J'ai attaqué ce deuxième tome avec beaucoup de crainte. Pas des zombis bien sur, je suis trop fort !!! mais parce que le premier m'avait complétement laissé de glace. Bref, je me suis quand même lancé, et bien à vrai dire, je me suis laissé emmené. oh pas bien loin quand même, mais le style est beaucoup plus second degré et avec pas mal d'humour. Bon c'est pas non plus un chez d'oeuvre, loin de là.
j'ai pris du plaisir par moment, faut dire que je m'attendais tellement à m'ennuyer. allez y, vous ne risquez pas de vous faire mordre ...
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Je n'ai pas du tout aimé ce roman;
Tout y est prévisible, ne dérogeant jamais au thème du vampirisme.
Il est, pour moi, d'une platitude........ euh......plate !
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Un début assez prometteur avec des morts vivants un peu terrifiants, puis cela s'enchaîne à la vitesse grand "V". Avec une fin un peu déroutante, qui n'en est pas vraiment une....
Mais on passe un bon moment de détente.
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― Foutez le camp, hurla Jem, foutez le camp ! Ne les approchez pas !
― De quoi ?
La vieille femme tourna lentement son regard vers lui, toujours cramponnée à son chariot, vacillante.
― Partez ! Ils sont mauvais ! Partez ! cria encore Jem et la petite fille le regarda en souriant, découvrant sa bouche rouge garnie de dents effilées.
La vieille femme fit un pas en avant puis un pas en arrière, répétant " quoi ? " d'un air stupide.
Et le petit garçon se tourna à son tour vers Jem et lui adressa un grand bras d'honneur, et Jem vit qu'il n'avait pas de main, juste un moignon d'où s'échappait un os blanc.
Et l'odeur. L'infecte et épaisse odeur. Comment avait-il pu être assez bête pour penser qu'elle venait des poubelles et cette femme qui ne partait pas et...
Laurie Robson rejeta sa couette, ruisselant de sueur, le cœur douloureux à force de battre, avec l'impression que la main décharnée d' Hélène Martin était encore posée sur son bras, ses ongles griffus entamant sa chair tendre. La famille Martin... Franck, Hélène et leur fils, Paul, douze ans. Qui aurait pu imaginer que la famille Martin serait le vecteur de puissances maléfiques ? Il passa sa main brune dans ses épais cheveux noirs aux boucles drues. Est-ce que Jem faisait des cauchemars lui aussi ? Est ce qu'il rêvait de tout ça, est-ce qu'il revoyait leurs faces cadavériques nuit après nuit ? Leurs orbites creuses pleines de vers ? Leurs sourires sans lèvres ?
La chronique de Carole S - Funerarium
Notre chroniqueuse du jeudi, Carole S. ne connaissait pas les ouvrages de Brigitte Aubert avant de lire "Funeraium" (éditions Points). Et on peut dire que notre serial-lectrice est tombée sous le charme de ce thriller...