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4,27

sur 1298 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est un joli roman graphique avec des couleurs séduisantes, l'alternance du bleu et du sépia est une réussite qui permet de dissocier les deux histoires présentées. L'ensemble des dessins est aussi attrayant et le bleu m'a semblé aider à faire passer le drame mortel vécu par cette jeune surfeuse, Kristen, son entourage et l'amour de sa vie, Aj Dungo, qui a dessiné l'ensemble.

L'histoire parallèle de deux grands surfeurs, Duke Kahanamoku et Tom Blake propose un document intéressant sur le monde du surf, les créations et les aventures vécues par ces deux héros.

Pour la narration des souffrances de Kristen, aggravées par les multiples interventions chirurgicales, les chimiothérapies et la douloureuse agonie, cela m'a rappelé le duo mythique de Love Story et là, force est de reconnaître que la plume d'Erich Segal est nettement au-dessus. A chacun cependant son vécu, ses perceptions, ses souffrances passées et prolongées tout au long de la vie, donc je respecte cette oeuvre qui porte un témoignage émouvant à travers lequel l'espérance persiste.
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Une grosse déception inattendue…

Voilà qui résume bien mon sentiment en refermant ce roman graphique.
J'avais entendu énormément de bien de cet ouvrage qui évoque des thèmes émouvants comme l'amour, la maladie et le deuil. Certains lecteurs parlent de coup de coeur en ayant versé quelques larmes. Même la quatrième de couverture nous promet un « récit autobiographique bouleversant ».
Mais personnellement, je suis totalement passée à côté.

Aj Dungo nous raconte l'histoire d'amour qu'il a vécu avec Kristen, sa petite amie depuis le lycée. Sauf que Kristen est atteinte d'un cancer. Cependant sa passion pour le surf va rester intacte malgré les difficultés.
Ce récit nous fait voyager dans différents moments de vie de façon non chronologique où l'on découvre notamment leur rencontre et le début de la maladie.
Toute cette partie du récit est relatée sur des planches aux magnifiques tons bleus verts qui nous rappellent explicitement la mer.
Dans l'ensemble, j'ai plutôt aimé le style graphique très épuré ainsi que la mise en page simple mais dynamique.

L'histoire est entrecoupée par d'autres planches aux tons sépia qui retracent quant à elles le destin de certaines grandes figures historiques qui ont marqué l'histoire du surf, notamment Tom Blake et Duke Kahanamoku.
Ces parties sont certes intéressantes, mais avec cette lecture je recherchais avant tout des émotions. Plus précisément, je n'avais pas envie de lire un documentaire pour savoir comment les progrès techniques ont perfectionné les planches de surf ! Ces passages me donnaient l'impression que l'auteur a cherché à faire du remplissage pour « intellectualiser » son récit à travers la culture du surf, ce qui me détachait encore plus de l'histoire principale.

Je n'ai pas particulièrement été émue par ce récit car même la fin est sans surprise puisqu'on sait malheureusement à quoi s'attendre.
Les dialogues sont peu nombreux. On peut donc facilement lire cet ouvrage d'une traite malgré son épaisseur.
L'auteur a fait une belle démarche en rendant hommage à Kristen à travers son oeuvre. Cependant j'aurais peut-être préféré qu'il exprime ses différents sentiments à travers davantage de mots, pour plus de profondeur…

Pour résumer, je suis déçue de ne pas partager l'engouement général pour ce roman graphique qui a beaucoup fait parler de lui.
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Aj Dungo et Kristen Carreo Tuason s'aiment depuis l'adolescence.
Atteinte d'un cancer des os, Kristen sait qu'il ne lui reste que quelques mois à vivre.
Ce sont ces derniers mois que son compagnon raconte dans ce roman graphique et la passion de la jeune femme pour le surf.

Je n'ai pas vraiment accroché à la structure de ce récit. L'auteur alterne les épisodes retraçant les derniers moments de Kristen avec le passé et leur rencontre, le tout entrecoupé de biographies de personnalités ayant contribué à l'essor du surf en tant que pratique sportive.
Le récit intime de leur relation et du combat de la jeune femme contre la maladie est ainsi amoindri par une tentative d'essai sur le développement de ce sport.
De naturel et commun à chaque natif Hawaïen, le surf est devenu un échappatoire lors de la colonisation de l'île par les occidentaux, avant d'être une mode. L'auteur dresse le portrait de Duke Kahanamoku, le père du surf moderne et sa biographie de nageur émérite. Il s'attarde également sur une autre personnalité : Tom Blake qui améliora les techniques en créant notamment le petit aileron sur les planches.

