Reine rouge, tome 3 : Roi Blanc

Si j'avais été super emballée par les deux premiers tomes, je suis plus mitigée par ce dernier opus.

Le roman se lit tout seul, on retrouve nos personnages préférés.egaux a eux même.
Néanmoins, j'ai trouvé l'intrigue moins prenante.

Le roman reste bon, les personnages atypiques sont vraiment bien travaillés. Je pense que le rythme était un peu moins soutenu. Quelques raccourcis ont été pris. Néanmoins, même si certaines choses sont peu crédibles, l'histoire reste t intéressante, peut être moins aboutie que les précédentes.

J'ai eu le sentiment que l'auteur cherchait une fin.
Néanmoins, peut être que ce n'est pas réellement une fin. Deux, trois éléments laissent penser que... Seul l'avenir nous le dira d'ailleurs.
Allez, disons que nous sommes arrivés au bout d'un cycle juste pour se dire que peut être u. Jour je croiserai a un nouveau le chemin des ces personnages que j'aime beaucoup.

Malgré cette lecture un peu moins palpitante que les précédentes, si il y a une "suite", je la lirai assurément.

Alors que Jon vient d'être kidnappé sous ses yeux, Antonia reçoit une message de M. White, qui va la lancer dans un jeu qui va tout résoudre ou lui faire tout perdre.
Ce troisième tome, qui clôt la trilogie de la reine rouge est toujours aussi haletant que les précédents. Mais l'intrigue, très dense semble vouloir résoudre absolument toutes les questions laissées en suspens jusqu'ici, au risque de rendre le tout un peu précipité. Rien de bien grave, tant le plaisir de suivre Antonia et Jon est là, mais l'auteur aurait pu laisser quelques pistes sans réponse.
C'est d'autant plus dommage, que le personnage de M. White, grand méchant de la trilogie, Némésis d'Antonia, semble bien fade, avec des motivations finalement peu convaincante. Reste une intrigue haletante et des personnages toujours aussi attachants.
Si ce tome est annoncé comme le dernier, la fin ouverte et les remerciements laissent entrevoir la possibilité d'une suite. A voir, donc, si l'auteur trouvera l'inspiration pour une suite.

Roi blanc de Juan Gomez-Jurado est le dernier tome de la trilogie de la Reine Rouge. La reine rouge d'espagne Antonia Scott la femme la plus intelligente de la planète et son écuyer Jon Gutiérrez ont été de beaux moments de lecture. Avec sa mémoire hors du commun combinée avec un sens d'observation exceptionnel, Antonia doit résoudre des crimes que les enquêteurs policiers ne peuvent déchiffrer. Une série télévisée du premier tome (Reine Rouge) est disponible. J'espère revoir cette femme m'inviter à partager d'autres aventures. Une trilogie surprenante que je recommande.

Après avoir lu et dévoré et adoré les deux premiers tomes, il était évident que j'allais faire de même avec ce troisième opus (d'une longue série ? laissez-moi y croire) !
Mon seul point négatif, et bien que mes lectures du tome 1 et 2 ne soient pas si anciennes que ça, l'expérience de lecture aurait été encore plus divine si j'avais pu les lire tous à la suite (parce que bon ma mémoire de grande lectrice étant ce qu'elle est....c'est pas très agréable de ne pas se souvenir des petites lignes, celles qui donnent le plus de saveur à l'intrigue). Mais bon c'est pas grave, ça ne m'a pas empêché d'adorer cette lecture.
Parce que j'ai retrouvé ce duo que j'aime énormément : Antonia et Jon. Il fonctionne tellement bien, je les adore, c'est pourquoi j'espère qu'on pourra continuer à les suivre !
L'intrigue fait effectivement des clins d'oeils réponses aux énigmes du premier tome, et c'est de suite plus captivant.
On assiste à un jeu d'échec croisé avec un jeu du chat et de la souris, c'est très prenant, enfin moi, ça me prend aux tripes, ça excite mon intérêt et ça me rend addict.
Je conviens que ce n'est pas un polar qui révolutionne le genre, et pourtant il apporte son lot de singularité, d'originalité, de par les personnages d'Antonia, Jon, les méchants, le projet Reine Rouge, qu'à la fois, ça change (en plus ça se passe en Espagne, ça dépayse agréablement).
La plume. La plume est fluide, elle est drôle, elle peut être émouvante, psychologique, sérieuse, elle est très cinématographique. Les chapitres ont la bonne durée et la bonne construction classique d'un excellent page-turner.
Bref, encore un tome qui se dévore vite (et qui, contrairement au dernier Joël Dicker - pardon Joël, j'adore aussi tes livres et je serai toujours une de tes clientes fidèles - la forme ET le fond sont captivants et marquants) et qui laisse un goût de "encore" !

La fin de la trilogie! Mon tort, avoir lu les autres il y a quelques mois... un peu de mal à remettre les noms sur les personnages et à me remémorer l'histoire. Je ne suis , du coup pas rentrée très vite dans le vif du sujet.... mon conseil : enchaînez les trois tomes, vous vous régalerez!

Clap de fin pour la fameuse trilogie espagnole.

Inspecteurs de la Police nationale et coéquipiers, Antonia Scott et Jon Gutiérrez en auront vécu ensemble !..

Pour la der des der : course contre la montre.

Le projet européen Reine rouge a du plomb dans l'aile.

L'ennemi, intelligent mais non moins psychopathe, a enclenché le compte à rebours.

En parallèle, le voile se lève légèrement sur le passé d'Antonia, l'entraînement inhumain qu'elle a suivi et qui lui confère aujourd'hui le statut de Reine rouge en Espagne.

Un dernier baroud d'honneur pour une enquête sous adrénaline, violente et musclée.

Le tandem atypique ne connaitra aucun répit.

Un zeste de psychologie, un trait d'humour noir et des personnalités border line : cocktail explosif.

Comment imaginer ne plus revoir Scott et Gutiérrez ?

Fin ouverte...

" Roi blanc " de Juan Gómez-Jurado, aux Editions Fleuve noir.

Bonne lecture et à très bientôt pour de nouvelles chroniques littéraires !
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