En clin d’œil à Jean Giraudoux, l’auteur de ce journal, Jean Saintive, alias Jacques Forestier, laisse pour seul indice sur sa véritable identité une simple photo avec au dos un nom : celui d’un collège angevin.
Automne 1939 : c’est l’entrée en sixième, derrière les grilles de Notre-Dame-des-Monts, collège partiellement investi par l’armée française.
Hiver 1943 : l’adolescence se joue des contingences ; malgré la présence de l’occupant ...
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