[Critique du 8 juin 2013 disparue, refaite de mémoire le 9 octobre 2014]
Effondrée.. je recherchais ce 9 octobre 2014, pour la liste de Dourvach (sur "4 de nos lectures "inoubliables") une critique ancienne, et je tombe sur cette "critique ou coquille vide"!!!! Des plus frustrées et agacées...par la surprise de cette "perte"...
... Ai-je à l'époque fait une mauvaise manipulation ??!!!
Bref, je suis d'autant plus désolée, que c'est un très , très beau texte sur des sujets difficiles: la vieillesse de nos parents, la maladie d'Alzheimer, et que de surplus, c'était le premier texte que je découvrais de ce jeune auteur allemand, avec un enthousiasme sans réserve !.
Un magnifique écrit autobiographique, d'une pudeur rare, d'un fils à son papa. Curieusement et c'est la magie de cet écrit, en dépit de la douleur du sujet, l'impression d'ensemble reste réconfortante et lumineuse; la tendresse, l'adaptation à un autre mode de communication entre le fils et le père remettent tout en question, mais enrichissent "autrement" leurs échanges. Nous sommes loin de toute jérémiade, ou lamentation. le Fils "vit" le présent intensément avec son "papa", comme un cadeau inestimable
De mémoire, je laisse quelques traces de cette lecture, mais qui ne seront pas satisfaisantes, à mon goût ! Je vais tenter désormais de sauvegarder mes "critiques", car les ressentis sont rédigés le plus souvent à vif , et dans une spontanéïté qu'on ne peut pas retrouver ensuite !!. J'avais mis 5 étoiles à ce texte étonnant, d'une rare élégance et sensibilité, qui m'avait littéralement emportée. Je l'avais emprunté à la médiathèque, et l'avais "dévoré" en 48 heures.... Je sens que je vais faire une relecture !!! et me pencher sur les autres écrits d'
Arno Geiger...