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Citations de Valérie Tong Cuong (845)


-Souviens-toi qu'il est parfois difficile d'identifier l'illusion...
- Souviens-toi qu'il est parfois salutaire d'écouter son instinct...
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Il fallait que tout le monde le sache , je n'avais rien calculé , rien prévu , je ne voulais pas lui faire de mal , ce n'était qu'une question de couple pleine !
Je voulais seulement que tout cela s'arrete .J'étais un etre humain , tout de meme .
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Mes mains tremblaient , mes dents claquait en l'écoutant , est - ce qu'elle ne voyait pas que j'avais peur ? De moi-même ? Du bruit d'une craie sur le tableau ? Du tic-tac de l'horloge fixée au mur de la classe ?
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L'odeur âcre, violente, s'insinuait dans chaque espace libre de mon corps, me piquait le nez et la gorge, assaillait mon cerveau englué de sommeil de ses rafales hargneuses.
Je refusais de me réveiller. Je voulais dormir jusqu'au bout de la nuit et, tant qu'à faire, jusqu'au bout du week-end. Passer directement du vendredi soir au lundi matin, sans respirer, sans rêver, sans penser, d'une seule traite, d'une seule lutte.
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« Peut-on encore supprimer quelque chose de mort ? »
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Il me considérait déjà comme un élément de son patrimoine, une propriété dont il pourrait redessiner les contours à l'envie.
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C’était ça, New York. Des gens de toutes les couleurs, de tous les âges, de tous les genres.
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Mais c’est la panne, le hasard de la vie ou peut-être la volonté mystérieuse du Seigneur.
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Que deviennent les êtres égarés que leur famille renonce à aimer ? De quel côté se situe l'oubli ?
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on se souvient que la vie est une grâce qui nous est donnée pour que nous la vivions. (p.210)
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A ma décharge ça devenait compliqué de savoir où étaient la vérité et la justice dans ce fatras d’actes et de sentiments.
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Encore une fois vous croyez pouvoir décider vous-même du cours des événements, des modalités, quelle impudence, quelle erreur…
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J’aurais aimé que les choses se passent autrement, il était excessif, injuste, mais après tout j’étais la coupable, j’étais celle qui l’avait blessé, trompé, je ne me sentais pas le droit de lui en vouloir, je pouvais tout accepter. Et puis j’étais gagnante, au bout du compte. J’avais repris confiance en moi, retrouvé le goût de concevoir, d’avancer, d’échanger, d’accomplir. Le goût d’être. J’étais prête.
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Les phrases avaient alors fusé malgré eux, ils savaient qu’ils s’adressaient à un enfant, leur enfant, ils savaient qu’ils me condamnaient en s’exprimant, ils savaient qu’il fallait absolument se taire, prendre sur soi, ne pas céder aux pulsions de haine, ce n’était pas dans l’ordre des choses de haïr la chair de sa chair, il fallait tenir bon, mais la douleur avait été plus forte, elle avait tout balayé sur leur passage, la tendresse qu’ils avaient pu ressentir pour moi, les caresses du passé, leur résolution d’être toujours de bons parents, tout cela n’était plus qu’un champ de ruines.
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La sollicitude des autres me rendait agressive. D'expérience, je la savais rarement gratuite.
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C'est l'éternel problème avec les riches, les bourgeois, les nantis, les gâtés. Il faut toujours qu'ils expliquent aux désespérés qu'ils ont de la chance, qui sont dans la vraie vie, les vraies valeurs, aux innocents les mains pleines et tout le toutim.
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(...) la vraie blessure c'est toi, toi qui avais aboli ma solitude et nourri mon courage, tu n'étais qu'un trompe-l’œil, une illusion, un mirage (...)
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L'envie est un poison mortel!
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Il n'y avait pas un mois, j'étais encore sous mon porche.La vie pouvait être surprenante.
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Je n'ai pas fait non plus d'études supérieures, j'ai quitté l'école le jour pétant de mes seize ans, mais ça ne m'a pas empêché de lire les journaux, de bouffer des bouquins et d'écouter la radio à chaque fois que j'ai pu : il y a longtemps que je l'ai compris, l'ignorance est plus dangereuse qu'une grenade dégoupillée.
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Dans un immeuble en flamme.
Dans la rue.
Sous un porche.
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