Mashle, tome 7

J'adore me replonger dans l'univers de Mashle. C'est toujours too much, complètement déjanté mais l'histoire est bien là et j'ai toujours envie d'en savoir plus.

Le tome 7 reprend là où s'est arrêté le précédent. Nous sommes donc toujours en pleine compétition pour savoir qui deviendra l'élu divin.
Combats musclés entre notre tête de champi préférée et, tour à tour, Carpaccio et Macaron.

Un tome résolument tourné vers l'action - ce qui n'est pas forcément ce que je préfère - mais la fin relance pleinement l'intrigue.
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Depuis le début de Mashle je suis assez mitigé, les tomes étant tantôt sympas, tantôt moyens et l'humour parfois très drôle parfois très (trop) absurde.

Avec ce tome, la série semble trouver son rythme.
Une alliance quasi parfaite entre l'histoire et l'humour.

Ce tome est clairement le meilleur de la série pour le moment.

Un titre toujours aussi dynamique et humoristique, où Mash doit faire ses preuves pour rester dans cette école. On assiste à deux combats prenants et rythmés comme nous l'offre le mangaka depuis le début. Mais si on peut penser à la répétition, on a droit à un retournement de situation à la fin vraiment excellent et surprenant ! Mais alors la fin ! Je veux voir ce combat au plus vite !!

Juste après la Boulogne Geek Festival, j'ai décidé de me relancer dans la lecture de Mashle.

Pour résumer, et comme tout le monde le sait, dès les premières pages, on se retrouve face à des influences très implanté dans la culture populaire : Un subtil mélange entre Harry Potter et One Punch Man. Comme je le disais dans ma critique du 5ème tome : ça en devient lassant. Tout tourne autour de cette supercherie au fil des tomes.

Ayant bien aimé les tomes précédents, je commençais a rester sur ma faim, bien que le tome 6, m'a redonne de l'espoir, le tome 7 n'a pas réussi à me convaincre de continuer.

j'attendais beaucoup de ce tome 7 car, après avoir passé de très bons moments sur les premiers tomes, je commençais tout doucement à me lasser de l'histoire.
Encore une fois, certaines scènes sont un peu trop irréalistes à mon goût mais, malgré tout, l'histoire avance bien.
Le cliffhanger rattrape fort heureusement ces mauvais points et me donne envie de lire la suite.