Je dois avouer que l'ensemble m'a plutôt laissée de marbre. J'ai trouvé certaines illustrations grossières et sans finesse. Les visages n'ont aucune émotion. le récit promettait beaucoup « récit autobiographique bouleversant ». « Un petit Taj Mahal du 9ème art devant lequel il faudrait être une pierre pour ne pas verser une larme » selon Télérama. La pierre que je suis retourne à son rocher...

Il aura manqué pour moi l'essentiel dans ce graphique. La rencontre avec l'émotion. J'ai aimé que l'auteur ne force pas le trait sur les souffrances et il a parfaitement réussi à décrire l'état d'esprit de sa compagne et de son entourage sans tomber dans le pathétique et le voyeurisme.
En revanche le graphisme ne m'a pas convaincue.
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Kristen aimait le surf mais elle est tombée malade et a du se faire amputer de la jambe. Son cancer, comme les vagues, revient inlassablement jusqu'au jour où le corps de Kristen est trop fatigué.

Aj nous raconte son histoire d'amour avec Kristen. Sa joie de vivre malgré sa maladie et son amour du surf. En parallèle l'histoire du surf nous est racontée, des premiers hawaïens aux grands sportifs qui ont marqué la discipline.
J'ai trouvé l'histoire de Kristen et Aj touchante. Elle est racontée avec beaucoup de pudeur. Peut-être même un peu de trop... Les événements racontées sont très forts et pourtant je trouve qu'ils sont dis avec beaucoup de distance. J'ai eu du mal à sentir l'émotion qui nécessairement accompagnent ce genre de récit.
Le côté historique n'est pas inintéressant mais ne m'a pas franchement passionné. Les amoureux du surf se sentiront certainement plus concernés mais je trouve que ces passages cassaient trop la dynamique du récit de Kristen. Bien que l'amour du surf relie les deux je trouve que ça faisait un peu l'effet d'un cheveu dans la soupe.
Le dessin minimaliste et épuré a un certain esthétisme avec cette bichromie de bleu ou de sépia. Mais je le trouve froid et impersonnel, les visages n'expriment pas grand chose.
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Un homme raconte son histoire d'amour. L'amour partagé avec une jeune femme emportée par la maladie. Ils se sont croisés et rencontrés.

Ils ont aussi croisé le surf, et de grands pratiquants de cette discipline.

Outre l'histoire du couple, cette bande dessinée retrace des étapes importantes de la naissance du surf. C'est intéressant, même si l'on est pas particulièrement attiré par ce sport, et l'histoire des personnages est émouvante.

Le graphisme est très épuré, et je ne l'ai pas apprécié, même si j'ai finalement un peu oublié ce détail matériel et me suis laissé emporter par l'histoire.
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« Lorsque je ne serai plus là, je veux continuer à exister par ton dessin. C'est tout ce que je veux. Promets-moi de raconter notre histoire. Et je lui ai promis que je le ferais ».

AJ Dungo a tenu sa parole. A travers ce roman graphique, il raconte son histoire d'amour avec Kristen mais aussi celle du surf, des hawaïens, de Duke et Tom Blake. Si l'histoire du surf est relatée de manière linéaire, aucune chronologie n'est imposée à son histoire d'amour. Elle est dictée par ses souvenirs et ses vagues de sentiments. C'est un roman bouleversant et très émouvant qui laisse un goût salé... Les planches sont épurées pour ne laisser transparaître que ce (ou celle) qui compte.
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Je me retrouve beaucoup plus dans les avis de Ro et de Ju, avec l'impression que cette BD est très bonne mais ne m'a pas touché. Sans doute parce que je suis assez réfractaire au dessin et à l'ambiance générale.

Si je reconnais les qualités de l'histoire racontée ici, mélange de reportage sur la naissance du surf comme pratique de loisir et sa démocratisation par deux personnages sympathiques, je suis un peu plus circonspect sur l'histoire du narrateur, qui est certes touchante, mais dont j'ai trouvé les liens avec l'histoire du surf plutôt maigre. Outre la passion que les deux partageaient pour ce sport, il y a le commentaire final, très bien trouvé, et dont le comparatif est assez beau, certes. Mais en dehors de ces deux points, j'ai trouvé pendant un assez long moment que le lien entre les deux faisait un peu forcé.
D'autre part, et malheureusement, j'ai eu assez peu d'intérêt pour l'histoire du protagoniste. C'est une histoire vraie et sincère, mais qui ne m'a pas réellement touché plus que ça. le pire étant que je ne saurais même expliquer pourquoi, peut-être juste une impression de déjà vu et pas assez de ressenti personnel face à ça.
Niveau dessin, ce n'est clairement pas mauvais, mais je suis assez peu fan. C'est un dessin que je trouve trop simple, un peu trop lisse à mon gout, surtout pour ce genre de sujet.

