme. Quel dommage ! ! !

Dans cette correspondance, il y a de la pudeur, de la sensibilité, de l'émotion, et beaucoup d'espoir. Ces deux artistes, en se confiant, nous révèlent leur sincérité, leurs doutes, leurs espérances, leurs projets. Ils nous donnent ici un aperçu de leur quotidien, quotidien qui a été bouleversé avec l'arrivée du COVID. Une époque d'une grande tristesse, où chacun a du vivre plus ou moins cloîtré. Au cours de leurs échanges épistolaires, les deux compères nous ont affirmé leur sympathie, l'un pour l'autre, le respect réciproque, leur grande amitié. Des êtres humbles, sincères, vrais…
( 10/02/2023).

Lien : https://lucette.dutour@orang..
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Un ouvrage sans prétention agréable à lire surtout si on aime ces chanteurs. Ils y parlent de la difficulté et des joies de leur métier, de leurs enfants et nous replongent dans cette époque de COVID. J'ai vraiment passé un agréable moment. Merci les artistes. Et je vais de ce pas réécouter l'album Éphémère.
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Quand je suis entrée dans la médiathèque,en tête de gondole ce livre...
Grand corps malade...autant vous dire de suite que j'apprécie énormément ses textes et ce que l'homme dégage.
Pour être honnête,je ne connaissais pas du tout Ben Mazué 😅
Eh oh ça va,je suis allée écouter ses musiques et un ptit tour sur google pour savoir de qui on parle quand même.
Bon maintenant,"je sais" qui est Ben et pas mal je dois dire...
Quelle sensibilité la vache,il m a fais monter les larmes aux yeux plus d'une fois autant dans la correspondance qu'en l'écoutant.
Je le vois bien toujours dans la lune,un grand rêveur et idéaliste alors que Fabien je le vois plus au taquet,que ça bouge et que ça rigole.

Alors non ce n est pas le livre de l'année mais je pense que c'est à lire.

Perso,je ne trouve pas que ça soit un trip égocentré,j'ai aimé me retrouver assise sur un banc avec eux à savourer leurs échanges.
Ça se lit quasiment d'une traite,j'ai aimé leur façon d'écrire sans trop en faire,en étant eux mêmes.

J'ai été émue quand Fabien racontait à Ben ce qu'il ressentait sur scène,j'ai ri avec le passager du métro "Je vous ai reconnu,vous êtes Bénabar" 😂😂,j'ai ri aussi avec leurs expériences sur les réseaux sociaux et les noms de leur groupe WhatsApp (y'a du lourd quand même 😂)

Quand ça a commencé à parler pandémie,confinement,ça a réveillé de mauvais souvenirs et en même temps ils m'ont mis une petite tape sur la main du style "Ben oui,nous aussi on en a chier".
Leurs retrouvailles avec leur public,quand les salles ont enfin pu rouvrir,c'était magique à lire.

Bon je ne vais pas tout raconter non plus sinon il n y a plus d'intérêt à découvrir cette correspondance qui nous laisse apercevoir la vie de ceux que nous apprécions à travers nos écrans.
Fabien pour moi est un survivant,un battant,j'en suis très admirative comme je suis admirative de chaque personne ayant vécu quelque chose de dur,que ça soit la maladie,un handicap,une dépression,un deuil...etc et qui se relève encore plus fort et plus brillant. Mais les autres je ne les connais pas donc je parle de Fabien là et de Ben (sa maman,son divorce)...puisqu'eux je "les connais"...un peu.

Bref,à lire,c'est émouvant,drôle,instructif,motivant et j'en oublie.
Ah top les photos aussi (et en plus ils sont beaux! Mais que demande le peuple?!)
Le coup des selfies excellent aussi 😂😂😂
Et je me mets à leur place,ça doit être gonflant desfois même si on apprécie son public.
Bon je vais m'arrêter là quand même.

