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4.07/5 (sur 817 notes)

Nationalité : Espagne
Né(e) à : Madrid , 1978
Biographie :

Salva Rubio, de son vrai nom Salvador Rubio, est scénariste pour le cinéma, la télévision, la bande dessinée, et le dessin animé. Il est aussi écrivain et historien.

Né dans une famille modeste mais qui le poussait vers la lecture et les études, comme ses professeurs, il a fait des études d'histoire de l'art à l'Université Complutense de Madrid.

Il a exercé de nombreux petits boulots en rapport avec l'art et la culture, et a décidé d'être scénariste. Il a passé un BA de scénariste et a travaillé comme analyste de scénarios.

Finaliste du prestigieux prix SGAE Julio Alejandro, Salva Rubio a reçu de nombreuses récompenses comme scénariste. En 2010, l'un de ses courts-métrages a été présélectionné aux Goya, l'équivalent espagnol des César.

Titulaire d'un master en écriture de scénario pour le cinéma et la télévision de l'Université Carlos III de Madrid, il a coécrit des courts-métrages ainsi que des projets cinématographiques pour des maisons de production espagnoles, dont le long-métrage d'animation "Deep" (2016). Il enseigne également le récit.

Rubio se consacre actuellement à cette carrière de scénariste de cinéma mais aussi de bandes dessinées tout en écrivant des romans. Comme scénariste de bandes dessinées, "Monet, nomade de la lumière" (2017) est son premier roman graphique publié, suivi de "Le photographe de Mauthausen" (2017) et "Miles et Juliette" (2019).

Il pratique aussi la peinture à l'huile dans des portraits, pratique l'aïkido et la photographie d'architecture. Salva Rubio a aussi trouvé le temps de se mettre à la trompette de jazz.

son site : http://www.salvarubio.info/web/
page Facebook : https://www.facebook.com/salvador.rubio
Twitter : https://twitter.com/RubioSalva
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Source : http://www.salvarubio.info/web/
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Après l'émigration causée par la guerre civile et la production de BD pour l'étranger par le biais d'agences sous le régime franquiste, on assiste depuis la fin du XXe siècle à un phénomène qui peut être considéré comme la troisième grande vague migratoire des auteurs espagnols vers les marchés étrangers, fondamentalement les marchés américains et francophones. En utilisant différentes sources, tant françaises qu'espagnole (le site BDtheque.com et Bdoubliees.com, le groupe informel PIF, l'association ARC, etc.) l'auteur et chercheur en histoire de l'art Salva Rubio et Félix Lopèz, co-directeur de l'association Tebeosfera, on mené une étude quantitative et qualitative sur l'émigration des auteurs espagnols de bande dessinée en France. Ils expliquent ici les moyens mis en oeuvre pour réaliser cette étude et en restituent une partie des résultats. Cette intervention a eu lieu dans le cadre du 2e Symposium Tebeosfera, organisé à l'Institut Cervantes de Paris à l'occasion de l'édition espagnole du 13e SoBD. Organisation Félix Lopès. Interprétation David Rousseau.

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Citations et extraits (154) Voir plus Ajouter une citation
Les romans servent à apporter à la vie ce dont elle manque cruellement.
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Déplacer des tonnes de terre n’est jamais un problème. Il suffit de se servir de pioches et de pelles. Mais pour celui qui a eu une vision du sublime, du gigantesque, de l’impossible… la vraie difficulté, c’est de convaincre les autres qu’il peut la réaliser. Comment persuader d’autres hommes que l’impossible est possible ?
(page 9)
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À l'époque, elle n'était qu'une enfant mais déjà, les livres étaient pour elle autant de miroirs. Reflets du monde, reflets d'elle-même. À Prague, dans les années 30, la seule peur qui la taraudait, c'était de manquer de temps pour lire tout ce qui lui plaisait. Son nom ? Edita Adlerova. Mais tout le monde l'appelait Dita. Les livres, c'était sa vie.
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- Notre-Dame… combien d’heures y avons-nous passées ? (Lassus)
- Au moins… tu peux t’en aller en sachant que tu seras immortel. (Viollet-Le-Duc)
- Immortel ?
- Ton nom sera toujours lié à celui de Notre-Dame.
- C’est absurde, Eugène… Qu’est-ce que la vie d’un homme à côté d’une cathédrale. Toi et moi ne sommes… qu’une pierre parmi toutes les autres de cet édifice. Des pierres qui mourront un jour, elles aussi.
(page 49)
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- Je suis navré que nous n’ayons pas assez d’argent pour les trois flèches. Même si pour être honnête je n’ai jamais été convaincu de… (Lassus)
- Tu croyais vraiment que je voulais trois flèches ? (Viollet-Le-Duc)
- Mais alors, pourquoi ?
- Si j’en avais demandé une seule, ils ne me l’auraient pas accordée… J’ai pensé qu’en en demandant trois…
- Ah ! Ah ! Ah ! Il semblerait qu’en effet tu aies appris les rudiments de la politique !
(page 41)
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J’aime ces vieilles églises gothiques. Il y a quelque chose dans ces vieilles pierres qui s’adresse directement à mon âme. Les dessiner dans les moindres détails… apprendre à vraiment les connaître… c’est le métier de mes rêves, ma passion.
(page 9)
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Et cette manie de ne peindre que des danseuses, des blanchisseuses et des prostituées, c'est bizarre, non ?
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- J’espère que vous ne tarderez pas à comprendre l’erreur que vous commettez en restaurant ces cathédrales. (Ruskin)
- Comment ? Non, vous ne comprenez pas… Je ne les restaure pas ! Je les complète ! Je concrétise la vision de ceux qui les ont conçues ! Je perfectionne les plans originaux ! (Viollet-Le-Duc)
- Il n’est pas plus possible de restaurer les grands édifices du passé que de ramener les morts à la vie.
- Cela me peine que vous ne compreniez pas ce que je fais, Ruskin.
(page 35)
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Et comme chacun sait, les Révolutionnaires ont fait tomber les rois de la galerie… Ils les prenaient pour les Rois de France… mais c’étaient des Rois bibliques.
(page 23)
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Ma sculpture veut célébrer la Liberté dans un pays qui vient d’abolir l’esclavage. Mais ses citoyens ont beau être libres en théorie… les inégalités sont à la mesure de la nation elle-même. Le système créé par des millionnaires et de grands capitalistes maintient des millions de personnes dans la pauvreté. Je crois que ma statue pourrait les inspirer.
(page 22)
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