Je suis assez critique sur la BD, mais c'est parce que les autres avis ont déjà exposé en long, en large et en travers les qualités qu'elle possède. Et parce que je pense que cette BD n'est tout simplement pas faite pour moi, même si je reconnais ses qualités. J'ai été bien plus intéressé par la partie documentaire sur le surf que par l'histoire du protagoniste, et globalement je pense que je ne suis pas le bon public !
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Histoire sympathique d'une belle relation amoureuse se terminant en deuil : maladie, courage, etc.
Entremêlée de surf, de vagues et de mer, avec un graphisme coloré.
Pas totalement emballé dans le sens où c'est trop convenu, attendu, larmoyant.
Devrait plaire aux amoureux du surf. Sans doute.
On y apprend un peu de l'histoire de ce sport.
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J'étais immensément curieuse de découvrir ce titre. Je ne savais pas vraiment de quoi ça parlait mais le lien avec le surf m'intriguait, me fascinait. Je n'ai découvert/pratiqué le surf qu'à de courtes reprises, mais j'ai déjà pu appréhender ce que cela pouvait apporter/représenter : la connexion à l'instant présent, le sentiment d'être vivant, l'exaltation comparable à celle d'un enfant et enfin le profond respect envers l'océan, la nature, qui nous dictent leurs lois.

Ce roman graphique, c'est à la fois un (court) récit sur l'histoire du surf et de deux de ses ambassadeurs (Duke Kahanamoku et Tom Blake) mais aussi, et surtout, une histoire d'amour et de deuil. AJ est en effet fou amoureux de Kristen et leur relation débute au moment où celle-ci tombe malade et durera jusqu'à sa fin.

Je n'ai pas spécialement accroché avec le style graphique des dessins, pas assez réaliste à mon goût, qui m'a empêché de pleinement apprécier l'histoire et de m'attacher aux personnages. J'ai cependant adoré la colorimétrie des planches, qui change en fonction de la temporalité du récit (même si la première - la brune - m'a un peu perturbée au départ).

J'ai adoré la métaphore du deuil à travers le surf/les vagues, qui fait particulièrement écho en moi actuellement. Je n'ai jamais lu des mots qui retranscrivent aussi bien ce que j'ai pu / je peux ressentir en ces moments douloureux.

Cependant, il m'a fallu une seconde lecture pour pleinement apprécier ce roman graphique. L'une des critiques presse que j'ai lue valorisait cette double-temporalité du récit qui évitait, selon elle, de tomber dans le pathos. Personnellement, même si elle est intéressante, elle m'a empêchée de plonger dans l'histoire d'AJ et Kristen.

C'est seulement lors de ma seconde lecture donc (qui a été réalisée d'une traite cette fois-ci), quand je me suis concentrée uniquement sur les passages relatant leur histoire d'amour et le combat de Kristen, que j'ai été touchée. Si le récit m'a alors émue, j'en retiens surtout son côté lumineux. À travers ses dessins et ses mots, AJ retranscrit surtout la furieuse envie de (sur)vivre de Kristen. Leur histoire d'amour brille et touche par son naturel, sa simplicité, et son existence envers et contre tout : ici, la maladie qui finira par l'emporter.

En résumé, si je m'étais arrêtée à ma première lecture brute du texte, j'en serai certainement ressortie déçue. La relecture m'a plus convaincue, même si je n'ai pas pour autant atteint le niveau d'engouement présent autour de ce livre. J'en ressors toutefois touchée mais pas abattue, émue par la pureté de leur amour et motivée par cette furieuse envie de profiter de chaque instant de la vie.
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C'est d'abord une promesse d'immortalité, faite à une jeune femme mourante. Raconter son histoire pour qu'elle continue à vivre. Kristen Tuason est décédée à la fin de l'année 2016 d'un cancer qui avait métastasé, malgré des rémissions, malgré des périodes où son corps, contre toute logique, semblait reprendre goût à la vie. A.J. Dungo fut son compagnon. Tombé amoureux d'elle bien avant qu'elle ne tombât amoureuse de lui, à la faveur d'une passion commune pour le skate qui le liait à Jeff, le frère de Kristen. A.J. Dungo était là avant leur couple ; il demeure après lui, traversé par une période aussi douloureuse que lumineuse, marquée par la maladie et l'amour. Kristen était passionnée de surf ; elle a initié A.J., lequel, à son tour, a découvert l'histoire de ce qui est une culture avant d'être un sport. In waves, "dans les vagues", est donc d'abord une histoire de passions : amoureuse, et sportive. C'est aussi le récit d'un combat, long et épuisant, désespérant à bien des égards, contre la maladie. C'est, enfin, une histoire d'un sentimentalisme exacerbé.

