Calmann-Lévy a été créée en 1836. Cette maison d`édition française publie principalement de la littérature et des essais, à travers des collections comme « Traduit de », « Liberté de l`esprit », « Diaspora ». Elle publie des livres sur la psychanalyse, les enfants, le cinéma, le sport, les sciences humaines, etc.
Une enquête en plusieurs phases : le squelette d'une petite fille est retrouvé par des ados faisant la fête. Des années plus tard, la police rouvre l'enquête mais... Une des personnes chargées de l'enquête est retrouvée sur le bord de la route, amnésique, elle a perdu son précieux journal qui pourrait être la clé de cette affaire et pire : son compagnon a disparu lui aussi.
On se met donc à chercher le collègue et... un corps fait son apparition, mais pas celui de l'homme disparu.
C'est un casse tête sans nom, d'autant plus qu'il ne se passe jamais rien dans cette petite ville de Suède. Alors 2 meurtres et une disparition inquiétante, c'est le pompon !
Le carnet tombe dans les mains d'un jeune homme qui va taire sa découverte et mener son petit bout d'enquête, à ses risques et périls.
Bienvenue à Ormberg, donc. Ou pas. L'autrice nous balade entre paysages à couper le souffle, des découvertes glaçantes et des personnages très différents, mais tout s'articule parfaitement. Passées les présentations, on se retrouve face à un page turner : on veut savoir, on DOIT savoir. Chaque nouvel élément fait s'écrouler nos certitudes, on aimerait entrer dans les pages pour aiguiller les protagonistes.
J'ai adoré me plonger dans cette histoire, remonter le fil de l'enquête, retrouver cette écriture magnétique... amateurs de frissons, foncez !
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Parfois on se demande si un livre à marquer les esprits des gens que cela soit à son époque mais encore plus à posteriori ici "ça réduit comme peau de chagrin" ce roman a donc marqué son époque. Passons à l'avis en tant que tel. Ce roman de Balzac est très sympathique mais à titre personnel ce que j'aime dans ce roman c'est la critique implicite sans être un essai au sens où Balzac ne nous "éduque" pas on y voit tout de même une véritable critique de l'excès matérialisé par Raphaël.
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