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Allez, je passe aux aveux, je suis totalement folle de... Porthos !
Le géant, le fort, le brave, le glouton Porthos, si ingénu qu'il en devient irrésistiblement drôle ! Porthos, c'est un peu l'Obélix des "Trois Mousquetaires", alors il a forcément toute ma sympathie.

Et de l'humour, on en a grandement besoin dans ce second volet de la saga des mousquetaires du roi où l'on retrouve avec bonheur d'Artagnan, Athos, Porthos et Aramis. Déjà ils ont pris vingt ans dans les dents, pas de quoi rire, mais surtout ils sont à nouveau entraînés dans une succession trépidante d'aventures et de péripéties toutes plus périlleuses les unes que les autres. Il faut dire que la Fronde n'est pas la période la plus apaisée de l'histoire de France, loin s'en faut ; et outre-Manche, chez nos ennemis anglais, c'est même pire, leur roi Charles Ier boit le bouillon.

Ce qui est très plaisant - en plus de retrouver la plume et la narration très fouillée de Dumas -, c'est de voir nos quatre inséparables héros... obligés de se séparer. Et oui, deux sont aux Princes rebelles, les deux autres au Mazarin. Aïe ! La fameuse devise fraternelle "Un pour tous, tous pour un" serait-elle destinée à périr ? Ce serait sans compter les nombreux rebondissements d'une action menée tambour battant.

Bref, vous l'aurez compris, cette lecture bien que longue (presque 1 000 pages) n'est pas ennuyeuse une seconde et Dumas réussit si bien à titiller l'intérêt du lecteur et à entretenir son affection pour ces personnages, qu'il le pousse sur des rails à la rencontre du "Vicomte de Bragelonne" (2 700 pages tout de même...).


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L'aventure, c'est l'aventure !
Où D'Artagnan a du mal à recruter ses trois amis rouillés pour épauler Mazarin ;
où les quatre mousquetaires sont divisés s'agissant du Mazarini et de la Fronde ;
où il faut retourner en Angleterre pour sauver le roi Charles premier ;
où Anne d'Autriche, nullement reconnaissante de ce qu'ils ont fait il y a vingt ans, les met en prison !

1648_1651.
La Fronde souffle sur les plaines de la vallée parisienne,
je jette un dernier regard sur Aramis, Athos, son fils et son domaine....
Porthos, il faut sauver le roi !
.
Je connais bien les protagonistes historiques, je pourrai vous en écrire des tonnes ( glups ! ). Cependant, ce qui est intéressant ici, c'est que grâce à des mémorialistes comme Mme de Motteville, Tallemand, de Retz, Grammont, et l'historien et politique Guizot, Alexandre Dumas fait vivre ces personnes disparues, et dépeint leur caractère ; je savais le duc de Beaufort bête et batailleur : l'auteur décrit son comportement "molièresque" à la prison de Vincennes ; par contre, je pensais la reine Anne timide, loin des siens ; Dumas nous la peint en fière Espagnole qui emprisonne à tour de bras. Il est possible que la naissance de Dieudonné, entre les deux romans, lui ai donné de l'assurance :)
Au niveau "cape et épée", nous sommes gâtés, tout comme dans "Les trois mousquetaires", car ils ont maille à partir avec un certain Mordaunt !
Nous "voyons" Anne, Condé, Gondi, Mazarin de près, ce qui est merveilleux ! La vision qu'a Dumas de Mazarin, elle aussi, altère mon jugement de la biographie élogieuse que j'ai lue de lui. Evidemment, on ne peut le comparer au grand Richelieu, et en plus, il est italien, ah-là-là :)
Du coup, je vois Giulio en Louis de Funès, avare et près de ses sous, et Porthos en Obélix, géant d'une force herculéenne, pensant toujours à faire ripaille ;)