Le récit est divisé en quinze chapitres et en deux couleurs : un bleu vert, qui rappelle la couleur de l'océan, utilisé pour l'histoire de Kristen, laquelle se déroule principalement entre 2014 et 2017, avec quelques flash-backs dans les années 2005-2007 ; un sépia, pour aborder l'histoire du surf comme culture et comme sport, qui rappelle naturellement la couleur des vieilles photographies. le dessin d'A.J. Dungo est relativement simple, réaliste et sans grands détails. de la même façon, l'auteur écrit peu, et le récit est essentiellement descriptif. Les dialogues, qui en sont rarement vraiment car ils servent à la description de la situation, ou à la caractérisation de la personnalité de Kristen - se veulent proche de la réalité, avec une oralité du récit écrit qui, hélas, manque parfois de relief.

D'un côté, donc, l'histoire d'une jeune femme qui lutte contre le cancer ; de l'autre, l'histoire du surf, culture hawaïenne par excellence, et dont deux hommes furent les hérauts : Dave Kahanamoku et Tom Blake. le lien, entre les deux récits, est Kristen elle-même, qui fut passionnée de surf, et peut-être une certaine forme de résilience dont dut faire preuve aussi cette pratique qu'est le surf, mise à mal par l'occidentalisation de Hawaïi. de ce point de vue là, In waves aborde ce thème difficile qu'est le deuil d'une façon originale et intéressante. L'histoire de Kristen est, hélas, semblable à des dizaines de milliers d'autres : une vie jeune, fauchée dans son élan par l'annonce du cancer, qui tente de reprendre le contrôle sur elle-même à travers des actes médicaux nombreux et douloureux - opérations chirurgicales, chimiothérapie ... - et, finalement, tâche de s'épanouir pleinement à travers l'accomplissement de passions - le surf - ou d'objectifs - le voyage en train entre Los Angeles et Seattle, le long de la côte Pacifique des États-Unis. Kristen est entourée de sa famille - sa mère, son frère Jeff, son cousin Eon -, de ses amis et d'A.J., son amoureux réduit à l'impuissance face au mal insidieux qui la ronge. Chaque moment de vie devient un événement, un espoir. Hélas, les motifs d'évasion sont rares.

Évasion : le surf en fut une pour les Hawaïens lorsque les Occidentaux débarquèrent sur l'archipel. Maladies, missionnaires, industrialisation, puis tourisme de masse associé à la bétonisation : Hawaïi perd une partie de son âme juste avant la fin du dix-neuvième siècle. Seul demeure le surf, cette danse que les hommes proposent à l'océan, debout au milieu des vagues : In waves. Acte naturel, le surf devient un acte culturel, authentique, un lieu virtuel où se conserve l'âme d'un pays dont les enfants deviennent des beach-boys, amuseurs de galerie pour les Américains, gigolos pour les Américaines. Deux figures principales permettent la pérennisation du surf. D'abord, il y a Dave Kahanamoku, virtuose du surf qui inspire de nombreux Hawaïens, et qui fut double champion olympique de natation. Puis il y a Tom Blake, un Américain du Wisconsin, champion olympique de natation lui aussi, qui trouva dans le surf une philosophie de vie, et qui contribua à diffuser la pratique jusqu'à, à son corps défendant, lui faire perdre une partie de son âme en la généralisant à outrance et en la transformant en la faisant évoluer d'un point de vue technologique. Mais la survie de la culture fut à ce prix, comme la survie d'un cancéreux est parfois au prix d'une chimiothérapie : le corps, comme le surf, n'en sortent pas indemnes.

In waves, dans les vagues : le titre est éminemment polysémique. Il fait bien-sûr référence à la position des surfeurs dans l'océan, mais aussi à des vagues intimes qui parfois nous submergent et dans lesquelles nous essayons, comme les surfeurs, de danser. Vagues de souvenirs, vague à l'âme, vagues de chagrin qui déferlent, étonnamment puissantes, et qui s'échouent sur nos plages intimes. le récit d'A.J. Dungo est, on l'a dit, éminemment intimiste, d'une sensibilité qui tourne, bien des fois, à la sensiblerie. L'histoire est très touchante, certes, mais elle est aussi très personnelle. L'auteur n'introduit quasi pas de recul dans son récit. Alors, si l'on peut aisément compatir, voire projeter ce récit sur des situations que l'on a soi-même vécues ou que l'on pourrait vivre, force est de constater que l'on reste aussi au seuil de cette histoire, comme d'indélicats étrangers qui se seraient invités à un repas familial. L'appel à l'empathie extrême du lecteur, ici, ne suffit pas à emporter l'adhésion ; on reste poliment à distance, en déplorant ce qui arriva à Kristen, en apprenant moult sur le surf, mais en s'excusant presque de ne pouvoir, comme A.J. Dungo, rien faire. Comme le personnage argenté de la couverture, nous restons, lecteur, dans le vague.
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