Ce que j'ai ressenti:
« N'empêche que la vérité peut être vraiment pourrie, je le répète. »
Donc, voilà, c'est une constante, les morts sont obligés de dire la vérité, aussi pourrie soit elle, aussi violente aussi. C'est toujours bon à savoir, parce que
Après, on ne pourra plus dire que on ne le savait pas, ok, Champion?…Il y a des lumières plus vives que d'autres, des êtres humains aussi. Et quand, le mal trépasse, les traces de la haine, elles, restent! C'est tenace, la haine…Et c'est pour cela, que c'est pourri, pour cela, qu'on doit se méfier de ces réminiscences mauvaises. Encore faut-il en avoir le choix, la voix, la capacité de s'en dégager…Mais que peut réellement un enfant contre le Mal quand il s'accroche? C'est tout l'enjeu du nouveau roman de
Stephen King, mais l'
Après se révèle toujours plein de mystères insolubles…
« -Il y a ceux qui savent garder un secret, et puis il y a les autres. »
La nature nous offre quelque fois, des dons surprenants, mais la nature humaine reste pourtant attendue, opportuniste, et presque toujours décevante…Jamie Conklin a la capacité extraordinaire d'interagir avec les morts, bien que ce soit pas toujours une « capacité » très enviable, elle fait quand même des intéressés, des deux côtés de la frontière…Or, cet enfant très attachant, aurait préféré que ce secret hors du commun, en reste un. Mais il y a des circonstances dans la vie qui pousse le vice à faire surface, le mal à s'incruster et c'est le début de la descente en Enfer…Reste plus que l'histoire à écrire…
« On ne peut jamais savoir! »
On l'attendait avec impatience ce nouveau
Stephen King, et on ne va pas se mentir, il est encore et toujours un maître de l'épouvante, de l'angoisse, un fin observateur du monde actuel et chacune de ses histoires a le pouvoir de nous rester en mémoire, pendant longtemps. de nous hanter même, tel un fantôme revanchard…Inutile de préciser que ce livre se dévore, nous interroge sur de possibles
Après, mais aussi réveille toutes les conséquences de l'Avant, et peut-être que, moi aussi, j'aurai dû aussi commencer par des excuses…Des excuses pour vos Pal, des excuses pour vos budgets serrés, mais c'est un coup de coeur que je vous invite, vite, à découvrir si ce n'est pas déjà fait, avant qu'il ne soit trop tard…
Après, ça ne sera plus la peine de regretter, de toute façon, moi, j'entends pas les morts…
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