La scène presque finale entre la reine Anne et D Artagnan provoque une superbe émotion ! Bravo Alex !
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Vingt ans ont passé. Paris est secoué par les soubresauts de la Fronde. Louis XIII n'est plus. le roi est un enfant. Mazarin a succédé à Richelieu l'inflexible cardinal.
Mandaté par un ministre qu'il n'aime guère, D'Artagnan, impécunieux lieutenant, part à la recherche de ses trois anciens camarades pour leur proposer de reprendre du service.
Athos et Aramis étant acquis aux idées de la Fronde, Porthos, seul, répond à cet appel de l'amitié et du serment jadis prononcé.
Mais il ne peut à lui seul seconder assez efficacement son ami et le duo va d'échec en échec. le duc de Beaufort, évadé de Vincennes leur échappe, l'arrestation du conseiller Broussel provoque des troubles qu'ils sont impuissants à empêcher...
En mission à Londres, les quatre mousquetaires se retrouvent enfin et, ensembles, tentent en vain de sauver Charles Ier, avant d'affronter la haine de Mordaunt, le fils de Milady de Winter.
A leur retour, d'abord jetés en prison, il tombent en disgrâce et se séparent à nouveau. Pourtant Athos laisse son fils Raoul, vicomte de Bragelonne auprès de D'Artagnan avec lequel il partira se battre et vivre de nouvelles aventures durant la campagne de Flandres.
Cet imposant volume est une suite digne du premier opus "Les trois mousquetaires" et nous laisse, impatients, au moment où commence, " le vicomte de Bragelonne", troisième et dernier chapitre de cette grande fresque littéraire.
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D'Artagnan s'ennuie. A quarante ans presque révolus, il a vu toutes ses espérances de jeune homme se dissiper les unes après les autres. Envolées les ambitions ! le voici toujours lieutenant aux Mousquetaires après vingt ans de loyaux services. Enfuis les amours ! Depuis que la pauvre Constance est morte, il n'a pas aimé d'autres femmes et s'est résigné à courtiser mollement sa ventripotente logeuse. Disparues les amitiés ! Athos, Porthos et Aramis l'ont quitté un à un, le premier pour reprendre ses responsabilités de Comte de la Fère, le second pour épouser sa vieille et laide procureuse et le troisième pour se faire abbé. Mais, après vingt ans d'interminable attente, la chance semble à nouveau lui sourire : dans un dernier sursaut d'orgueil avant de ployer définitivement sous la poigne de fer de Louis XIV, la noblesse française s'est révoltée et la guerre civile menace de déchirer le pays en deux. Mazarin, le premier ministre haï et méprisé d'Anne d'Autriche, aurait bien besoin d'une poigne vigoureuse et d'un coeur courageux pour protéger son pouvoir chancelant. Seul, D Artagnan n'envisage pas de relever le défi, mais s'il parvient à retrouver et à rallier ses quatre amis, nul doute que la Fronde entière sera forcée de plier le genou devant eux.

Encore faudrait-il parvenir à les rallier, ces amis… Si Porthos, lassé de sa vie de gros bourgeois campagnard, se joint avec enthousiasme à son ancien camarade, Athos se montre évasif et Aramis distant. Tous deux ont rallié secrètement la Fronde, l'un par esprit de caste et l'autre par ambition, et s'ils font de leur mieux pour dissimuler leur nouvelle allégeance à D Artagnan, celui-ci est bien trop fin pour s'y laisser prendre. Malheur aux vieux amis divisés par les luttes politiques ! Car si l'union les faisait invincibles, le conflit les rend seuls et faibles, et une séparation prolongée pourrait entraîner leur perte à tous. D'autant plus qu'un terrible danger plane sur les anciens mousquetaires : par-delà la tombe, la satanique Milady de Winter menace à nouveau de les frapper en la personne de son fils, Mordaunt, décidé à venger l'assassinat de sa mère en pourchassant et en brisant ses meurtriers. Comme le résume sinistrement Grimaud, le laconique et fidèle valet d'Athos, « Cette femme avait un enfant, l'enfant est devenu un homme ; la tigresse avait un petit, le tigre est lancé, il vient à vous, prenez garde ! »

C'est un bien dangereux pari auquel Dumas se livre avec « Vingt ans après »… En effet, qui souhaite réellement voir vieillir ses héros ? Les voir se salir, s'aigrir et s'user aux rigueurs et aux douleurs de l'existence ? Il faut être un très talentueux et audacieux auteur pour se lancer sur un chemin aussi périlleux, mais – et heureusement pour nous, affectionnés lecteurs – du talent et de l'audace, Alexandre Dumas en a justement en abondance ! Vingt ans après, nos chers Mousquetaires ont vieilli, ils ont grisonné, se sont écartés les uns des autres, mais malgré les ravages du temps ils sont parvenus par un petit miracle littéraire à rester plus attachants et intéressants que jamais !

A l'exception de Porthos dont l'éternelle bonhommie enfantine semble indestructible, ils ont changé pourtant et pas toujours en bien. D'Artagnan a perdu son innocence et sa candeur de jeune homme, mais il a gagné en pragmatisme, en ironie et en vivacité d'esprit, s'imposant plus que jamais comme le chef de la petite bande. Athos semble apaisé en apparence par la paternité (parce que, oui, Athos est devenu papa ! Et vous ne devinerez jamais comment...), mais ses vieux démons rôdent toujours dans l'ombre et ressurgissent au galop avec l'apparition de Mordaunt. Aramis est partagé entre son sens de l'amitié et son ambition grandissante, une lutte qui trouvera son achèvement tragique dans « le Vicomte de Bragelonne », le troisième tome de la trilogie des Mousquetaires. Pourtant, malgré des divergences de caractères de plus en plus marquées, l'amitié des quatre hommes perdure contre vent et marée, et donne lieu à certaines des scènes les plus touchantes écrites par Dumas. Ouaip, j'avoue, toute cette camaraderie virile, ces taquineries amicales et ces grandes démonstrations fraternelles m'ont mis plus d'une fois les larmes aux yeux. Que voulez-vous ? Je suis une grande sensible qui s'ignore.

