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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Bon roman. une suite très agréable des Trois Mousquetaire où l'on a plaisir retrouver nos héros avec de l'aventure et de l'humour à foison. Ce roman m'a conforté dans mon affection pour Aramis. Ma deception ? Athos, qui vire relou (j'ai pas trouvé mieux comme adjectif) mais a part ça, c'était vraiment formidable et toujours très moderne ! Je reste impressionnée par le talent de Dumas.
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Vingt ans après fait partie de ces romans où tout au long de la lecture, mon enthousiasme est en dents de scie. Plus militaire dans son contexte mais toujours aussi entraînant dans ses aventures, on découvre une autre facette de nos trois mousquetaires et on apprend à connaître les futurs héros de la suite de la trilogie. Autant le travail sur le remords d'avoir exécuté Milady est bien amené (et manquait aux Trois Mousquetaires), autant la narration devient trop lente et forcée. Quelques chapitres auraient pu être fusionnés pour alléger l'histoire déjà bien longue à commencer à cause de ces complots et le manque d'unité chez nos mousquetaires. J'ai trouvé aussi le jeune vicomte Bragelonne un peu fade et ne parlons pas de son ami le comte.

De bons moments, une plume qui a appris de ses erreurs passées mais qui fait ressentir davantage l'aspect feuilleton du tirage à la ligne, qu'on ne retrouve pas ou peu dans Les Trois Mousquetaires ou le Comte de Monte-Cristo.
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Un classique très facile à lire par les enfants ou les plus grands.
Indémmodable
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Près de vingt ans qu'ils s'étaient perdus de vue ! Est-ce que leur amitié aura résisté au temps ? C'est du moins ce qu'espère D'Artagnan qui a accepté une mission du très controversé cardinal Mazarin. D'Artagnan compte ainsi gagner les fonds nécessaires à la restauration de son domaine familial gascon dans lequel il a l'intention de finir ses jours. Pour ce projet, l'aide de ses trois anciens amis serait un atout majeur.

Première déception : lorsque notre fier mousquetaire retrouve Aramis, celui-ci l'envoie délicatement sur les roses. D'Artagnan flaire dans ce refus un mystère qu'il ne peut s'expliquer.

Seconde déception : les retrouvailles avec Athos, bien que chaleureuses, ne débouchent sur rien. le Comte de la Fère décline poliment l'offre sous le prétexte fallacieux du bonheur retrouvé à éduquer un jeune garçon, Raoul, qu'il a nommé Vicomte de Bragelonne.

Seul Porthos, qui s'ennuie fermement sur ses terres, s'enflamme à l'idée d'accompagner D'Artagnan, avec l'objectif d'en retirer un titre de baron.

Tous deux ignorent qu'ils se retrouvent dans le camp opposé d'Aramis et d'Athos qui ont choisi de militer pour le parti de la Fronde, parti anti-Mazarin.

On ne peut plus douter que leurs retrouvailles seront délicates : la politique va-t-elle définitivement briser la fidélité et l'amitié qui les unissent ?

Oups !!! N'allons pas trop vite émettre des suppositions.
Souvenez-vous !!! N'ont-ils pas tous quatre un poids sur la conscience ? (Rappel : voir la fin du 1er tome « Les trois Mousquetaires » dont la lecture est indispensable pour aborder ce second tome)
Un jugement arbitraire, sans procès, une exécution secrète…
Le bourreau de cette pénible affaire passée confesse à un moine errant son lourd fardeau. Problème : le moine n'en est pas un, il est le fils de Milady et, sous le nom de Mordaunt, il jure de venger sa mère.

Comme toujours, le second tome d'une trilogie déçoit quelque peu.
Bien sûr, on retrouve avec délectation les caractères propres à chacun, on est heureux de connaitre leur parcours, on espère leur réconciliation, mais la magie n'opère pas pour autant.

J'attribue ce manque de passion au fait que l'auteur s'attarde longuement sur le contexte politique (obligatoire pour la compréhension, me répondront certains…)
J'avoue avoir manqué d'assiduité dans les descriptions des conflits et des batailles.

Ensuite les intrigues s'imbriquent : celle qui oppose les pro-Mazarin à la Fronde et celle qui décrit le combat de Mordaunt. Ces affaires se juxtaposent sans réelle cohérence et, au final, je suis restée sur ma faim pour l'achèvement de ces deux conflits.

Ce qui n'empêche que le style de Dumas est toujours bien présent, son écriture est talentueuse par sa fluidité et sa richesse d'expression.