Veuillez accepter messieurs cette déclaration : "Merci" 🙏🥰😍

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Citations et extraits (52) Voir plus Ajouter une citation
Je me dis que je ne vais commencer ni par la date, ni par "Cher Fabien" ni rien, que je vais commencer par le vif du sujet, que ça me donnera de la singularité , et que la singularité, c'est la racine du style. En vrai, c'est pas terrible. En vrai, c'est pas le bon combat. On n'est pas obligé de paraître différent pour être singulier. Il n'y a que ceux qui ont besoin d'être différents qui essaient de le paraître tout le temps. Les gens vraiment différents ne font pas d'effort particulier, ils savent que c'est déjà assez chiant comme ça.
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Mais là où notre vie à nous est bien plus incroyable que celle de ces génies, c’est justement parce que notre route n’était pas toute tracée. Nous avons eu cette chance unique de faire face à des surprises, des virages, des accidents de parcours, des décisions à prendre, des coups de théâtre. Et puis, quand on finit par trouver la bonne voie, c’est encore loin d’être gagné. Il va falloir du travail, des doutes, des échecs, des coups de chance. C’est pour ça qu’elle est géniale notre vie. Il n’y a que les génies qui ont une vie de merde.
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FABIEN À BEN

Sud de la France

Cher Ben,

Cest vrai qu'elle n'est pas jalouse la scène, elle n'a jamais été exclusive, elle accepte volontiers de nous partager avec un projet de livre ou un projet de film. Mais elle parle fort la scène, elle est grande, elle est belle, elle nous en met plein les yeux et les oreilles. Alors on retombe sous son charme en un claquement de doigts, aidée par sa grande soeur : la route. Elle est magnifique aussi la route. Elle est intrigante et infinie. Elle nous enlève à notre vraie vie, elle nous secoue, elle nous interdit toute routine, nous dépayse. En proposant des nouveaux lieux, elle réinvente le temps.
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C'est surtout le truc d'être seul. Ça me dévore parfois d'angoisse de voir ce destin que je me construis à l'écart de l'idée que je me fais de l'existence, à savoir une vie en couple. Et en même temps, j'étais pas le plus heureux des hommes en couple. Globalement, je suis pas le plus heureux des hommes.
La mode c'est de dire " accepte-toi, car tu verras qu'en t'acceptant tu t'aimeras ". Moi je peux pas faire ça. Car m'accepter serait d'accepter que je m'aime pas trop et du coup bah je peux pas m'aimer de ne pas m'aimer.
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Moi aussi j’ai un « deuxième fils » comme tu dis, et tout est dans cette formulation. Cette place du deuxième lui fait prendre très fréquemment une route différente de celle que je lui montre, puisque c’est la route officielle, celle que j’ai déjà proposée à son grand frère, je me dis qu’il fait ça certainement pour passer de « deuxième » à « unique », c’est-à-dire une personne qui ne vient après personne.
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Videos de Ben Mazué (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ben Mazué
Ces temps-ci, Ben Mazué et Grand Corps Malade ne se quittent plus. Entre le livre dévoilant leur relation épistolaire, "Les Correspondants", et l'EP "Éphémère" qu'ils ont enregistré en trio avec Gaël Faye, les deux chanteurs multiplient les projets communs. L'occasion de dévoiler tout ce qu'ils partagent, malgré leurs univers musicaux bien distincts. Entre le chanteur contemporain des amours blessées et le slammeur/réalisateur/écrivain, la complicité est évidente, à l'image de cette interview Versus.
Les deux artistes reviennent sur la genèse de leur correspondance et sur ce que ce travail littéraire a changé dans leur relation. Ils en profitent pour annoncer les thèmes insolites suscités par leurs échanges, avant d'expliquer la naissance de l'album en trio Éphémère. Découvrez également les dernières claques culturelles des deux artistes : podcasts, séries, musique etc. de quoi montrer leurs goûts culturels variés, malgré une appétence vestimentaire commune !
Découvrez le livre "Les Correspondants" sur Fnac.com : https://livre.fnac.com/a17150059/Grand-Corps-Malade-Les-correspondants
Et l'EP en trio avec Gaël Faye "Éphémère" en édition spéciale Fnac : https://www.fnac.com/a17490812/Grand-Corps-Malade-Ephemere-Edition-Limitee-Vinyle
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