Niveau intrigue, « Vingt ans après » est tout aussi enlevé et même mieux construit que « Les Trois Mousquetaires ». Dumas y fait preuve d'un talent frappant pour équilibrer humour et tragédie, aussi à l'aise dans le premier registre que dans le second. Chaque nouvelle relecture est une occasion pour moi de me gondoler aux bourdes réjouissantes et attendrissantes de Porthos, mais aussi de frémir aux dramatiques événements de la Révolution anglaise à laquelle seront mêlés tardivement nos quatre amis. La scène de la décapitation de Charles Ier est un morceau de bravoure particulièrement spectaculaire, frôlant presque le fantastique. On retrouve ce même contraste chez les antagonistes de nos Mousquetaires, Mazarin étant clairement un méchant pour rire, plus burlesque qu'inquiétant, et s'opposant à la figure effrayante et vengeresse de Mordaunt. Personnage très réussi, celui-ci s'avère le digne fils de sa mère en matière de vices avec, en sus, une aura tragique et pitoyable dont Milady était dépourvue (ajoutez à cela un côté très oedipien, car franchement : Mordaunt/Mordred, ne me dites pas que cela ne vous a pas effleuré l'esprit à vous aussi…) le tout donne un grand, très grand roman d'aventure, assurément l'un des plus beaux d'Alexandre Dumas et qui mériterait une bien plus grande renommée !

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Compte tenu du succès des Trois mousquetaires, Dumas toujours secondé par Auguste Maquet, lui donnent une suite dès 1845. L'action du roman se déroule vers 1648-1649, pendant une période troublée de l'histoire. le quatuor des ex-mousquetaires va pouvoir se retrouver. En effet, seul D Artagnan est resté mousquetaire, toujours lieutenant, pendant que ses trois amis suivaient une autre route. Il va les rechercher pour de nouvelles aventures, à la demande du cardinal de Mazarin, qui a succédé à Richelieu, pendant la régence d'Anne d'Autriche, Louis XIV étant trop jeune pour régner véritablement.

Ce deuxième volume décrit peut-être davantage les événements historiques réels que le premier. Nous suivons la montée de la Fronde, cette révolte des nobles mais aussi du parlement contre la puissance royale. Nos quatre héros font de nouveau un détour en Angleterre, où une autre révolte contre le pouvoir royal est en cours : celle de puritains menés par Cromwell. Il y a un parallèle entre les deux situations, qui vont toutefois connaître des issues différentes. Nos héros sont au coeur des événements, on pourrait dire qu'ils en deviennent des acteurs majeurs. Ils croiseront sur leur route quelques revenants importants du premier volume, comme Rochefort ou Bonacieux, et de nouveaux personnages, comme Mordaunt, le fils de Milady, qui sera leur principal adversaire.

Malgré l'évolution des personnages, qui va entraîner dans un premier temps des positionnements politiques différents, qui les feront choisir des camps opposés, l'amitié sera la plus forte, et les quatre compagnons se retrouveront de nouveau à lutter ensemble, une fois encore pour leurs vies, et des enjeux qui les dépassent. L'enchaînement de l'action est mené de main de maître, d'une manière peut-être encore plus rigoureuse que dans le premier tome.

Je crois que j'ai pris encore plus de plaisir à relire ce deuxième tome de la trilogie. Peut-être parce que je m'en souvenais moins, mais aussi parce que j'ai trouvé peut-être maintenant plus d'intérêt à des personnages plus matures, plus affirmés, un peu désenchantés peut-être, conscients du temps qui passe.

Dumas est décidément un conteur hors pair.
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Vingt ans après, faisant suite aux trois mousquetaires est aussi la partie la plus intéressante où beaucoup d'aventures se succèdent aussi vite que la maîtrise qu'a l'auteur des événements et d'une multitude de personnes...
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Vingt ans après !
Je l'ai lu en Vingt jours en plus c'est une coïncidence !
Nous y voilà j'ai finis cette aventure encore mes amis les mousquetaires !
Toujours aussi proche d'être à côté d'eux !
Un ressentiment de revivre dans l'histoire c'est tout simplement génial !
Diable !
Comment fait t-il mon cher Dumas pour écrire des pépites !
J'ai eu un coup de coeur comme pour Les Trois Mousquetaires !
Même si c'est toujours aussi longgggg mais c'est un régal !
J'ai eu un coup de coeur pour la très chère Madame de Chevreuse aussi !
Alala vivement que je lis le Vicomte de Bragelonne !!!
Vive l'Histoire avec un grand H

