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Critique de Pacalase
Braquage, chantage, trahison et voyeurisme, le dernier roman de Dicker brasse un éventail assez complet de thèmes.
Pour commencer je dois dire que j'ai plus apprécié le rythme de ce roman que certains de ses précédents qui étaient beaucoup plus longs à en venir quelque part. Je ne vais pas dire non plus qu'on est sur une histoire palpitante à chaque page mais c'est un bon rythme quand même.
J'ai apprécié la construction de toutes ces petites histoires, de ces petits mensonges (et des gros aussi), qui finissent par se croiser à un moment ou un autre. Ce qui nous mène parfois, pendant un moment, sur une fausse piste ou une idée erronée de la vérité mais la vérité finit toujours par se faire connaitre.
Si on devait résumer cette histoire on pourrait simplement dire que les apparences sont parfois trompeuses.
Et c'est un peu mon problème avec ce roman, c'est que malgré ces aspects plutôt positifs la construction de l'histoire est très simple, la structure narrative des sauts dans le temps est déjà vu chez Dicker et on sent bien qu'il aime ça. de là à dire qu'il en abuse…
Et si tout n'est pas rose dans les beaux quartiers Genevois c'est peut-être aussi à cause des réactions un peu imprévisibles de certains des habitants qui prennent parfois des décisions assez étonnante…
Au-delà de ces quelques freins, j'ai trouvé que c'était une lecture assez simple. le style de Dicker n'étant pas particulièrement compliqué à aborder la lecture est rapide et le scénario est assez bien ficelé pour nous donner envie de connaitre le dénouement.
Pour commencer je dois dire que j'ai plus apprécié le rythme de ce roman que certains de ses précédents qui étaient beaucoup plus longs à en venir quelque part. Je ne vais pas dire non plus qu'on est sur une histoire palpitante à chaque page mais c'est un bon rythme quand même.
J'ai apprécié la construction de toutes ces petites histoires, de ces petits mensonges (et des gros aussi), qui finissent par se croiser à un moment ou un autre. Ce qui nous mène parfois, pendant un moment, sur une fausse piste ou une idée erronée de la vérité mais la vérité finit toujours par se faire connaitre.
Si on devait résumer cette histoire on pourrait simplement dire que les apparences sont parfois trompeuses.
Et c'est un peu mon problème avec ce roman, c'est que malgré ces aspects plutôt positifs la construction de l'histoire est très simple, la structure narrative des sauts dans le temps est déjà vu chez Dicker et on sent bien qu'il aime ça. de là à dire qu'il en abuse…
Et si tout n'est pas rose dans les beaux quartiers Genevois c'est peut-être aussi à cause des réactions un peu imprévisibles de certains des habitants qui prennent parfois des décisions assez étonnante…
Au-delà de ces quelques freins, j'ai trouvé que c'était une lecture assez simple. le style de Dicker n'étant pas particulièrement compliqué à aborder la lecture est rapide et le scénario est assez bien ficelé pour nous donner envie de connaitre le dénouement.
