Coeur sauvage

Johann, jeune ado moscovite à demi-français, vient de perdre son grand-père, décédé dans un accident de train au fin fond de la Russie. Il décide de fuguer et de se rendre sur les lieux pour lui rendre hommage mais ce voyage va rapidement tourner à l'aventure...

Je suis très partagée. le personnage de Johann est assez intéressant. J'ai bien aimé les rapports qu'il entretenait avec son grand-père et son esprit d'aventure, qui peut plaire à des ados, comme lui, en manque de repères. La place de la nature et de l'écologie est également intéressante. J'ai bien aimé les passages ésotériques avec le tigre, il en émanait une certaine poésie qui a sauvé le livre, pour moi.De même, un certain suspense pousse à lire jusqu'au bout parce qu'on a envie de savoir ce qui va arriver au jeune garçon et s'il va arriver à ses fins. Mais d'une manière générale, ce roman est totalement invraisemblable, du début à la fin. Les pérégrinations de Johann sont tellement hors du commun qu'on a vraiment du mal à s'identifier aux personnages. C'est dommage !

A la mort de son grand-père, Johann, jeune ado moscovite, se sent triste et délaissé. Son père et sa belle-mère étant toujours absents, il décide de partir sur les traces de ce grand-père aimé et mystérieux. Quelle vie menait-il ? Quels secrets cachait-il ? Johann devra vivre différentes épreuves et entrer en communion avec la nature pour connaître un peu mieux son aïeul, reprendre ses talents de conteur et poursuivre son combat écologique.
Le récit original d'une quête initiatique qui nous amène dans les froides contrées russes, au coeur de forêts menacées et auprès du majestueux Tigre de l'Amour. Les récits de la transformation animale et de la transmission par le conte entraînent le lecteur dans des recoins surprenants de l'imaginaire, emprunts de chamanisme.
Ce livre n'est pas vraiment un coup de coeur, mais offre une petite échappée agréable et dépaysante, que l'on peut proposer à des adolescents à partir de 13, 14 ans je pense.
Un détail : la couverture a un effet assez repoussant sur moi et ne reflète pas vraiment l'ambiance du livre, à mon avis.

Johann, un ado russe un peu rebelle vit très mal la mort de son grand-père, d'autant plus que son père et sa belle-mère totalement absents ne lui ont pas permis d'aller à ses obsèques à l'autre bout du pays car trop loin et trop peu de temps. Mais, alors qu'ils sont absents 15 jours de la maison, laissant seul Johann, il décide de partir sur la tombe de son grand-père. Evidemment le voyage ne se passe pas exactement comme prévu. Après avoir rencontré des orphelins des bas-fonds russes, il se retrouve dans les steppes enneigées en proie à des braconniers chasseurs de tigre.

Je ne vais pas être bonne critique car j'ai eu un mal fou à entrer dans ce roman, comme si mon cerveau (ou mon coeur) y était hermétique. J'en suis désolée mais je n'ai pas du tout été embarquée, trop de situations non crédibles pour moi m'ont empêchée de suivre le fil de l'histoire. Flop pour moi.

Un livre court et assez vite lu qui nous emmène en Russie, en quête des traces d'un grand-père idéalisé et admiré par un adolescent solitaire et livré à lui-même.
Malheureusement, impossible pour moi de m'intéresser aux aventures de ce héros car rien ne m'a paru vraisemblable, des errances dans les sous-sols du métro à la course-poursuite dans la neige avec de vilains spéculateurs braconniers anti-écologistes, en passant (surtout) par la double rencontre avec la fille photographe qui va le suivre dans sa quête.
Le héros est confronté à beaucoup de violence mais il s'en sort de façon parfois miraculeuse.
Le seul intérêt réside à mon sens dans les explications du mal-être de Johann, son sentiment de solitude
A priori, après l'avoir lu, je ne le proposerais pas dans le CDI de mon collège.

Avec ce roman, on plonge dans les contrées sauvages de la Russie, avec une écriture fluide et facile d'accès. mais il y a beaucoup BEAUCOUP d'invraisemblances dans l'intrigue.
Héros trop "mal aimé", famille complètement absente : cela semble un peu excessif et peu crédible.
De plus, le fantastique arrive un peu comme un cheveu sur la soupe.
Lecture assez pénible donc et histoire absurde.