Et ... Vive DUMAS !!!
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20 ans après les évènements décrits dans les 3 mousquetaires, voici de nouveau nos 4 héros prêts à bouleverser et à changer l'ordre du monde !!
Nous retrouvons, au départ, D Artagnan, toujours garde des mousquetaires, profitant du logis, du couvert et du lit de sa maitresse. Ses compagnons semblent s'être rangés : Portos se morfond dans son manoir sur le blason de baron qu'il ne peut arborer sur ses carrosses, Aramis est devenu Evêque d'Herblay, tandis qu'Athos joue au gentleman farmer après avoir pris le jeune Vicomte de Bragelonne sous son aile protectrice.
Pendant ce temps, le ventre de Paris gronde de colère et de faim, réclamant de plus en plus fort et de plus en plus ouvertement la démission du 1er ministre de la reine Anne d'Autriche, le Cardinal de Mazarin, dont on dit qu'il est l'amant ou le mari de la reine.
Enfin, en Angleterre, le roi Charles 1er se fait mettre à mal par Olivier Cromwell, tandis que sa reine et sa fille sont venues réclamer asile à Paris, où elles ne trouvent que mépris et misère.
Bientôt, D Artagnan et ses amis doivent choisir leur camp : Portos et D Artagnan, en échange d'avantages en titre ou en grade, prennent le parti du premier ministre et acceptent de porter une lettre de sa part à Cromwell. Sur leur chemin, ils trouveront leurs amis guidés non pas par leurs intérêts mais par leurs convictions. Alors que l'ombre de Milady s'étend de Paris aux côtes anglaises, l'amitié de ces héros pourra-t-elle se perdurer ?

J'ai encore plus aimé ce tome que le précédent ! L'intrigue plus complexe et l'environnement historique plus approfondi lui donnent un cachet particulier dont manquait les 3 mousquetaires.
Ce volume est le roman de la maturité (et oui, même les héros vieillissent !) : la fougue et l'insouciance de la jeunesse, qui faisaient l'un des charmes de l'opus précédent, a laissé place à la tempérance et à la sagesse. Dumas nous régale toujours avec sa façon d'écrire, nous interpellant et nous incluant dans le récit avec sa verve bienveillante. Comme dans le premier volume, les chapitres sont courts, et laissent la belle place à l'action. On ne s'ennuie pas, jamais. Il y a de l'humour, de l'émotion, du frisson, et les personnages secondaires sont sacrément bien campés. Mon seul regret est que les 4 héros m'ont paru plus caricaturaux que dans le volume précédent. Ceci dit, j'ai hâte de m'atteler au Vicomte de Bragelonne !!
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Lu après les Trois Mousquetaires, ce roman est un chef d'oeuvre, que j'ai trouvé encore supérieur en intensité.
Le quatuor de héros est inoubliable. La langue est fleurie et on se délecte sans lassitude des tirages et traits d'esprits de nos héros. le riche contexte historique crédibilise le roman.
Fabuleux.
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Et voilà j'ai fini le tome 2 ou plutôt devrais je dire, j'ai fini la suite des trois mousquetaires.

J'avoue ne pas avoir envie d'écrire une critique aussi dithyrambique que les autres lecteurs. Car je me suis souvent ennuyée, j'ai été parfois exaspérée lors de cette lecture / écoute (puisque ce fut en audio livre que j'ai suivi ces aventures.

Pourquoi? D'abord des personnages qui étaient relativement sympatiques lors du premier tome, reviennent peu crédibles... On a d'abord D'Artagnan qui finissait garde des mousquetaires lors du premier tome et pendant 20 ans rien ne semble lui arriver. Puis tout d'un coup, hop il repart.

Porthos a réussi à se faire épouser et devenu riche, il s'ennuie et cherche à devenir noble...

Aramis est toujours aussi cynique et courreur de jupons. Il est assez constant.

Athos, lui est carrément devenu un saint... Il ne boit plus... Il a un pupille (un fils caché) qu'il adore et c'est la sagesse même.

Ces quatre, là, vont se retrouver puis se perdre et se retrouver finalement. Il est question de complot, de rois, de reines, de plusieurs cardinaux...

Il y a de la nostalgie, du c'était mieux avant... Une épopée, des batailles, des complots, une révolution, des têtes qui tombent, Des nobles qui n'en n'ont que le nom et en aucun cas l'attitude.

Cela pourrait être plaisant... mais la magie n'a pas fonctionnée en tout cas pour moi. Trop de cynisme, trop de tout est bien qui finit bien..

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