NAMI [corriger]

Mon second roman de Michiko Aoyama : j'ai lu "Un lundi parfum matcha", la suite de celui-ci en février et il m'avait beaucoup plu. Les deux romans ne se suivants pas réellement, j'ai décidé de me lancer dans celui-ci.



Comme pour "Un lundi parfum matcha", ce récit se découpe entre douze chapitres, les points de départ et arrivée étant le café Marble, à Tokyo, dirigé par l'énigmatique Master. Les histoires semblent imbriquées les unes dans les autres car un personnage plus ou moins secondaire d'une nouvelle sera le principal dans la suivante.



J'ai encore eu cette sensation de sérénité en lisant ce roman. On se laisse porter par les personnages, les découvrant en quelques pages seulement, s'attachant à eux, à leur histoire, leur bonheur et leurs tracas.



Encore une fois un roman dont on sort le sourire aux lèvres.

Que j’aime ces romans japonais. Une ambiance de légèreté y règne, avec de la douceur et de la positivité. « La valeur d’un livre tient plus à ta propre interprétation qu’à la puissance de ses mots »



Nous retrouvons 5 personnages aux personnalités et caractères bien différents. Chacun vit sa vie, avec leurs bons et mauvais côtés. Leur point commun ? Ils se retrouvent tous à la bibliothèque du centre social et rencontre Sayuri Komachi. Bien qu’ils aspirent tous à de nouvelles perspectives, Komachi trouve toujours l’ouvrage qui va les pousser à passer le cap. C’est une leçon de vie dont ces personnages avaient besoin, d’un coup de pouce, d’un coup de positivité.

Chacun finit par trouver sa voie et à croire en eux, en leur avenir. Je pense que toute personne lisant cet ouvrage trouvera une citation, une phrase qui résonnera en lui/elle pour croire en ses capacités et en son avenir.

« Vouloir engranger de nouvelles connaissances est une excellente attitude, quelle qu’en soit la raison »

Peut-être j'attendais trop de cette lecture.

Je devais lire ce livre depuis sa parution.

J'ai du passer à coté comme cela arrive.

J'ai aimé la façon d'aborder le récit en partant des couleurs .

Comme souvent en ce qui concerne la littérature japonaise j'ai été transporté par la quiétude et la sérénité de l'univers de ce livre.