Il va sans dire que le troisième tome est déjà dans ma PAL.
Lien : https://memoiredeliseuse.odo..
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La suite des "Trois mousquetaires", moins connue et pourtant du même acabit.
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Changement de température, vingt ans après, sous la régence d'Anne d'Autriche et le ministère du cardinal Mazarin, D'Artagnan est chargé d'une mission par le cardinal qui le menera une nouvelle fois en Angleterre, mais pour cela, il a besoin de sa fine équipe. Dilemme, si Porthos le rejoint dans sa mission, Aramis et Athos ont quant à eux rejoint la Fronde pour répondre à leurs valeurs. Néanmoins, ces gentilshommes combattrons toujours ensembles à leur manière et pour leurs idéaux.
On y retrouve un D'Artagnan mature et plein de malice. Toutefois, j'ai trouvé la narration longue et parfois fastidieuse, ayant eu quelques difficultés à apprécier ces retrouvailles.
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Je dois avouer que j'ai trouvé la lecture longue et laborieuse.

Parfois la lecture est passionnante et prenante, parfois elle est longue et pénible. J'avoue aussi qu'il est très difficile de s'y retrouver au milieu de tout ces M de machin, M le Prince... Surement que pour Dumas et son public, les rôles de chacun de ses hommes étaient évidemment, mais pour moi, c'était une compréhension totale.

Hormis, cela, c'est un plaisir de retrouver nos 4 amis dans de nouvelles aventures qui n'ont rien à envier à la première qu'ils ont vécu, 20 ans auparavant. Intrigue, complots et séparation son au rendez-vous, et un ennemi, aussi terrible que feu sa mère, les attends ! Ce que j'aime aussi chez ces 4 hommes, c'est leur sensibilité ! Je pense qu'on ne trouverait que peu de romans de nos jours où l'un des héros pleure régulièrement, qu'un autre a le coeur sur la main ! Pas de virilisme dans ces hommes. Et puis surtout, ce qui me tient à coeur : la fraternité de ces hommes ! Pour une fois, c'est l'amour fraternel qui guide nos héros, et pas l'Amour d'une femme.

L'amitié avec un grand A ! Des coeurs purs et des hommes d'honneur ! Voila donc un beau roman, donc les longueurs et les lourdeurs le rendent un peu pénible parfois.... dommage !
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J'en aurais pris du temps pour finir se livre. Ce n'est pas qu'il n'est pas bien, c'était un plaisir de retrouver la plume de Dumas. Mais dès le départ, j'ai été déçue de ne pas retrouver nos quatre mousquetaires tous ensemble. En effet, chacun est parti vivre sa vie de son côté et ils n'ont pas gardé contact ! de plus, on a perdu l'ennemi principal des mousquetaires et qui était pourtant un personnage clé et intelligent : le cardinal de Richelieu. Mazarin n'est qu'une pâle copie et est loin d'être à la hauteur comme le souligne assez souvent Dumas. C'est donc du point de vue de d'Artagnan que s'ouvre le livre et ce n'est que bien plus tard qu'il finit par partir à la recherche de ses compagnons. A ce moment-là, je me suis dit « Chouette, ils vont enfin être réunis ! » et bien pas du tout. Ce qui n'a donc pas fini de me chagriner, parce qu'ils se retrouvent même dans deux camps opposés. Je n'en dirais pas plus sur cet aspect de l'histoire pour vous laisser la surprise, mais sachez que c'est ce qui fait en grande partie que j'étais beaucoup moins enthousiaste pour suivre leurs aventures.
Les personnages ont donc bien évolué. Si d'Artagnan s'est assagi et ne court plus les jupons, il semblerait qu'il ne rêve que de gloire et fortune. Il est par contre beaucoup porté aux nues pour son intelligence et sa capacité à se sortir de toutes situations. D'autant plus qu'il forme avec Porthos un joli duo comique avec la tête et les gros bras. La bonne surprise c'est Porthos qui m'a bien fait rire, fort comme un boeuf mais pas grand-chose dans la tête. Il n'en reste pas moins un personnage attachant avec un rôle important parmi les mousquetaires. le calme et la sagesse d'Athos sont encore mis à rude épreuve. Aramis est un peu plus en retrait dans ce livre, ses amours n'étant plus aussi trépidants. Quant à Mazarin, on ne peut avoir que du mépris pour lui, là où on avait de l'admiration pour le cardinal de Richelieu. J'ai été déçue par le personnage de la reine qui est vraiment ingrate et égoïste.
Côté trame, on suit une fois encore la politique de la France mais aussi celle de l'Angleterre. Nos amis vont passer un petit bout de temps outre-manche. Mais en France, les frondeurs vont remettre en question le pouvoir de Mazarin, même si tout n'a finalement l'air d'être qu'une question d'ego parmi les protagonistes – chacun surveille ses propres intérêts.
Comme je le disais, la plume de Dumas est toujours agréable, néanmoins il m'a manqué dans ce tome la bonne camaraderie et cette amitié indéfectible que j'avais tant apprécié dans Les trois mousquetaires. Ici, l'histoire est moins légère et même s'il est souvent démontré qu'ils sont plus forts à quatre, ils sont la plupart du temps divisés en deux groupes.
Lien : http://latetedansleslivres.w..
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La suite des Trois Mousquetaires, où l'on retrouve avec plaisir les personnages que nous avons aimés précédemment, même s'ils ont vieilli et qu'ils ont évolué.
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un classique pas mal j'ai bien aimé!!
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